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Je me retourne rapidement afin de rabattre m'a capuche sur ma tête et de lui lancer un dernier regard de dos.

Il ne s'est pas retourner une seule fois pour me regardé.

Et c'était lui, c'était bien lui la dernière fois au cimetière.

Je le savais.

Cet fameuse personne qui m'a basculer au cimetière, c'était Ibrahim j'en suis sûr et certaine que c'était lui.

Son odeur n'a pas changé et c'est la première chose qui m'a marqué chez lui, elle m'a envoûté.

Je range mon téléphone dans ma poche afin de marché les pensées complètement troublé.

Ibrahim.

Je t'avais plus croisé depuis ce fameux jour ...

Tu n'a pas changé, ton regard est toujours autant
déstabilisant et toujours autant perçant.

Tu est toujours autant beau, et tu a toujours ce beau sourire qui fessais flancher toute les filles du quartier à cet époque la, et il doit sûrement encore faire cet effet aujourd'hui.

Mes joues virent au rouge des lorsque je me rappel de ce fameux jour où mon regard a croisé le sien pour la première fois.

J'oublierai jamais ce regard qu'il m'avais lancé, il m'avais mis les frissons dans le dos.

Du haut de mes 19 ans, j'avais réussi à lui tenir tête et c'est ce qu'il avait mis fortement en colère.

Son prénom résonnais dans la bouche de toute les filles de mon quartier et de ma fac, mais moi la seule fois où j'ai osé parler de lui c'était par rapport à une histoire qui avais éclater entre lui et un garçon de ma fac qui était du quartier adverse.

Alors Farah s'est empêché d'allez lui raconter des conneries en m'entendant parler de cet histoire dans les couloirs de la fac à Jannat.

17h30, me voilà en train de sortir de la fac avec le sourire au lèvres, mon sac à l'épaules et mes écouteur aux oreilles quand soudain une moto s'arrête tout près de moi risquant même de me percuter.

Puis mon regard a croisé le sien.

Pour la toute première fois.

Il est descendu de sa moto, les sourcils froncées puis il s'est dirigé vers moi d'un pat rapide avant de m'attraper fortement par le bras.

Je ne comprenais vraiment pas ce qu'il me voulais car j'avais encore jamais mis une image sur sa tête, je ne savais même pas à qui je m'adressais jusqu'à que j'entende quelques filles de ma classe chuchoté son prénom.

Alors j'ai compris à qui j'avais affaire.

Ibrahim.

Face à moi, le regard noir, les sourcils froncé, le voilà en train de me dévisager.

Tu n'avais pas mâcher tes mots ce jour là.

Je m'était senti humilié devant toute ces personnes de mon école qui nous fixait avec de gros yeux, ce demandant certainement ce que tu fessais ici ?

J'avais essayé de lui faire comprendre que c'était qu'un simple malentendu, que je n'avais jamais osé parlé de lui à mes copines car je ne connaissais même pas son existence jusqu'à maintenant, mais il étais beaucoup trop têtu pour m'écouter.

Et depuis ce jour là, j'en ai énormément voulu à Farah qui était partit lui rapporter n'importe quoi.

Que j'étais sois disante amoureuse de lui et que je parlais de lui à toute mes copines de la fac.

« Et si on s'aimait, toi et moi  ? » - Layal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant