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Amalyia

Ils payeront ! Ils payeront pour s'en être prit à ma famille. Mais pour le moment, il faudrait que je me concentre. Mes yeux étant bandées, je ne pouvais pas savoir ou j'étais. Ce qui était sur s'était que la camionnette, dans la quelle je me trouvais, puais l'essence. Le visage de Valac revenait dans mes songes alors que je tentais de comprendre vers ou nous nous dirigions. Tu n'as pas le droit de faire ça ! Alors que tout ce que j'avais fait s'était suivre la stratégie que mon équipe avait juger invincible. Il ne t'aime pas. Aucun d'eux ne t'aime. Ils ne viendrons pas te chercher. Ils ne te chercherons même pas. En t'emmenant tous ce qu'elle a fait c'est leur retirer une épine du pied. Tu es seule. Tu es seule et tu va retourner à la mine. Tout va reprendre là ou ça s'était arrêter. Stop. Stop. STOP ! Six virages à droite, entrecoupé par deux virages à gauche puis une longue ligne droite. Une choses que le conducteur ne semblait pas savoir c'était que nous étions ici chez moi. Je connaissais ces routes par cœur pour les avoirs arpenter pendant des heures. Je sentais à mes cotés la présence de cette personne que je rêvais d'assassiner depuis une bonne heure. Androma. L'assassin qui m'a formé. Ou du moins qui croit l'avoir fait. Je savais qu'elle se sentait chez elle à la mine et je ne savais pas pourquoi. Pour moi, s'était de la folie d'aimer un endroit semblable à Nilfheim. Mais elle s'y sentait comme chez elle. Peut être qu'elle était plus atteinte que je ne l'étais. Après tout elle y vivait depuis plus longtemps que moi. De la lumière filtrait entre à travers le tissus qu'on m'avait enroulé autour des yeux. J'avais la haine. J'étais en colère. Contre elle, mais surtout contre moi. J'aurais du savoir qu'elle n'était pas seule. Elle ne se baladait jamais seule lors des missions trop compliqué. Parce que même si elle était une assassin, elle avait néanmoins perdu des aptitudes physique lorsqu'elle avait été piégé dans ce fameux incendie. Bien qu'elle pensait s'en être complètement remise, je l'avais connus avant et je pouvais assuré que son niveau actuelle n'était rien en comparaissons de ce qu'elle était avant. J'aurais du le savoir ! Mais Valac était là. Le voir dans cette mauvaise posture comme tout les Déchus avaient brisés quelque choses en moi. Je n'avais pas pu me concentrer sur autre choses que sur leurs visages. La façon dont la peur s'était peinte sur ses traits alors que j'avais sentis Androma arrivé dans mon dos sans pour autant réussir à me protéger préférant protéger Valac. La fumée m'avait tout de suite fait comprendre mon erreur. Je n'y étais pas sensible étant entraîner à en inhaler. Mais je savais que les Déchus eux y étaient sensible, heureusement à l'odeur, je pouvais affirmer avec certitude qu'ils se réveilleraient d'ici quelque heures tout au plus. J'espérais que mon père les trouveraient pour les ramener à la maison, je faisais confiance à Ezekiel pour prendre soin d'eux. 

 – Tu es bien silencieux, Faucheuse. Si c'est ce qui t'inquiète, tes amis vont bien. Ils seront debout en un rien de temps, enfin une fois que nous aurons quitté le pays. Fit celle qui se trouvait à coté de moi.

 – Tu devrais être contente que je ne me débattes pas parce que si toi tu n'es pas capable de te casser les pouces pour te défaire de tes menottes moi si. Lui rétorquais-je doucement.

 – Oh mais je te remercies de ne pas te débattre mais je ne te comprends pas. Je serais à ta place, je serais déjà partie. M'interrogea-t-elle.

 – J'ai très bien sentis que tu m'avais glisser un traceur épidermique, même si je le voulais je ne pourrais pas te semer du moins pour l'instant. Lui lançais-je.

Près de moi, je la sentis se crisper ce qui me fit sourire. Et oui, je suis meilleure que toi. Je l'entendais se replacer sur sa place, je savais sans le voir qu'elle avait les dents serrer d'agacement.

 – Je suppose que te bander les yeux était inutile. Tu sais ou nous sommes, n'est ce pas ? Fit-elle d'un ton plus qu'agacer. 

Je ne répondis rien me contentant d'un rictus mauvais. Puis je sentis des mains s'approcher de moi me faisant me crisper, je reculais légèrement.

Rav Flammer [T2]Tempat cerita menjadi hidup. Temukan sekarang