Elle se fait kidnapper par un Parrain de la mafia Russe pendant un Gala.
Son père est un politicien Britannique-congolais malheureusement corrompu qui eu des conflits avec le Parrain de la Mafia Russe 𝐕𝐈𝐓𝐀𝐋𝐈 𝐏𝐄𝐓𝐑𝐎𝐕.
La jeune femme âgé se...
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RIHANNA BELLA CAMPBELL
J'avais une seul envie c'était de partir, il parlait de moi comme si je n'était pas dans le pièce, le pire dans tous ça c'est qu'il ne m'appeler même pas par mon prénom mais il m'appeler la femme noir j'ai l'impression quand il le disent il accentue le mot noir, comme si c'était une maladie d'être noir et Vitali n'avais pas l'air de se soucier de ça.
Je me sens vraiment pas à ma place, mais vraiment pas.
Ont était à table entrain de manger une spécialité polonaise j'aime vraiment c'est la première fois que je goûte ça, du Zrazy c'est un repas polonais fait à base de bœuf ou de sanglier, j'ai aussi goûter Mizeria c'est une salade de concombre vraiment très bonne.
Enfin c'était la seul chose positive que j'aimais depuis que je suis ici, même la maison ne donne pas envie de rester elle est tellement fade et terrifiante.
J'ai l'impression que tous les tableau présent dans ce manoir me regarde mal comme si je n'était pas la bien venue ici.
—....Rihanna es ce que tu aime Vitali ? Demanda la mère du Parrain de la mafia Russe.
Je la regarde en battant les cils, je n'avais pas entendu réellement sa question j'étais dans mes pensée.
— Elle te demander si tu aime Vitali ? Parla Dorota la petite sœur de Vitali.
— Es ce que tu l'aime c'est une véritable question ça ! Fit Vadim.
Je leur regardèrent tous à tour de rôle en ayant le cœur qui bat à la chamade avant de poser mon regard sur Vitali qui était en face de moi.
Ses yeux bleu clair me fixais attentivement comme si il attendais ma réponse, je sais pas mais j'ai l'impression que si je dit non il va me tuer sur place.
Donc je vais pas trop tenter le diable.
Je déglutis avant de parler avec beaucoup de mal.
— Heu, oui j-je l'aime. Je dit timidement avant de détourner mon regard poser sur Vitali vers sa mère qui me scrutais du regard.
— Tu l'aime ? Ou il t'oblige à t'aimer ? Elle l'a dit en buvant son vain.
Mais cette femme veux ma mort ou quoi ?
— J-non je l'aime vraiment. Je dit en la regardant gêner.
— Très bien et vous contiez vous marier dans deux jours seulement, sais tu que chez nous le mariage c'est jusqu'à la mort ? Dit la mère du Parrain Russe.
