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Ils sont entrés chez elle, plein de colère et de méchanceté
Ils l’ont tabassé, elle et sa famille puis, ont tués son bébé
Cela n’était-il pas suffisant ? de les tabasser et de le tuer 
Devaient-ils aussi l’obliger à le cuisiner?

Ce petit bébé qui n’avait même pas encore une année
Et cette femme, que devait-elle faire ? Elle, qui fut obligée
Quand j’y pense Mon cœur saigne et les vôtres ?
N’avez-vous donc pas une once d’humanité ?
Pour être en accord avec de telles atrocités

Une mère qui gémit en voyant son nouveau-né être pillé
Oui, pillé comme du manioc, pillé comme un aliment
Et même cet acte qui fut douloureux, chagrinant et répugnant
Vous ne dites rien, cela vous importe peu que l’on soit agressés

Que nous perdions des enfants si jeunes et fragiles
Et si c’était l’un de votre, N’auriez-vous pas réclamé justice ?
Alors que nos cœurs sont meurtris, les vôtres sont pleins de vices
Nous ne cessons guère de souffrir, considérés comme des vigiles.

Les larmes de mon peuple Où les histoires vivent. Découvrez maintenant