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Les jours et les nuits se ressemblent tellement
Cela n’est pas absurde dis-je ne riant
Certains trouvent que mes mots sont trop excessifs
Hélas ! Elles peuvent être abstraites sauf passifs

La souffrance d’un peuple meurtri
Les jours sont semblables aux nuits
Des viols, des meurtres, des cris
Aucun mot, cela reste impuni

Et quand nous réclamons enfin justice
Ils usent de leur pouvoir, n’est-ce pas un vice ?
Ils font taire certains
Ils les abattent tels de chiens
Et quand ces âmes seulettes meurent
Fourberie, ils disent ‘’ ils nous étaient si chers ‘’



Les larmes de mon peuple Où les histoires vivent. Découvrez maintenant