Les jours et les nuits se ressemblent tellement
Cela n’est pas absurde dis-je ne riant
Certains trouvent que mes mots sont trop excessifs
Hélas ! Elles peuvent être abstraites sauf passifsLa souffrance d’un peuple meurtri
Les jours sont semblables aux nuits
Des viols, des meurtres, des cris
Aucun mot, cela reste impuniEt quand nous réclamons enfin justice
Ils usent de leur pouvoir, n’est-ce pas un vice ?
Ils font taire certains
Ils les abattent tels de chiens
Et quand ces âmes seulettes meurent
Fourberie, ils disent ‘’ ils nous étaient si chers ‘’
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Les larmes de mon peuple
PoetryCe recueil de poèmes puissants plonge dans les profondeurs de la souffrance et de l'injustice vécues par le peuple de la République démocratique du Congo. À travers un langage évocateur et des expressions sincères, l'auteur tisse une tapisserie d'ém...