Chacune de tes feuilles meurtris
Sont des cris d’un crime impuni
Et quand tes larmes continuent de couler
Ton tronc s’affaiblit, ne cessant de te torturerUne par une tes feuilles deviennent lasses
Et aucune pluie ne passeElles se dessèchent comme un désert,
Aucune goutte d’eau n’a rien pu faire
Le vent attire certains vers un doux pèlerinage
Tandis que d’autres sont forcées de continuer le voyageUne par une tes feuilles deviennent lasses
Et aucune pluie ne passe
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Les larmes de mon peuple
PoetryCe recueil de poèmes puissants plonge dans les profondeurs de la souffrance et de l'injustice vécues par le peuple de la République démocratique du Congo. À travers un langage évocateur et des expressions sincères, l'auteur tisse une tapisserie d'ém...