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Dans l’est de mon pays, l’espoir s’étiole
Les corps des femmes, des champs de bataille
Violées, humiliées, souillées
Par des bêtes humaines, sans foi ni loi

Fleurs fanées, âmes en pleurs,
Sous un ciel d’orage, où la terreur demeure
L’enfance volée, l’innocence bafouée,
Dans cette guerre absurde, où la vie est vouée

Les cris perçants, leurs pleurs silencieux,
Témoignent d’un calvaire, d’un mal infini
Les âmes meurtries, cherchent un refuge
Loin de cette horreur, de cette nuit sans lune

Les larmes de mon peuple Où les histoires vivent. Découvrez maintenant