Chapitre 28 Lady Farah🏜

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PDV Externe Pendant que le couple royal s’était absenté pour une quinzaine de jours, le Palais était au soin de Saïd

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PDV Externe
Pendant que le couple royal s’était absenté pour une quinzaine de jours, le Palais était au soin de Saïd. Heureusement rien à l’horizon qui puisse troubler la paix. Et il se pourrait qu’il y est plus d’une seule romance. L’avenir est plus radieux, pas de guerre à l’horizon.

PDV Saïd
Trois jours ont passé depuis que le couple était absence, le travail ne s’accumule pas, ce n’est pas comme s’il y avait une guerre à préparer, que des dîners, des œuvres de charité. Tout va pour le mieux surtout avec le mariage royal. Maintenant que Vergil est marié le Conseil n’attend qu’une chose de lui, ça va sans doute arrivé plus vite que prévu. Ça me fait sourire. Je quitte mon bureau après une longue journée de paperasse sur des contrats et des constructions.

Je marche dans les couloirs pour arriver dans les jardins et j’entrevois une vision idylle qui a de quoi m’apaiser immédiatement. J’avance vers Farah et les jumelles qui s’amusent dans les jardins:

— Oh Saïd.
— Bonjour Farah.
— Les filles venaient dire bonjour.

Les princesses approchent pour me saluer avant de repartir a leur cueillette de fleur, visiblement Farah leur apprend à faire des couronnes. Farah se pousse légèrement du banc en tapotant dessus. J’esquisse un sourire avant de m’installer auprès d’elle.

— Tu vas bien ?
— Oui, le boulot n’est pas difficile en ce moment, j’ai beaucoup plus de temps libre qu’avant. Je ne suis pas oppressé par le travail.
— Oui, il ne faudrait pas que tu croules sous le travail, plaisante-t-elle
— T'inquièterais-tu pour moi ?
— Bien sûr que je m’inquiète.

Je l’admire, je ne m’en cache pas. Je ne le ferai plus.

— Tu imagines un peu notre vie si tu m’avais choisi à la place d’Amir à l'époque ?

PDV Farah
Je me retourne vivement vers Saïd je ne m’attendais pas à ça. Je rougis ? Oh que oui. Saïd et moi on est des amis d’enfance, on était les meilleurs amis, je savais au fond de moi qu’il m’aimait, j’avais aussi des sentiments, cependant ceux que j’avais pour Amir était plus fort, comme ceux des Amir était plus intense et la jeune moi à succomber à son charme.

— Ma vie aurait été sans doute moins triste… malheureusement, on ne peut pas changer le passé, formulais-je.
— Tu as raison sur ce point, toutefois on peut envisager un avenir.
— Qu’est-ce que tu dis ?

PDV Saïd
Je me lève je ne dois pas lui faire peur avec mes paroles, c’est tout sauf ce que je veux :

— Saïd ?
— Viens dîner avec moi ce soir.
— Je ne sais pas.
— S'il te plaît… Ce n’est qu’un dîner entre vieux amis.

PDV Farah
Je le regarde, avant de hocher la tête pour accepter. Je le regarde partir, les filles reviennent s’effondrer sur moi en riant.

— Aller on rentre jeunes filles.
— Oui Gadah* Farah ! Disent-elles
— Gadah*?

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