Déchéance Et Renaissance :L'âme, L'arme, Larmes Brisée(s)

Prologue:

Assalam alaickoum

Salut la compagnie ! C'est toujours moi, votre préférée HANZ. 😉😁

Ouvrez grand vos oreilles et préparer votre cœur à accueillir des nouvelles sensations fortes.

Je reviens en force avec une toute nouvelle histoire. 

Allez venez on va explorer un monde devenu légende de nos jours. Allons, on va essayer d'explorer cet ancien temps qui a le don de bercer nos mythes et nos contes dans cette nouvelle époque.

Allez c'est parti !

Bismillah !

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- Roi Mayaou :Abattez le, faites répandre le sang. Que ce dernier coule à flot et puisse satisfaire nos génies!!!

De sa position de chef suprême, le roi Mayaou du haut de sa tour balafre un autre de ses nombreux discours pouvant persuadé son peuple de continuer de lui prêter allégeance. D'un ton froid, sinistre et impitoyable, il impose ses phrases une à une créant une atmosphère pesante capable d'étouffer toute personne présente en ces lieux.

Après ce petit moment au cours duquel il réajuste ses grands airs et son grand boubou majestueux et royal. D'ailleurs ce dernier couvrant presque toute l'étendue de son énorme trône. Il continue toujours avec sa voix imposante.

- Roi Mayaou : verser donc ce sang, afin que nos anciens puissent être fière de nous, que l'abondance continue de faire fleurir nos terres et que les traditions ne soient jamais oublier. 

Une grande foule composé des personnes habitant ce royaume jonche la grande place publique. Au niveau de l'estrade royal qui permet la réalisation des sacrifices humains effectués d'ère à ère. Le roi depuis son rand haut placé récite à nouveau un autre discours pour justifier ces pratiques cinglantes qu'il a trouvé et qu'ils continuent d'appliquer.

D'un coup d'épée sec et froid, le bruit de la lame tranchante du geôlier s'échoue de manière précise sur le cou de la victime.

Clic!

  L'ordre du roi fut exécuté!

La tête du jeune homme part s'échouer loin de son corps et le sang gicle partout pour tâcher la pierre sur laquelle la tête était exposée à l'assemblée.

Certains cris de terreur retentissent alors que d'autres était indifférent face à ce bain de sang. À force d'y assister, ils s'y étaient habitués.

La seule expression traduite par leurs visages est celle de la peur,  sûrement redoutant d'être la prochaine victime à s'entretenir avec cette pierre.

- le roi: Oh mon peuple!! Sachez que pour chaque sacrifice. Chaque goutte de sang que j'ai fait verser, je me retrouve le cœur épris de chagrin et de douleur.

Il prend un temps de pause au cours duquel il essaie de simuler un certain geste de compassion vis-à-vis des victimes mais surtout des proches et famille présent en ces lieux.

- Le Roi Mayaou :Mais impossible d'arrêter ces pratiques, car c'est un moyen pour moi ainsi qu'à tout les rois qui m'ont précédé de vous assurer un lendemain meilleur.

De loin dans l'assemblée, une femme criant de désespoir et le visage inondé de larmes se met à hurler.

- Menteur !!! Tu es un menteur. C'est toi qui devrait mourir à la place de mon fils.

- Dogari:( homme de main du roi) toi là-bas!  D'où ose-tu tenir des propos pareils à l'encontre de notre cher roi?!!!

- la dame : votre cher roi comme vous l'appelez  est l'incarnation même du diable. Cet homme est  un monstre sanguinaire.  Si aujourd'hui il a tué mon fils, c'est surtout car ce dernier s'est levé contre ses vices.