« Je suis d’accord avec les termes du contrat mais je te demanderais de nous en faire profiter de cette fameuse protection angélique. »
- Tu seras la première à en bénéficier, Carmilla. Cela ne serait pas convenable vis-à-vis de toi alors que tu nous aides à mettre en place le projet, rassure Nity, souriante.
« Heureusement que tu es là pour rattraper les pots cassés sinon Vox aurait été quelque peu dans la mouise avec sa fausse pub. »
- Oui. Enfin, je veux surtout que le peuple des enfers ne subisse plus de purge. C’est assez agaçant quand les humains l’envisagent au travers de la purge mais si en plus, les anges s’y mettent, je vais vite m’énerver.
« J’aimerais bien te voir te mettre en colère. Je pense que cela doit être impressionnant. »Nity eut un rire léger à ses paroles. Elle continua de parler avec Carmilla sur le prochain rendez-vous afin de voir un éventuelle prototype puis observa les plans de celui-ci. Si les anges avaient décidé de les détruire alors ils allaient se défendre. Mais il était hors de question qu’elle ne perde des clients des enfers, qu’ils préfèrent l’ancienne comme la nouvelle technologie.
Une fois cela fait, elle reprit ses devoirs de chef des programmes, observant les différents émissions et séries prévus par Vox. Encore de la daube mais apparemment, les habitants de Pentagramme City semblaient s’en satisfaire. Elle jeta un œil à l’heure et avertit Vox de changer le programme s’il ne voulait pas être en retard sur le planning.
Rapidement, une odeur de brûlé lui parvint puis des cris et un bruit de porte. Fronçant les sourcils, elle mit son ordinateur en veille et quitta son bureau, marchant calmement dans les couloirs pour croiser une princesse en pleurs, serrant sa main sur son cœur. Elle la suivit du regard avec attention alors que son assistant accourut rapidement.
- Que fait la princesse des enfers en larmes dans nos couloirs ? Demanda Nity, intriguée par le comportement de Charlie.
- Elle a voulu demander un peu de temps à Valentino pour Angel afin qu’il puisse se repentir dans le cadre de son hôtel. Et bien évidemment, Valentino s’en est pris à Angel qui a repoussé la princesse, raconta son assistant.
- Putain… ce mec est une plaie.Surpris du langage de sa chef envers un des grands patrons, il l’observa partir et rejoindre le studio d’enregistrement de Valentino, entant que la brebis allait vite devenir démoniaque et effrayante. C’était elle qui l’avait recruté, pas Vox. Et il connaissait son tempérament de lionne en colère quand il s’y mettait. C’est pour cela qu’il ne la provoquait pas au contraire des Vee’s. Il jeta un œil sur son écran et vit que le grand patron Vox l’appelait, se rendant vite auprès de lui.
*
Nity entra avec violence dans le studio de Valentino qui félicitait calmement ses acteurs. Mais pas de mots gentils pour Angel. Pour cause, celui-ci s’était réfugié dans sa loge, surement en larme et en partie détruit. La violence de son coup contre la porte la fit sortir de ses gonds et tombaient juste devant le papillon de nuit qui fronça les sourcils.
- Dis donc, Nity, j’espère que tu vas réparer ça.
- Répare-le-toi-même. Dehors tout le monde. TOUT DE SUITE !Les acteurs eurent soudainement peur, fuyant la peste comme si elle venait de la croiser alors que Nity s’avança, remarquant les objets de torture disposés sur le sol, un peu partout. Valentino la suivit, ne supportant pas son caractère quand elle commençant à faire preuve d’autorité et de force à sa place. C’était lui le patron, pas elle. La brebis prit un bâillon-boule, l’observant calmement pour ensuite le lancer dans la bouche de Valentino et de l’attacher grâce à sa magie.
- Bien. J’ai entendu dire qu’une certaine princesse avait été renvoyé fissa dans son hôtel par ton manque de manière, Val.
Les paroles du papillon furent incompréhensibles à cause de l’objet et il se dépêcha de le retirer, croissant ses bras.
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l'indécence d une brebis et d un cerf
FanfictionAlastor ne supporte pas tout ce qui touche a la luxure et au rapport charnel... Mais quand ses chaleurs surviennent. Il se rends sur conseil de son amie, Rosie, chez une splendide Brebis qui se trouve être une employée de Vox. Commence une liaison o...