{ Kommandatur de Lyon,11h00}Point de vue de Heinrish :
-Décidément..Tu me complique la tache.
Dis je en retroussant les manches de ma chemise,en observant le résistant au sol.
Il est bien amoché ce fils de pute,il a un œil désormais non fonctionnel, son visage est tuméfier avec de nombreux hématomes sur le corps.
Je reste silencieux en le contemplant,cigarette entre les lèvres.
-Maintenant dit moi qui d'autres est dans ton réseau, si tu me le dit,je te laisserai la vie sauve et on oubliera cette histoire. D'accord ?
Je me penche vers lui en crachant ma fumée.
-Ce serait dommage que ta petite famille sois torturée aussi..N'est ce pas ?
Un sourire sadique se forme sur mon visage avec que mon prisonnier me regarde avec haine mélanger à la terreur.
-Je..Je ne vous dirais rien ! Allez vous faire foutre ! Sale boche !
Il me crache au visage.
Je reste silencieux en me relevant.
J'essuie mon visage en soupirant.-Vous êtes coriace..Mais c'est votre choix.
J'éteins ma cigarette contre son pectoral gauche en silence,le contact brûlant de la cigarette le fait hurler.
Mais ce n'est qu'une mélodie pour mes tympans.
J'aimerais bien entendre Engel crier aussi..
Je veux l'entendre crier mon nom,le gémir..
Ah..Je veux qu'il ne soit qu'à moi.Nous avions beau avoir prit une douche ensemble il y a quelques jours..
Ça n'avance rien,pas de baiser..
Pas ses jolies fesses avec ses jambes si..Ach,j'ai un véritable problème avec ses jambes.
Mais elles sont si belles..Un sourire niais fend mes lèvres inconsciemment.
Je me reprend en secouant légèrement la tête et reprend ma séance de torture.
-Bon..Si tu ne veux rien me dire,alors autant en finir...
Je sors un poignard et fixe la lame d'un air sinistre.
Ce poignard,c'est mon ancien camarade mort au combat qui me l'avait offert..
Depuis sa mort,je le garde toujours sur moi,pour ne pas l'oublier et honorer sa mémoire.
Je reste comme ça à fixer le métal tranchant durant quelques instants en me remémorant les beaux moments passer avec mon ami désormais 6 pieds sous terre.
-.....
Je fronce les sourcils et plante brutalement la lame dans la poitrine du prisonnier, dans son cœur.
Il pousse un cri de douleur en écarquillant les yeux.
Je retire aussitôt le poignard et le sang gicle sur mon visage et mes vêtements.
Je le laisse agoniser au sol durant quelques instants jusqu'à que ses yeux deviennent vide et que son corps deviennent juste un cadavre qui se vide de son sang.
Je reste immobile en regardant mon énième victime depuis la guerre.
Suis je un monstre ?
....
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Un amour interdit
RomanceTout cela se passe lors d'une période très sombre de l'humanité.. La WW2 Ici je vais vous conter l'histoire de deux hommes. Deux hommes qui sont l'opposé l'un de l'autre. Et qui pourtant,s'attirent. Mais leur attirance dépasse l'entendement lors de...