Et si Peter Parker n'était pas fils unique ? Et s'il avait une soeur jumelle ?
Dans cette fanfiction, nous suivons l'histoire des jumeaux Parker, et plus particulièrement celle d'Emily, la soeur jumelle de Peter.
DISCLAMER : Hormis mes OC, les per...
DISCLAMER : Hormis Emily, tous les personnages présents dans ce chapitre sont la propriété de MARVEL/DISNEY. Cette fanfiction s'inspire ouvertement des films du MCU.
Toutes les illustrations sont faites à l'aide de l'IA, je n'en suis pas l'artiste.
Saluuut ! Désolée pour cette longue absence, j'ai eu pas mal de choses à faire et j'avais très peu de temps pour écrire. Je vous promets de ne pas être aussi longue pour le prochain chapitre. En attendant, je vous laisse avec celui-ci. On commence en douceur les évènements de Endgame, vous n'êtes pas prêts pour la suite, je vous préviens déjà !
Petite particularité de ce chapitre, ayant beaucoup de personnages différents qui interviennent dans les dialogues, les noms seront précisés par moments, même si ce n'est pas dans mes habitudes. Mais sinon, c'est compliqué de s'y retrouver.
Le temps a passé et nous sommes maintenant en 2023, début octobre plus précisément. Cela fait maintenant 5 ans que l'éclipse a eu lieu. Depuis que je suis à l'université, je vois beaucoup moins Natasha mais je continue d'aller m'entraîner avec elle de temps à autre et sinon je m'entraîne seule dès que je peux. Je suis devenue plus forte, plus grande aussi et entre-temps j'ai aussi appris à tirer à l'arc. Il m'arrive aussi de passer au campus juste pour discuter et regarder Nat' danser. Ça m'apaise quand j'ai le moral dans les chaussettes. Même si cela fait 5 ans, et que j'avance, il y a des jours où c'est encore très compliqué pour moi d'accepter la disparition de mon frère. Ce jour-là, j'avais menti délibérément à papa en disant que j'avais cours tard pour pouvoir me rendre à un endroit où il n'aurait jamais accepté que je mette les pieds. J'étais arrivée en plein milieu de la réunion mais j'étais restée en retrait. Je n'avais pas besoin de discuter avec ces gens, juste une seule personne. J'attendais donc patiemment dans un coin de la salle, appuyée au mur, les bras croisés. Un des hommes expliquait qu'il avait eu un rendez-vous, le premier depuis l'éclipse, si j'ai bien compris. Et qu'il allait revoir la personne. Pour conclure la réunion de ce drôle de "club" ? Celui que je venais voir nous sorti l'un de ses discours inspirants, comme à son habitude.
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-C'est ce qu'il faut faire, comme les bébés : avancer pas à pas. Il faut du courage pour essayer de se reconstruire et de se trouver un but. En 45, j'ai fini sous la glace après avoir trouvé le grand amour, je me suis réveillé au bout de 70 ans. Mais il faut qu'on avance, on n'a pas le choix. Le monde est entre nos mains, il dépend de nous les gars. Et il faut qu'on en prenne soin autrement c'est comme si Thanos nous avait tous tués.
Je soupirais ; il avait raison. J'attendis que toutes les personnes soient parties et qu'il soit seul en train de ranger la salle pour enfin sortir de mon coin.
