Le jeu avait semblé s'éteindre au sud du pays, mais sans que l'on en fasse des vagues, the Virginity Game avait bel et bien reprit vie et ce à New York : Manhattan.
4 gars - 8 filles
«- Pourquoi... es-tu si...
Il compléta mes mots, aussi bien et c...
// J'ai ajouté une chanson, écoutez la tout en lisant ! ❤️ \\
Aujourd'hui, c'est le grand jour. Nous déménageons pour la énième fois. Cependant, au lieu de nous retrouver à Boston, Raleigh ou à Chicago, nous allons mettre les pieds à New York.
Je n'ai jamais connu de véritable maison, ni de véritables amis car nous finissons toujours par fuir notre ancienne vie. Enfin, son ancienne vie. à ma mère. Je l'aime bien, malgré le fait qu'elle change d'homme aussi souvent qu'elle change de culotte... Pas tant que ça, mais presque. Souvent, ces « amies » que je réussis à tenir pour quelques mois me demandent : « mais pourquoi tu ne vas pas habiter avec ton père ? ». Réponse qui me dérange plus autant aujourd'hui mais, je ne l'ai seulement pas connu. Il s'est éclipsé après ma naissance et m'a donné son teint de l'Espagne et mon nom espagnol : Laurana Alvarez. Mais personne ne me connaît sous ce prénom excepté les membres proches de ma famille.
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Nous avions quitté Chicago il y a quelques heures et désormais, nous étions dans le Land Rover de ma mère en plein centre de Manhattan. C'était la première fois que j'y mettais les pieds. Les buildings et tout, j'avais déjà vu mais il y avait cette ambiance... Indescriptible. Ma mère emprunta une douzaine de rues et nous arrivâmes enfin à notre nouvelle maison (bon.. maison c'est un grand mot, je dirais plus Penthouse ) dans The Greenwich Village.
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Tel que je me l'étais imaginé, ce quartier était simple et parfait. Surtout le Penthouse. Au départ j'étais un peu contre cette idée de ré-déménager mais je me suis rapidement rendu compte que je n'avais bel et bien pas le choix. Ma mère allait vivre avec son nouveau fiancé. Bradley Ackroyd, un riche avocat de New York. Malgré son opulent titre, il s'est révélé être tout de même super-gentil et attentionné auprès de nous deux. Pour une fois, je pense bien que ma mère soit tombée sur un bon Jack.
Ma mère gara la voiture sur le devant de la maison et s'éprit d'un air enjoué avant de dire :
— Oh la la... As-tu vu ces baraques Laura !
Je lui souris et elle hausse les épaules.
— Je suis certaine que l'on va ce plaire ici, me dit-elle.
Ont as pas le choix, maman, songeai-je.
Je sortis de la voiture au même moment que ma mère et elle alla discuter un peu avec le déménageur. En quelques minutes, une dizaine de gars se mirent à sortir nos meubles du camion. Bientôt, nous allions pouvoir réellement vivre dans notre 6 ème maison.
