< Mercredi 25 mars à 9h00 >
Pdv iris :
Satoru : *rigole* je plaisante. Ou pas.
Il m'ébouriffie les cheuveux et je peux que me contenter de râler. Qu'est-ce qu'il est chiant quand il me fait sa !
Moi : tu te retrouve avec la garde du fils de toji. C'est drôle à savoir.
Satoru : qu'est-ce qui est drôle ?
Moi : toi. Te voir que tu va t'occuper d'un enfant.
Satoru : tu remet en cause que je ne peut pas m'occuper d'un gamin ?
Moi : *sourit* je remet pas en cause. J'interprète se que tu viens de me dire.
Satoru : pff toujours aussi bornée.
Moi : ta geule !
Satoru : haha !
Un silence s'installe entre nous. Un silence que personne oserez vouloir. Je n'ai plus trop de sujet à aborder... pourquoi il faut toujours qu'il y a un blanc gênant entre satoru et moi !
Sans le vouloir je me rappelle de se qui m'a dit la dernière fois
[ Satoru : tu avais essayé de m'embrasser le soir même. ]
Sans savoir pourquoi je deviens encore plus gêner
Satoru : tu pense à quoi là ?
Moi : *gener* rien rien !
Satoru : dit là. Me force pas à utiliser mes techniques.
Moi : *lève un sourcil* "t'es techniques" ? Pff crois pas sa va me faire cracher le morceau.
Satoru : ah ouais ?
Il me regarde dans les yeux, son regard plongeant dans le mien. C'est trop envoûtant...
Il commence alors à s'approcher de moi, ses mains touchant les miennes légèrement. Je sens la chaleur montée peux à peux en moi. Quand je vous est dit que c'était gênant les silences entre Satoru et moi...
D'ailleurs pourquoi je ne réagit pas moi ? Sa me gêne un peux qu'on soit si proche. Bouge iris bouge !
Finalement c'est lui qui se recule. Heureusement !
Satoru : t'a pas bouger d'un pouce. J'aurais pu t'embrasser tu sais.
Moi : hein ? Nan mais te gêne pas non plus !
Satoru : oh vraiment je peux ?
Moi : non.
Nan mais qu'est-ce qui croit ? Il est vraiment fou !
Satoru : dommage en tout cas je sais que tu me kiffe
Moi : croit pas trop à tes belles paroles.
Satoru : t'a de la chance que je lis pas dans les pensées des autres.
Moi : c'est vrai j'ai de la chance.
Pour baisser la tension entre nous je pique une pairs de ses lunettes noirs puis je les met. Il fait tout noir !
Moi : mais il fait vraiment tout noir dans tes lunettes !
Satoru : tu t'attendais à quoi ? A du blanc ?
Bah non je m'attendais à du transparent
Moi : bah je m'attendais à des lunettes normal.
Satoru : je suis pas comme les autres et tu n'est pas comme les autres donc le mot "normal" peut aller se faire foutre.