8. ELIAS OZEROVA

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Huit heure du matin.
Depuis six heures, je cours.
Je cours sans relâche. Jusqu'à épuisement.
J'étais trempé jusqu'aux os du à la sueur.
Pour ce qu'il en est de la flic.
Elle est bel et bien morte.
Alors, en guise de message : j'envoya mes hommes laissaient son corps devant le poste de police de la Floride.
J'espère que ce cadeau leurs a plus d'ailleurs.
Je m'en voudrais énormément d'avoir fait déplacé mes hommes pour rien.
Un appel entrant s'affiche sur ma montre de sport :
Le Sergent Gardner

— avez-vous aimé mon petit cadeau Sergent Gardner ?
— non. Recevoir le corps d'un des nôtres et tous sauf un cadeau à offrir. Dit-il d'une voix dur.
— cela me déçois. Dis-je avec nonchalance
— écouter moi bien Monsieur Ozerova. Je vous en fait la promesse. Vous finirez derrière les barreaux pour le meurtre de l'Agent Collins et pour avoir vendu de la drogue.
— vous êtes bien optimiste. Vous n'avez aucune preuve.
— certes mais j'ai confiance en moi et en mon équipe.
— et bien je vous conseille de me rendre au plus vite ce qui me revient, si vous ne voulez pas qu'un autre de vos agents y passe. Vous avez deux jours.

Je raccroche de sang froid.

Je retourne à mon domicile, vers les coups de huit heures et demi. Je pris une douche.
M'habille d'un costume trois pièce de couleur eben et ajoute à ceci une longue veste en cuir.
Une fois fin prêt, je sortis de ma chambre, longue le couloir, descends les marches d'escaliers.
Esmée, la sœur jumelle vient se joindre à moi.

— quel classe où est-ce que tu vas ? Me demande t-elle
— je vais déjeuner puis travailler.
— avec ?
— Kara.
orh. C'est quand qu'elle va se barrer d'ici elle ?
Je balais sa question de ma tête. Il était inutile de répondre à cela.

« une fois qu'on aura retrouvé Serenah » pensais-je.

Des claquements de talons se faisaient entendre vers les escaliers. Elle était enfin prête.
Vêtu d'un chemise en satin rouge bordeaux et d'une jupe beige, ausi en satin. Son cou était accessoirisé de plusieurs colliers en or. Il en était de même pour ces poignets.

— où est-ce que vous m'emmenez ? Me demande Kara.
— déjeuner.
— j'ai pas faim.
— est-ce que t'ai demandé ton avis ? Dis-je en la dévisageant. Elle soupira assez fort avant de se mettre à marcher jusqu'à la voiture.

Je pris le volant et nous nous mettons en route pour le Arlo Restaurant. Le restaurant le plus réputé de toutes la Californie. J'ai l'habitude d'aller déjeuné ou dîner là-bas. Faut dire que je connais assez bien le gérant.

Nos plats arrive au bout d'un quart d'heure.
Un steak saignant suivie de sa purée de pomme de terres pour moi, et une salade César pour mon invité.

— j'ai déjà réfléchi à comment procéder pour retrouver Sérénah.
— parce que tu crois que je t'ai emmené ici pour quelle raison ? Dis-je remplis d'arrogance.
Je t'écoute.
— organisez moi un rendez-vous avec Kev Compbell.
Je lui proposerais un marché. Serenah contre l'argent que je lui est pris... ou volé.
— très drôle. Dis-je en ricanant.
— laissez moi finir. Vous blanchissez de l'argent n'est-ce pas ? J'hocha la tête. Alors je n'ai plus besoin de développer mon idée vous m'avez comprise. Il y a une contrainte à tous cela : je ne veux en aucun cas être impliqué dans cette affaire. Ce sera donc à vos homme de procéder à l'échange.
— et pourquoi ?
— je ne veux pas que Serenah sache que j'ai été emmené à coopérer avec son frère.
hum, tu t'es trompé de phrase « je ne veux pas que Serenah sache que j'ai embrassé son frère, last night, in a swimming pool... » right?

Un long soupire se fit entendre.
Exactement la réaction que j'attendais venant d'elle

c'est d'accord. Qu'on soit d'accord, c'est toi qui ira informer Kev de se marcher.
— bien sur.
— on est d'accord. Un serveur vient nous donner l'addition. Ah, dites au patron que c'est lui qui offre.
— et c'est à quel nom ?
— celui qui lui doit une fier chandelle. Il saura qui c'est.

Nous nous levons de table et rejoins ma Range Rover. Avant de m'assoir sur mon siège, je place une cigarette entre mes doigts et l'allume. La voiture est démarrée, j'ai ma clope en les doigts, on peut y aller.
Je remarque via son visage, que la fumée avait l'air de la déranger.

— ayez pitié pour mes narines et mes poumons. Et les votre aussi d'ailleurs.
— ça n'avait pas trop l'air de te déranger hier...
— décidément... dit-elle suivit d'un soupire de désespoir. Où est-ce que vous m'emmenez cette fois-ci ?
— sur mon lieux de travail.

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 05 ⏰

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