Le beau finit par faner un jour.
<< POINT DE VUE OMNISCIENT >>
Elle rajoute de la mozarella râpée et remet la pâte dans le four pour régler à 150° et mettre le minuteur à 20, elle sent un regard se poser sur elle,sans pouvoir retourner sa tête, elle sait déjà qu'il s'agit de lui.
Sabrina - Tu me regardes un peu trop à mon goût.
Samuel - Tu cuisines, ça me surprend.
Sabrina - je me rapproche de cette femme de proverbe 23 finalement ?
Samuel - Tu as retenu le passage.
Elle se sent fière de voir à quel point ce petit détail lui fait plaisir, sabrina reconnait qu'elle s'accroche à cet homme pour oublier sa douleur mais d'un autre côté, elle s'en veut de devenir dépendante de lui alors qu'au départ, elle avait accepté sa compagnie par la menace de son père.
Samuel - à quoi penses-tu ?
Sabrina - Ma mère me manque.
Samuel - Je le sais Sab.
L'homme vient enrouler ses bras autour de sa taille, que c'était reconfortant cet endroit, oui, dans ses bras, elle trouvait du réconfort, elle n'avait plus peur de la vie.
Sabrina - je n'ai pas envie de faire de toi ma drogue, je pourrai faire une overdose qui nous détruirait tous deux.
Samuel - Tu as peur de m'aimer parce-que ça signifierait donner raison à ton père, lui donner raison d'avoir fait ce choix pour toi mais laisse-moi te dire que ce choix était fait par Dieu pas par ton père.
Sabrina - ça te dérange pas de repousser le mariage ? je veux dire, on est pas obligé de se marier maintenant.
Samuel - si tu n'es pas prête alors rien ne se fera Sab, tout ce que je veux, c'est de te savoir heureuse à mes côtés.
Sabrina - Tu es un ange Samuel.
Samuel - Un ange qui est fou amoureux de toi.
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Pendant ce temps, Francisco était dans son bureau avec son avocat, il avait fini par se résigner de la visite d'Aëline et sa tante mais ses hommes étaient entrain de surveiller son appart.
Avocat - vos fils ont réussi à déposer une plainte contre vous et nous sommes dans l'obligation d'y répondre, ce qui signifie qu'on va devoir partir à New-York pour établir une défense en béton.
Francisco - je suis pauvre.
Avocat - sous votre respect monsieur Saeren, vous êtes milliardaire et leur plainte ne repose en rien sur la revendication d'une quelconque somme.
Francisco - je possède peut-être des milliards dans mon compte mais je suis un pauvre père, je m'apprête à faire la guerre à mes propres enfants qui me détestent plus que tout au monde, vous savez maître.

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BABY MAMA II
RomanceTellement des vices qui détruisent une destinée. Voici, la suite de l'histoire de Noam et sa baby mama.