10 août 1940,
Le son de l'horloge, me fit sursauter en sueur je regarda l'heure. 1h00. Bon dieu, j'ai encore rêvé de lui...
Depuis que je l'ai revu je ne peux m'empêcher de rêver de lui, d'une manière étrange. Mais que diable m'arrive-t-il ? Je tenta de retrouver le sommeil mais en vint.
Je souffla avant de sortir de mon lit, je jeta un coup d'œil à la rue déserte, aucun signe. Je sorti de ma chambre pour aller me prendre un bon verre de lait, pour ainsi tenter de retrouver le sommeil, maman me disait quand j'étais enfant que le lait aidait a trouvé le sommeil.
Je bu d'une traite avant de retourner me coucher.
Il était midi, j'étais entrain de passer la commande à une table, quand soudain un homme m'interpella, il portait un uniforme noir, et ces yeux. Oui ces beaux yeux bleus rencontrèrent les miens. Le colonel Von Kiefer, mais que me veut-il ?
Je lui souriait tout simplement avant de finir ma commande et de leur donner leurs boissons et je me dirigea par la suite vers cette homme qui m'attendait avec impatience.
- Mademoiselle Moreau, n'auriez-vous pas trouvé un pistolet sur la table au fond près de cette porte. Me demanda t-il en me montrant d'un geste de la tête la porte qui se situait tout au fond a côté du bar. Je lui fit un signe négatif de la tête avant de repartir vers les autres tables. Quatorze heures, le service terminer je retira mon tablier et m'apprêtais à sortir de l'établissement quand le colonel revînt vers moi, une expression grave au visage.
- Mademoiselle Moreau, suivez moi je dois vous parler, cela concerne votre famille. Inquiétée je suivi l'allemand dans les rues de la villes vivante, dans les rues les passants allaient et venaient. Se disaient bonjour où bien au revoir, et moi j'étais là devant lui, a le contempler. Depuis que je l'es vue rabaisser ce jeune homme ce jour là, ma vision le concernant a tout bonnement changer. Mais mes sentiments eux ne pourront malheureusement jamais changer. Même si je le sais je ne dois pas, le fréquenter et encore moins lui dire.
- Je dois dire que ça aurait pu être un peu plus difficile si vous n'étiez pas rester chez votre père. Je voulais vous parler de votre sœur Léa, j'ai bien peur que la nouvelle puisse vous réjouir mais votre sœur est enceinte du colonel Hartmann, comment je le sais. Je ne peux pas vous le dire. Enfaite je ne devrais même pas être au courant comme aucun autre allemand mais la rumeur c'est ébruiter. Félicitations vous allez devenir tante.
Comment ça félicitations ? Ma sœur est enceinte et c'est lui qui me le dit et pourquoi pas ma sœur. Et Augustine alors et papa aussi qu'est-ce qu'ils en pensent eux ? Sont au courant au moins ?
- Ma soeur et mon père sont il au courant ? Demandais au colonel inquiéte.
- Nein. Il n'y a que vous pour l'instant.
- Seigneur, mais que vais-je faire ? Comment va devenir ma soeur, elle n'est même pas mariée et avoir un enfant comme ça alors que ça ne fait que peut de temps qui se côtoient. C'est impossible elle ne peut pas être enceinte pas maintenant. Non... Impossible...
- Impossible n'est pas français.
Je le regardais étonné par ce qu'il venait de sortir, impossible n'est pas un mot français alors c'est quoi pour lui ? Allemand ? Italien ? Où bien américain ?
Oh mon dieu mais que vais-je donc bien pouvoir faire.
- Colonel je dois vous laisser, mais je vous remercie de m'avoir mise au courant. Je ne sais pas ce que ça devenir ma soeur maintenant. Et ni comment elle va terminer après l'accouchement.
- Ce n'est pas votre problème mais le sien. Elle avait cas éviter d'ouvrir les cuisses trop tôt.
Quoi.
Mais il se prend pour qui ? Oser dire ça de ma soeur.
- Ma soeur n'est pas une putain. Pas comme toutes les femmes que vous ramener dans votre lit colonel, celle qui sorte des maisons closes.
Il me regardait sans rien dire, ignorant presque mes paroles. Quel sale type il pouvait être parfois. Je m'apprêtais a rebrousser chemin quand sa main ganté s'enroula autour de mon poignet. Ces yeux encré dans les miens, il le demanda de son accent allemand.
- Puis-je vous inviter à dîner ce soir ?
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La valse du Diable
RomanceJuin 1940, Une tempête en été. Est-ce étrange de jouer du piano, le jour de l'occupation ? Et d'intituler la mélodie, tempête en été ? Car bien malheureusement, les Français fuyaient leurs maisons, comme s'ils fuyaient une dangereuse et dévas...