PHARAON, MY ONLY LOVE.
🌃🖤
Même si t’es parti, regarde, ça va.
J’étais là me réfugiant dans l’obscurité, tremblante et incapable de bouger.mes jambes fermement tenu contre ma poitrine, les hommes s’avançaient vers moi. leur regard de prédateur me deshabillait, je fermais les yeux innondaient de larmes souhaitant que ce cauchemar prenne fin.
Ma respiration haletante, Mon nœud à la gorge m’empêchaient de prononcer quoi que ce soit. j’étais comme cet enfant qu’on venait de tabasser et qu’on interdisait de pleurer, je les ravaler incessamment brûlant mes cordes vocales et mourant dans la pénombre.
Je serra les poings suppliant mon corps de réagir...De fuir.
Des notes amers se posaient brutalement sur la symphonie du malheur.
Mon mal être ne faisait que s’accroître et leur présence dominante comme un chef de famille me couper vie.Mon corps n’obéissait plus, mes yeux étaient figés dans un coin de la pièce terrorisé.
Mon être tout entier frémit au premier touché, je recule instinctivement et me cogna la tête contre le mur froid qui me bouscula, m’encourageait presque mais...je ne bougais pas,
je ne me levais pas,
Je ne cria pas,
Je ne respirais plus,
Je ne vivais plus,
Je n’existais plus.Ils me tenaient, me retournaient, me debattant avec le peu de vie que j’avais en ce moment mais rien à faire la douleur était immense et insupportable...
J’étais balotté et malmené, chaque mouvement était une agression, chaque souffle un supplice. L’obscurité m’enveloppait et m’étouffant...je ne pouvais plus crier ni me débattre.
Je leur laisser faire impuissante, ridicule et stupide comme un esclave qu’on bat à coup de fouet à la moindre résistance et qui préfère subire le cataclysme à la torture.
Il fallait que ça cesse, il fallait que je cesse de me débattre après quoi peut-être je me donnerai la mort d’une autre manière si l’on me prêter vie.
Que si je meurs là en expiation de mes maladresses et de ma timidité, que le tam-tam de la mort laisse danser mon sang jusqu'à vous et que résonne la voix des sans voix car moi je n’ai pu bougé.
_bonne fille,dit une voix grave
_ allons-y nous n’avons plus rien à faire ici, ajoute une autre voix avant de reprendre, oh j’allais oublier.
Je me sens me réveillé par des secousses brutales, je prend conscience rapidement de tout et me lève en sursaut et mur réfugie dans le coin le plus proche
_ tiens. lance l’un des hommes indifférent en me jettant au visage une poignet de pièce.
_ Q-...quoi...
_ quoi donc ? Dit-il amusé, à chaque travail bien fait récompense bien méritée, non ? Tu viendras nous dire bonsoir aux cavernes de temps en temps j’espère ? Ajoute t-il avant de sortir de la pièce lui et ses compagnons.
Je m’effondre en larme, qu’ai-je donc fait depuis le sein de mon indigne de mère pour mériter ça ! Pourquoi tant de haine?
J’aurai gracieusement acquiescé qu’elle soit stérile et maudite par anubis plutôt qu’isis, divinité de la fertilité, lui soit prise de pitié et réponde à sa quête. J'aurai tout simplement aimé ne pas exister.C’est sur ces mots que je me lève tant bien que mal en serrant les pièces contre ma poitrine, rempli d’amertume avant de les placer dans la poche de ma robe, tachée et salie sans vraiment savoir où je vais.
Je longe les couloirs, ouvre des portes, croise des fenêtres et cogne des passants sans pour autant m’excuser._ oh zira justement, s’empresse t-elle à dire avant de se retourner, je vou-...
Je regarde tout autour de moi les yeux encore imbibés de douleur et de noirceur. Je n’avais pas su que j’étais arrivé dans ma chambre, beaucoup trop troublée pour le savoir j’imagine.
Je force un faux sourire pour ne pas l’inquiéter tandis qu’elle s’approche lentement vers moi, un peu perdue comme si j’étais une revenante.
Elle pose sa main sur mon épaule mais je grimace face à cela et Je recule rapidement à son touché.
_ qu’est-ce qui t’es arrivé ma chérie ? Je...
Elle pose sa main à sa bouche incapable de continuer sa phrase.
_ tu sais la monotonie, je grimace en souriant.
Mais non, c’était le sourire de trop.
Vous savez cette sensation de quand faire semblant trop longtemps tire sur les ficelles de nos cœurs?
cette sensation, où le cœur pleure pendant des heures et que le sourire règne empereur ?
Cette sensation là c’est comme ça que je me suis senti
Cette sensation de devoir subir et d’envier la verdure voisine parcequ’à la naissance la femme qui aidait ma mère à l’accouchement à crié " c’est une fille ! "
Et c’est parceque je suis fille que j’endure.
Une femme qui pleure ça suffit amplement alors
Je relève ma tête en effaçant mes larmes et pose un regard annondin sur malikah.Aujourd'hui c’est jour de fête, je vois sur ses vêtements.
mais aujourd'hui je me rappellerai toujours de ce qu’on m’à fait, je me rappellerai toujours sous la pluie ou sous le soleil qu’ils sont entrés en moi comme un brigand dans la nuit venant tout pier et me laissant là déshonoré._ tu t’es si joliment apprêté, dis-je en touchant son voile toute souriante, tu m’attendais n’est-ce pas ?
_ oui j’avoue,fit-elle en cachant sa tristesse, t-tu...dois te présenter également, ne tarde pas je t’en prie. Ajoute-elle avant de sortir rapidement, me bousculant presque, de la pièce ne voulant pas que je vois ses larmes.
Je m’avance alors sur mon divan avant que quelque chose d’autre n’attise mon attention : un son aiguë, le seul qui m’appelle, que je désirais comme haïssais.
Hello everyone !👾💜
J’espère que vous vous portez bien 🐱❤️🩹
Donc,voilà pour ce chapitre plutôt sensible je l’admet,c’est pourquoi j’ai essayé d’utiliser des termes qui éviterons de vous choquer ou de faire remonter des traumatismes❤️🩹
Ah et aussi sachez que J’ai besoin de vos avis et de vos remarques vous savez c’est very important for me 🫶🏾🤎
votez & commentez 🪷🩷
VOUS LISEZ
PHARAON, MY ONLY LOVE
Romance"Zira," dit-il doucement, "ta danse est un don des dieux. Je suis kader, le prince héritier. Puis-je avoir l'honneur de te connaître davantage ?" Zira, surprise mais honorée, s'inclina devant le prince. "Votre Altesse, je suis humblement à votre ser...