One shot - formula one drivers - FR

Logan Sargeant x Oscar Piastri

Je sais que tout le monde n'aime pas ce ship, mais moi j'aime bien.

#loscarundesmeilleurshipdef1

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Pdv : Logan.

Aujourd'hui on est le 21 juillet 2024. C'est le Grand Prix d'Hongrie. Je suis qualifié P14, juste derrière mon coéquipier Alex Albon. Cela ne s'annonce pas facile. L'équipe a repéré plusieurs problèmes sur ma voiture. J'espère qu'ils vont trouver une solution.

Au contraire, la course a l'air de bien s'annoncer pour Oscar. Il part P2. Peut-être aura-t-il la chance de gagner pour la première fois en formule un ? 

Je l'envie beaucoup. Je n'ai encore zéro podium à mon actif. Alors savoir que lui frôle la victoire me rend un peu jaloux. 

Il m'encourage tout le temps, me disant de ne pas désespérer. Je le remercie avec mes plus beaux sourires plein de mensonges, en pensant qu'il y croit. Mais il n'est pas dupe.

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P17. Oui, P17. Apparement, mon équipe n'a pas résolue tous les problèmes de ma monoplace. Une perte de puissance au 30ème tours. Tout ce qu'il falait pour me démotiver encore plus. 

Oscar, lui, a gagné. Pour la première fois. Je le regarde soulever son trophée. Il est heureux. 

Après la presse, les remarques de mon équipe sur ce que je devrais améliorer la prochaine fois, à croire que cette fois-ci s'était moi le problème, je partis féliciter Oscar. Quand il me vit, il courut dans mes bars. Tout en essayant de me remonter le morale sur ma P17.

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Je rentre dans ma chambre d'hôtel, assez fatigué de la journée de j'ai passé. Je regarde ma montre, 20h34. Je n'ai pas mangé. Je décide donc de descendre au restaurant de l'hôtel.

J'ai mangé seul, malgré qu'Alex m'ai demandé de manger avec lui. J'ai refusé car j'ai besoin d'être seul. Il l'a bien compris puisqu'il m'a laissé sans poser de questions.

22H00, On toque à ma porte. Bizarre. Je décroche mes yeux de l'écran de mon téléphone, sur lequel je défile mon fil instagram, ne trouvant rien de mieux à faire. Je me lève de mon lit et part ouvrir la porte.

C'est Oscar, sûrement venu me remonter le moral.

- Comment ça va ? - dit-il.

- Plutôt bien. - mentis-je.

Ses sourcils se froncent, je sais qu'il sait que je mens. J'ai une tête fatigué, je suis mal habillé, et on a l'impression que je viens de me réveiller.

- Tu me laisses entrer ?  

- Oui bien sûr. Je me décale pour le laisser entrer.

Il s'assit sur mon lit. Je fis de même.

- Dit moi, qu'est-ce que je dois faire pour te rendre heureux ?  Qu'est-ce que je doit faire pour te montrer que tu es exceptionel, extraordinairement talentueux, et que tu es magnifique ?

Ce dernier compliment me fit une drôle de sensation dans le ventre. Je sais qu'avec Oscar on est très proche, mais je n'ai jamais pensé à l'éventualité que je puisse ressentir plus que de l'amitié envert lui.

- Fin ce que je voulais dire c'est qu-

- N'enlève pas ce compliment. Tu me trouve magnifique ? 

- Oui... Non... Fin... Si....

Un silence s'installe dans la pièce.

- Tu es très beau aussi. Dis-je pour le rassurer qu'il n'est pas seul à penser dans ce sens.

Oscar se détend, et fit un action inattendu. Il prit mon visage entre ses mains. Elles sont chaudes et rassurantes.

- Logan écoute, tu as beaucoup de talent. Ne te sous-éstime pas. Dit moi comment te le faire comprendre s'il te plaît. 

Au fur et à mesure qu'il parlait, je me surpris à comprend que seul Oscar réussisait à me rassurer. Il a une sorte de pouvoir sur moi qui me détend. Et soudain, l'idée que je puisse l'aimer plus qu'un ami se confirme.

J'ai besoin d'Oscar. Je ne peux pas vivre sans lui près de moi pour me remonter le moral et me rassurer.

Je pris à mon tour son visage entre mes mains et déposa délicatement mes lèvres sur les siennes. Je le surpris à répondre à mon baiser. On se sépare à bout de souffle, et je prend la parole le premier.

- J'ai besoin de toi Oscar. Reste avec moi. J'ai besoin que tu sois là pour m'aider à aller mieux.

- Je le ferais Logan. Je le ferais.

Il déposa délicatement ses lèvres sur les miennes et on s'endormit dans mon lit l'un dans les bras de l'autre. Rassuré de la présence de l'autre.

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J'adore ce chapitre. Le concrêt a mit plus de temps à venir mais c'est pas mal. A plus pour de nouvelle !

Louise, 732 mots