Omegle. [L-S] #wattys2015

Chapter Forty-Eight

*PIZZA* après maintes et maintes protestations, je vais essayer de faire un chapitre lemon. Bonne lecture bande d'obsédées ;-) *PIZZA*

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Louis me tient fermement par la main alors que je ferme la porte de notre appartement derrière nous. Alors que je me tourne pour lui faire face, il se rapproche de moi, sa tête dérivant vers ma nuque, son souffle chaud me balaie la peau.

"Et si on jouait à Titanic?" Ses yeux verts cherchent les miens. "Tu seras l'iceberg, et je descendrais. Si tu vois ce que je veux dire?"

Je rougis et il sourit alors que mon dort s'heurte presque douloureusement contre la porte d'entrée. Il prend d'assaut mon cou et sans me laisser le temps de protester, ses mains glissent sous mon t-shirt afin d'explorer mon torse. Il pince mes tétons et je gémis, surpris et commençant à être fortement excité. Il semble le sentir car l'une de ses mains sort de contact avec ma peau pour se poser là où ma bosse commence à rendre mon caleçon étroit.

"Louis," je gémis, "prends moi."

"Je n'attendais que ça."

Il me tire dans la notre chambre mais nous restons debout. Enfin moi, car lui, il s'abaisse au niveau de ma taille et détache la ceinture et déboutonne mon pantalon avant de le tirer vers le bas. Le fait que ce soit un skinny n'aidant en rien, je l'entends pester.

"Putain, pourquoi est-ce que tu ne sors pas en joggings?"

"C'est tout sauf sexy." Je rétorque ayant retrouver mes moyens.

"C'est super sympa Hazza."

"Je t'aim- putain Lou!"

Sa bouche s'est posée si subitement sur mon gland que j'ai bien cru que j'allais casser mes cordes vocales en criant. Il lèche toute la longueur de ma verge et je gémis, m'appuyant très, voir trop, fort contre le mur. Ses mains attrapent la partie qui ne rentre pas dans sa bouche et il pompe. Je cris en attrapant ses cheveux, le poussant à aller plus loin et plus vite. 

Je sens que je vais exploser alors qu'il joue avec mes bourses me taquinant. Sauf qu'il doit également le sentir car il arrête tout mouvement et qu'il attrape ma main et me pousse sur le lit. Il s'allonge sur moi et retire mon t-shirt, en même temps de ses propres habits. Il s'allonge de tout son poids sur moi et nos érections frottent ensemble, il dépose un baiser sur mes lèvres, m'embrassant avec toute la passion dont il est capable.

"Harry."

J'ouvre les yeux et je remarque que son visage plane au dessus du mien et qu'il me sourit timidement. 

"C'est ma première fois avec un homme."

"Non ça ne l'est pas," je fronce les sourcils, "on a déjà couché ensemble."

Je tente d'être le plus sérieux possible, bien que mon excitation m'en empêche pas mal. 

"Ce n'est pas ça que je veux, à chaque fois, c'était moi qui te pénétrais. Je veux que tu le fasses cette fois-là."

Je souris alors que je comprends ce qu'il dit. Je gémis alors que sa tête plonge dans le creux de mon cou et que je m'occupe de le préparer. Je dirige mes doigts jusqu'à son entrée et la caresse avec un doigt avant de l'entrer lentement, très lentement à l'intérieur. Il gémit et je sais que c'est de douleur alors je ne bouge pas. Il mordille la peau de mon cou  et je prends ça pour son feu vert. Je bouge lentement mon doigt et je le sens frémir contre moi alors que sa bouche vibre contre ma nuque, me laissant imaginer qu'il gémit.

Une fois que je le juge comme assez préparé, je cherche des yeux un préservatif mais il secoue négativement la tête.

"Je veux te sentir."

Je le retourne et je place mon gland devant son entrée. Je le tiens fermement plaqué contre moi et je le pénètre, à la fois doucement mais aussi fougueusement.

"Aïe."

Un mot, enfin onomatopée. Je me fige et je suis sur le point de me retirer mais il secoue la tête et place une de mes mains sur son sexe en érection.

"C'est bon bébé, je p-peux te-nir."

Je gémis alors que je me mets à bouger tout doucement en lui. Je suis frustré de ne pas pouvoir aller au rythme qui me convient, jusqu'à ce que les gémissements de Louis parviennent à mes oreilles et je lui embrasse la clavicule.

"Ac-célère."

Je ne me fais pas prier et accélère le mouvement. J'attrape fermement ses hanches afin de pouvoir me prendre un appui et il se pousse contre moi. Je suis même étonné de le voir lui même tenter d'accélérer mes coups de reins.

Je le sens se resserrer contre moi et il cri de plaisir alors que je touche sa prostate une première fois. Je gémis rien qu'en l'entendant au bord de l'explosion de son plaisir.

"Je v-vais ve-nir." Il articule difficilement.

Je donne un dernier coup de bassin en hurlant mon prénom et je ne peux m'empêcher de me sentir fier qu'il ait fait savoir à tout le reste de l'immeuble qui lui avait fait plaisir cette nuit. Qui l'a fait se sentir aussi bien. Il vient dans les draps et je gémis à mon tour. Je sors de lui et il se retourne la seconde d'après, me souriant de toutes ses dents.

"C'était comment?" Je le taquine en posant mon index sur sa bouche.

"Je t'aime." Est la seule réponse à laquelle j'ai droit.