Enfermer

Le directeur

Finalement, on s'arrêta devant une porte sur laquelle il était écrit en grosse lettre le mot 'Directeur'. L'un des deux infirmiers cogna sur la porte et celle-ci s'ouvrit lorsqu'on entendit le mot 'entrer'. La première chose que je vit en entrant dans la pièce fut qu'il y avait un énorme bureau et une énorme chaise juste derrière sur laquelle il y avait d'assit le directeur. En face de son bureau, il y avait une chaise et c'est justement sur cette dernière que les deux infirmiers m'assire avec force. Une fois assit, ils reculèrent s'accoter au mur. Génial ,me voilà coincé avec le directeur et ses deux gorilles. Le directeur releva enfin la tête de sa paperasse et me regarda. Moi, oui moi avec la camisole de force encore sur le dos. - Alors Jack, on frappe le personnel de l'hôpital maintenant ? , me demande-t-il ,avec le plus grand calme. - Oui, mais c'est lui qui avait commencer, répondais-je bredouille. - Ce n'ai pas ce que Harry m'a dit. D'après lui, c'est toi qui aurait commencer. Il dit qu'il te posait une simple question et que toi pour je ne sais quel raison, tu t'es lever et tu là frapper à la figure, dit-il. - Il m'avait provoquer .Il me dénigrait, dis-je. - C'est intéressant, car ce n'ai pas ce qu'il m'avait raconter, dit-il. Non sans blague ! Comme s'il allait avouer ! Il n'est pas assez stupide . Le directeur feuilleta encore quelque feuille avant d'enfin me regarder. Moi et les infirmiers derrière moi. - Emmener monsieur Jack dans sa chambre. Je n'ai plus de question à lui poser. Oh, et veiller lui apporter de la nourriture et de l'eau, dit-il. Après un bref regard dans ma direction, il regardait toujours les infirmiers derrière moi et il continua sur sa lancer. - Et veiller à ce qu'il prenne une douche, il pût . Bon, c'est vrai que je n'ai pas prit de douche depuis un certain temps, mais je ne pu pas t'en que ça. Les infirmiers marchèrent jusqu'à moi et me prirent chacun un bras avant de me lever de ma chaise et de nous diriger tous ensemble vers la porte. - Et messieurs. Veiller à ce qu'il prennent ses médicaments, dit le directeur. - Oui, répondirent les infirmiers en cœur . Génial ,j'aurai droit à une douche, à de l'eau, à de la nourriture et aussi à des médicaments, comme ces sympa de votre par de penser à moi ! Après m'avoir trainer dans un autre dédale de couloir, on arriva enfin à ce que j'espérais être les douches. Les deux infirmiers me jetèrent au sol et commencèrent à m'enlever ma camisole de force. Après l'avoir enlever, ils me dirent haut et fort de me déshabiller et de me laver. Je sens que ça va être une vrai partie de plaisir. Après m'être laver sous la douche, je rêvons vers les infirmiers avec une serviette autour du corps. Ils m'attendaient avec des vêtements dans les mains que je supposais être pour moi. - Tiens, c'est pour toi, me dit l'un des deux. Il me lança dans ma direction les vêtements et je les rattrapa . C'était ce qui était ,je crois être une espèce de chemise grise délavé et un pantalon gris délavé également et trop grand pour moi. Ça venait avec des souliers de la même teinte de gros, mais cette fois, ils étaient trop petit pour moi. Une fois habiller ,les infirmiers avaient l'air d'apprécier ma nouvel tenu. De toute façon ,toutes les personnes ici portent les même vêtements que moi. Genre, ici on n'a pas le droit d'avoir l'air d'être à la mode. Non, on sèche .