L'asile

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Donc, voilà comment Jack Dubois, donc moi, atterri à cette hôpital psychiatrique ou ils sont spécialiser dans les tentatives de suicide. Et ou je raconte mon histoire a des tas d'inconnus assit à côté de moi qui sont eux aussi diagnostiqué comme étant suicidaire comme moi à une de ces fichu réunion de groupe ridicule. - Merci, Jack, pour cette magnifique histoire, dit l'infirmière assise à côté de moi. -J'aurai dût sauter à 3 et non attendre jusqu'à 10, dis-je. Plus tard ce jour-là, je n'aurai jamais cru que je me ferai des amis dans cette endroit sinistre. Sinistre, parce qu'il n'y a que la douleur, la tristesse et la désolation qu'on sent à plein nez. Comme si ça pouvait ce sentir ces truc là, mais étrangement, tous le monde semble de mon avis. Quand je dis tous le monde, je veux dire les autres patients comme moi pu comme je les surnomme 'les prisonniers'. Et heureusement pour moi, vu que je suis une star, je n'ai le droit de rester dans cette endroit sinistre que pour trois mois. Comme si je voulais rester! Sans blague! Plutôt mourir, que de rester trois mois ici! Ma seule consolation est que les gars du groupe vont venir me voir demain. Heureusement, mon frère ne fait pas partie du lot. Comme si je voulais le voir! Donc, nous voilà midi, c'est l'heure de manger. Enfin! Je meurs de faim depuis ma confidence de ce matin. Rendu dans la cafétéria, je me mis en file avec les autres au comptoir pour recevoir ce qu'on va manger. Par pitié , faite que ce soit mangeable! Plus loin dans la file, plateau en main, j'attend qu'on me serve le plat du jour. La cuisinière me donna une grosse pelleter , je dis bien grosse ou plutôt énorme de ce qui semble être une pâtée de quelque chose. Oui, mais de quoi ? Voilà la question que tous le monde ce dit. Bref, après avoir mon soit disons dinez, je commençais à chercher une place des yeux où je pourrai aller m'asseoir ,quand une main me fit signé d'aller le rejoindre. Arriver à la hauteur de la main, je remarqua avec stupeur que j'étais à la table de mes nouveaux amis. Parmi eux, il y avait Stéphane quelque chose, parce que je ne me souvenais plus très bien de son nom de famille. À se qui paraît ,il était un brillant scientifique et qu'il est finalement devenu cinglé. Ensuite, il y a Réécrire et je ne sais vraiment pas pourquoi ,mais il ne fait jamais dire son nom de famille, donc c'est ce que que je fais. Ça aurai tout compte fait un rapport avec le gouvernent, mais je n'en demande pas trop. Je ne veux pas avoir d'autre problème. Et enfin, il y a George Soft et contrairement à son nom de famille, il est très loin d'être doux et la non plus je ne sais pas grand chose de son passer. Bref, personne ne le sait. Donc, voilà la petite bande que nous fessons. En m'asseoiant à table, je commençais à parler avec mes nouveaux amis et je plaisantais sur la qualité de la nourriture ,mais apparemment, il ne fallait pas en rire. Donc, le moment était venu de goûter cette espèce de pâtée .Le pire est que la pâtée était de couleur verte, que l'odeur reste à désirer et quand on met sa cuillère dedans, ça remue comme du jell-o. Je compta jusqu'à 3, car cette fois, je me ferais pas avoir. Apres une grande inspiration, je mis toute ma cuillère dans ma bouche avec tout son comptnu. Je me suis vite rendu compte que c'était bien plus pire que ce que je m'étais imaginer! Ça avait un de ces goût, que je ne peux même pas expliquer. Après avoir failli vomir dans ma bouche, j'avala la boucher que j'avais en bouche et me fit la promesse de ne plus jamais manger de ce truc ,peux importe ce que c'est. Et étrangement, les autres en faisaient autant que moi, soit de ne pas touche à leur assiette.

EnfermerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant