Chapitre 17

3.5K 188 26
                                    

PDV Clarke

Ça fait deux mois que je suis de retour à la villa. Tout le monde était aux petits soins pour moi. C'est limite si je pouvais prendre ma douche toute seule ou déjeuné par moi-même sans que quelqu'un me nourrisse. En faite ça me faisait beaucoup rire. Le seul problème c'est dès que je tenais le ventre après avoir fait un peu d'effort, Bellamy s'élançait vers moi tout paniqué. Il me faisait rire. Je suis sûr qu'il fera un père génial même si je ne suis plus là. Ça il ne veut pas en parler.

Ce matin, je réveille mais Bellamy n'est déjà plus là. Je pars me doucher et m'habiller puis part dans la cuisine. Octavia et Lincoln sont là entrain de déjeuné. Lin se lèvre et vient me faire un énorme câlin.

Lincoln : Comment va la plus belle des mamans ?

Clarke : Bien. J'ai pas vomit ce matin c'est agréable comme à chaque fois que ça m'arrive

Octavia : Je te comprends. Je crois que c'est le truc que j'apprécierai le moins quand je serai enceinte.

Lincoln : J'espère que ce sera un garçon Dit-il en fixant mon ventre

Clarke : Pourquoi un garçon ?

Lincoln : Pour jouer au foot avec mon neveu.

Clarke : Tu pourras jouer au foot même si c'est une fille. Moi je jouais au foot petite

Octavia : Oh moi je veux que ce soit une fille

Je me mis à rire. Je m'installa à table après m'être servit un café avec des croissants et un jeu de pommes.

Clarke : Au moins je suis sûr que vous serez là pour vous occupez d'elle ou de lui

Octavia : Clarke arrête s'il te plaît

Clarke : Il faut être réaliste.

Lincoln : Moi je préfère ne pas y penser alors déjeunons tranquillement

On finit de manger en silence. J'allais débarrasser mais je sentis des bras m'encercler la taille

Bellamy : ça va mon cœur ?

Clarke : Oui tu étais où ?

Bellamy : Il fallait que je vois pas mal de choses avec le chef du gang à Jarod

Clarke : Ok

Il sait que j'aime pas quand il parle de ses trucs de gangs. Ça a été une raison de notre rupture. Je ne lui parle pas de ma presque mort et lui ne me parle pas de ses histoires de gangs.

Bellamy : Tu veux faire quelque chose aujourd'hui ?

Clarke : Les magasins

Bellamy : Oh non mon cœur pas un truc de filles

Clarke : J'ai besoin de fringues j'ai grossis

Bellamy : ça se voit même pas bébé

Il me fit tourné sur le tabouret pour que je me retrouve en face de lui. Il se pencha sur mon ventre

Bellamy : Eh toi la dedans arrête de faire grossir ta mère. Elle va complexer après et elle va être insupportable.

Clarke : Oh je te permet pas

Bellamy : Tu vois de quoi je parle

Je me mis à rire et le tapa à l'épaule

Il embrassa mon ventre et remonta vers mes lèvres. On se lâcha à bout de souffle

Bellamy : Je t'aime mon cœur

Clarke : Moi aussi je t'aime

Octavia : Vous êtes trop mignon

The 100  Bellarke : Bad boyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant