THE LAST. Cameron Dallas

XI

J'entends des voix autour de moi, mais je suis imcapable d'ouvrir l'oeil.
-Elle se réveillera ? demande une voix féminine.
J'ai en core c'est bourdonnement dans les oreilles, qui me font entendre la moitié des choses.
-Je ne sais pas, vue les coups qu'elle a pris, elle ne se réveillera pas d'ici 4 semaines, dit maintenant une voix masculine.
Non ! Je suis réveiller, mais je n'arrives pas a leur dire, j'y met toutes mon énergie mais n'y arrive pas. J'essaie d'ouvrir un oeil et j'y arrive, je ne vois presque rien puisqu'il est légerement ouvert, mais ça me suffit a voir les couleur.
Devant moi dans le couloir, je voie deux personnes je suppose, habiller en blanc. Je ne voie pas l'autre personne devant eux, celle qui pleure je suppose.

POINT DE VUE FINN.

On arrive a ce foutu Macdonald's où on y avait laisser nos voiture pour aller à l'université.
On montes et fonces vers l'hôpital le plus proche.
En arrivant là-bas, je ne prends pas la peine de garer la voiture comme il faut que Soren court dans l'hôpital.
J'appelle Addison pour être sur que ce soit lui.
-Allo ? me dit-elle.
-Addison ?
-Bah si tu m'appelle c'est pour tomber sur moi hein.
-T'es casse-couilles.
-Pourquoi tu m'appelle ?
-C'est quoi le nom de l'hôpital ?
-Qu'est-ce-que j'en sais moi.
Je lui raccroche au nez.
Je rentres et ne voit pas Soren, je me diriges vers l'acceuil.
-Bonjour je peux vous aidez ? me dit la secrétaire en bombant ça poitrine.
-Lucy Roth.
Elle prend un air fatigué.
-C'est le défilé aujourd'hui ou quoi, chambre 210.
Je la remercie d'un sourire et fonce aux escaliers.
En arrivant au deuxième étages je voie du monde s'agiter, j'espère au plus profond de moi que ce n'est pas pour Lucy.
205...206...207, j'accélère le pas, 208...209 et 210.
Je voie Isla éffondré sur un siège devant la porte.
Addison qui essaie de calmer Soren et Soren qui hurle sur les infirmières pour le laisser entrer.
Je lui prend le bras.
-Laisse tu la verras après, dis-je.
Il me lançe un regarde noir.
Je vais me caler à côter d'Isla qui reçoie un appel.
-Allô ? dit-elle. Oui... Nan... Elle se fait opérée... Je ne sais pas...
Elle tourne ça tête vers moi:
-C'est quoi le nom de l'hôpital ?
Je hausse les épaules comme réponse, elle demande à une infirmière qui lui répond.
-D'accord on vous attend.
Elle raccroche, regarde ses messages, se lève et nous dit:
-Ses parents vont arriver.
Merde. Il fallait plus que ça ! Je vais passer pour le gros connard qui fait l'inquiet devant les parents mais après il s'en fout de la fille, putain.

Au bout d'une demi heure ils arrivent enfin, son père est brun et a des yeux bleus, sa mère est blonde et ses yeux chocolat sont les mêmes que ceux de Lucy. Quand j'analyse sont visage elle a le même que Lucy, c'est elle avec 30 ans de plus.
Elle ne pleure pas, son trait est autoritaire, son père pareil. Ils me dévisagent quelque instant avant de se tourner vers Isla et Soren.
La mère les saluent d'un sourire et dévisage à son tour Addison.
Qu'est-ce qu'ils ont ces tarrés ?
Je vais à côter d'Addison et chuchote:
-Pourquoi ils sont comme ça avec nous ?
-D'après eux c'est moi qui aurait monter la tête à Lucy contre eux, et ils m'en veulent à jamais, et toi ils ne te connaissent pas ça doit être pour ça, me répond-t-elle en chuchotant.
J'hoche la tête comme seule réponse.

On attends toujours des nouvelles de Lucy, Isla s'est assoupie sur Soren ce qui énerve Addison. Il est 3 heures du matin et je suis encore là, alors que les propres parents de Lucy sont partie.
Le médecin sort enfin, ses traits son tiré, il baisse la tête.
Il prend une grande inspiration et commence:
-Lucy est consciente.
Soren relâche la pression qu'il avait en lui, Addison lâche un sourire que j'imite.
-Mais, reprend-t-il, elle est paralysée pour au moins 3 semaines.
Soren se lève violemment et tape dans les sièges, des infirmières viennent le calmer.
Addison retombe sur le siège, son sourire devient des pleures.
Moi ? Je suis anéanti. 3 semaines, sans son rire, sans son sourire, sans ses clin d'oeil, sans ses regards gourmand, sans ses cheveux magnifiquement coiffé, sans sa peau contre la mienne... 3 semaines sans elle. Mais qu'est-ce que ça peux me faire ? 3 semaines sans ce foutu défi je devrais être heureux. Franchement je ne le suis pas du tout.
-On peux rentré ? demandais-je.
-Non.
Sur ce mot il nous demande de revenir demain, enfin dans quelques heures.
Je prend la voiture, le silence prend le dessus. Personne ne parle.
En rentrant dans notre appartement c'est pareil.
On s'endors directement, je mangerais demain.