THE LAST. Cameron Dallas

VI.

( Multimédia: Ashley. )

-Salut mon ange, me dit-il.
Je baisses la tête, mes larmes sont à la limite de couler.
-Je suis préssée, dis-je en le contournant.
Je vais aux toilettes pour sécher mes larmes et enlever mon mascara qui a couler. Je re-penses a comment il m'a parler, il sait très bien pourquoi je joue avec les garçons putain. Mais il s'en fout, il ne pense qu'à lui. Il est égoïste.
Je sort mon mascara, et en re-met. Je me regarde et me trouve moche, la seule fois où je me suis vue laide. Mon chignon est mal fait, je suis habiller n'importe comment et mon maquillage juste du mascara. Je me détache les cheveux les arranges et retourne en cours.
-Mlle Roth, aimez-vous arriver en retard ? me demande le prof'.
Je baisses la tête lui jettes un " désolée " et part m'asseoir.
Pendant tout le cours je fixe Soren qui ne fait que de rouler les cheveux d'Abiguail autour de ses doigts. Et cette bouffone lui sourit en se mordant la lèvre.

Éclipse cours.
Je retournes dans la chambre, et je voie Addison. Son mascara a couler, elle regarde un film d'amour, et se bourre de Nutella avec des chamalow.
-Addison ? criais-je en passant éteindre la télé.
Elle me jettes un regard avant de rallumer la télé avec la télécommande.
-Ça va ? me demande-t-elle.
-Qu'est-ce qui t'arrives ? dis-je.
-Rien.
-Addison tu peux pas me mentir.
-Soren sort avec Abiguail, et moi je pensais me remettre avec lui, qu'il restait juste un peu d'espoir...
Elle fond en larmes.
Je la prends dans mes bras et lui donne des paroles d'encouragement.
-Je t'aimes Addison, lui dis-je.
-Moi aussi Lucy, me répond-t-elle.
On restes là, à regarder ce film de sainte.
Elle me parle de tout les moment où elle sortait avec Soren, tout ces moments qu'elle n'oubliera pas. Elle est vraiment amoureuse.
Au bout d'un moment Ashley rentres avec Isla.
Elle ne remarque pas qu'Addison est mal. Je prend Addison l'emmene dans la salle de bain lui dit de ce doucher et retourne dans la chambre.
Je me met en pyjama et m'endors.

-Lucy !
C'est ma mère ?
-Lucy !
Je jette un regard au-dessus de mon oreiller et voie Ashley.
-Putain pourquoi tu hurles comme ça ? dis-je.
-Ton réveil, comment on l'étein ?
Je l'étein et me rendors 5 minutes.
Je vais me doucher, m'habiller, je me lisse les cheveux et je pars au Starbucks, où j'y croise Finn.
-Tu sais que je t'attendais ? me dit-il avec son sourire charmeur.
Je serais une glace je fondrais.
-Comment tu pouvais savoir que j'y serais ? dis-je.
-J'ai prier pour que tu viennes.
Je rigoles et on entres dans le Starbucks. On prends nos boissons et on vas s'asseoir.
-Demain c'est le bal, t'as tout ce qui te faut ? me demande-t-il.
-J'ai tout, et toi ?
-Pareil.
On restes là à se regarder et à parler du bal.
C'est déjà demain, j'ai déjà ma boules au ventres, comme mon premier bal.
-Tu sais je n'aimes pas trop les bals, dis-je en baissant la tête.
-Pourquoi ?
-A mon premier bal, ça c'est très mal passé.
-Comment ça ?
-Je sortait avec un garçon, je l'aimais vraiment, mais il avait des vues sur une autre fille. J'était partie chercher à boire, et je l'ai retrouver à l'embrasser. Depuis, je ne veux plus tomber amoureuse, a part si je suis certaine que c'est le bon.
Je le regarde, nos regards se croisent.
-C'était un connard, me dit-il.
J'aquiesce en silence.
-Et pourquoi tu joue autant avec les garçons ? reprit-il.
Putain.
-Depuis qu'il m'as fait ça je ne fais que m'amuser, comme il a jouer avec moi.
Il pose sa main sur ma cuisse. Genre il comprend ? Ah oui. Lui aussi il joue avec les filles.
-Je comprends, me dit-il en me carressant la cuisse.
Je prends sa main et la retire.
-Qu'est-ce que tu tentes là ? demandais-je avec mon sourire malicieux.
-Je te verrais bien dans mon lit, dit-il.
Il est vraiment comme les autres, et moi qui pensait qu'il était différent.
Je grognes, me lèves et m'en vais.
Il me suit.
-Pourquoi tu te vexes comme ça ? me demande-t-il en me forçant a m'arrêter.
-Je suis pas vexée.
Je lui ments mais il a l'air d'avoir tout gober. Il passe son bras autour de moi.
-Alors a demain.
Il me mords le lobe d'oreille, et part vers la fraternité.