4 ; Notre rencontre

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Point de Vue d'Ema

Avec Léa, on s'est rencontrées en Troisième. Elle était arrivée en cours d'année ; le 18 mars, le jour de mon anniversaire. Je savais déjà que j'étais lesbienne, je l'avais su en Cinquième. Je la trouvais plutôt mignonne dans son petit haut transparent et son leggings noir. Bien évidemment, je relookais sa poitrine, qui était plus petite à l'époque. Je dirais... 80B. Je voyais son soutif' noir en dessous de son top transparent. Elle balayait toute la classe des yeux, intimidée. Le prof de Maths avait désigné la place vide à côté de moi. Elle est venue s'installer mais n'a pas parlé.

« Ema, je compte sur toi pour mettre Léa a jour et pour qu'elle s'adapte bien. Tu lui feras aussi visiter le collège.

- Oui Monsieur. »

Elle a sortie un carnet vert, un crayon et a écrit - ou dessiné - dedans.

À la fin du cours, le prof à distribué les binômes pour le devoir maison. Je me suis retrouvée avec Léa.

« Viens chez moi ce soir, on commencera à bosser dessus. »

Elle a acquiescé.

~

Après les cours, je l'ai accompagné chez elle, elle a pris des habits et nous sommes reparties. En chemin, on a discuter. Elle s'appelle Léa Ana Staling. Elle s'est tout de suite confié à moi, voyant que j'étais digne de confiance.

Elle m'attirait.

Elle m'a expliqué que pendant les vacances de Noël, elle était allée en vacances avec son mec, et qu'ils avaient fait la première fois. Elle lui avait fait une fellation, lui, l'avait doigté, ils s'étaient embrassé et il lui avait malaxé les seins. Elle m'a tout expliqué dans les moindres détails. Ça m'excitait, je mouillais.

Hétéro.

Moi aussi je l'avais déjà fait ! Elle s'appellait Marie. Elle était très sexy, avec une énorme poitrine. Du 110C, si je me souviens bien. Ouais, on était en Troisième. Ça avait duré trois semaines, cette petite amourette, puis elle a déménagé. C'était bon, elle me procurait du plaisir et me faisait jouir toutes les cinq minutes. Léa m'attirait aussi. J'avais la culotte trempée.

En arrivant chez moi, j'ai mis un short de sport bien moulant, sans culotte. Et un débardeur moulant, sans soutif'. On voyait bien mes seins. Elle, elle était en short en jean et chemisette. On avait bossé pendant trois heures. Puis on avait regardé un film. Mes parents ne rentraient pas ce soir là. Je lui ai proposé un film de cul. Elle a approuvé, en me posant une question :

« Es-tu lesbienne ? »

J'avais souris. Et lui avais répondu honnêtement :

« Oui. Mais, ne t'inquiète pas, je mords que quand on m'agresse. »

Elle avait rigolé et j'ai démarrer le film. C'était un film sur les lesbiennes. Elles se doigtaient, je mouillais. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je me suis touchée. J'ai malaxé mes seins, les ai pressé, et me suis doigté. Elle m'a regardé bizarrement au début, puis m'a demandé de mettre sur pause. Je me suis penchée en avant, mon décolté dévoilait mon 80C. Elle m'a demandé si elle pouvait. Si elle pouvait quoi ? J'ai répondu oui, sans savoir pour quoi. Elle m'a embrassé en trifouillant mes seins.

J'étais très surprise, on ne se connait que depuis quelques heures et...

Je répondis à son baiser. Nos langues se sont trouvées et se sont amusées ensemble.

Elle s'est écartée. Mes seins étaient gonflés par la pression.

J'avais adoré.

« Désolée... je... j'aurais pas du... je... »

« Ema ELWOOD »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant