« Ema ELWOOD »

17 ; Recherche d'emploi

Point de Vue d'Ema

Rowan ouvrit la porte avec un coup de pied.

« Tu te rends compte, Princesse, qu'on ne peut plus se faire sucer par sa copine tranquillement ? Y'a toujours des chieurs dans ce monde.

- Oh, Rowan... calme-toi !

- Je peux pas.

- Tu aurais fait pareil à sa place. Non ?

- Pardon ? Je me serais branler en regardant un couple ? Non.

- Ok. »

J'allai dans la salle de bain et pris ma douche. Rowan n'essaya même pas d'entrer.

Je ressorti quelques minutes après, seulement en serviette.

Rowan avait ouvert la fenêtre et était accoudé à la barre.

« Qu'est ce que tu fais ? »

Il me montra une bouteille de couleur sombre.

« Tu bois ?

- Ouais.

- C'est n'importe quoi !

- Chez moi on appelle ça se détendre.

- Vachement. »

Je pris dans mon sac une culotte et un haut bustier aux couleurs grises-bleues. Il tombait bas sur ma poitrine.

Je m'installai dans le lit, et m'allongeai pour dormir. Je regardai l'heure ; cinq heures vingt trois. Nous sommes vraiment hyper décalés.

Je sentis vaguement quelqu'un s'allonger à côté de moi et poser sa main dans mon dos, sous mon T-shirt.

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Rowan me réveilla à neuf heures. Une de ses mains se trouvait dans ma culotte, et l'autre, profitant de ma poitrine.

Le T-shirt n'était pas descendu, comme j'aurai pu le croire, mais était remonté, dévoilant le dessous de mes seins et le début de mes tétons.

Je mis sur le dos, sa main fut contrainte de quitter ma culotte, mais il se rapprocha de moi et posa sa tête sur mon épaule droite.

Sa main droite commença à repousser le tissu pour découvrir mon sein.

Je l'en empêchai en me retournant, et il me fit retomber sur le dos. Il approcha sa bouche de la mienne et m'embrassa.

Il sentait un peu l'alcool, et je ne lui rendis pas son baiser.

« Embrasse-moi, Ema. »

Je me penchai sur lui et posai mes lèvres sur les siennes, en ayant l'intention de lui faire un bisou seulement. Mais il passa sa main derrière ma tête et appuya dessus.

Comprenant que je n'avais pas le choix, je bougeai les lèvres et introduit la langue.

Il souria et partagea mon baiser, langoureusement.