3 ; Les cours

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Point de Vue d'Ema

Quand on arrive au bahut, il y a déjà pas mal de monde. Bizarre. On rentre et nous dirigeons vers les casiers. Dans les couloirs, personne. Léa approche sa main de ma poitrine. Je la retiens. On ne peut pas prendre le risque de faire ça ici.

Je lui prends la main et l'emmène derrière le bâtiment. Il n'y a personne. Je prends sa tête entre mes mains et l'embrasse. Je caresse ses tétons à travers son T-shirt, mais d'un coup, elle le descend. Ses seins sont à l'air.

Je les suce. Elle gémit. Pas trop fort.

Elle me stoppe et regarde l'heure ; 9:52.

Elle caresse mes seins et tourne la tête à droite, à gauche... personne. Elle baisse ma jupe et mon string.

Elle lèche, lèche, puis fourre deux doigts.

« Hannnpf... »

Elle ma donné sa main pleine de mouille pour pas que je crie. Je la fourre dans ma bouche. Elle enfonce l'autre.

Je ne peux m'en empêcher :

« Hannnnnw ! »

Je bouge le bassin pour qu'elle aille plus vite.

« Han... han... han... Léa... han... han... »

Elle enlève la main et, pendant qu'elle la suce, je regarde l'heure ; 9:56.

Je la regarde avec un sourire qui veut tout dire. Je lui baisse sa jupe, enlève son string, ouvre mon sac, et sort mon jouet.

« C'est pas vrai, tu l'as ammené ?

- J'te l'mets où, ma chatte ? »

Sans qu'elle me réponde, j'enfonce le gode dans son vagin. Puis je lèche sa partie de devant, sa partie de derrière, et le jus qui coule sur mes doigts.

« Haaaaaanw ! Han... han... haanw ! »

Je l'enlève, passe un coup de langue pour tout essuyer, puis range le gode dans un sac plastique. J'irai le laver après.

Je regarde l'heure ; 9:59. On est des pros. Sex-intense en dix minutes.

On part de derrière le bâtiment et on monte en salle de Maths.

La cloche sonne, le prof arrive, on rentre.

Léa et moi sommes les seules de la classe à être au fond. Séparées, mais au fond. Je m'assois, elle me fixe. Elle me montre qu'on voit l'élastique de mon string. Je lui dit que je m'en fous, et fais mine de m'intéresser au cours de Mr. Loky. Ce qu'il reconte est tout à fait inintéressant. Je tourne la tête vers ma sex-friend. Elle me fixe et à la main dans la jupe. Je devine de suite qu'elle se doigte en pensant à moi. Je vais gémir mais je me retiens. Je relève un peu ma jupe, et passe deux doigts sous la fine couche de string qui me sépare de mon clitoris. Je le titille un instant, puis enfonce mes doigts le plus profond possible.

Je jouie sur la chaise, c'est dégueulasse.

Voilà à peu près ce qu'on fait tout les jours en cours : on se doigte en pensant à l'autre, on s'empêche de gémir, on jouit sur la chaise, c'est dégueulasse, puis on enlève nos doigts avant que ça sente trop la chatte. Puis, si on peut, on se touche les seins.

La cloche sonne la liberté.

Là, c'est l'inter-cours. Après, on a un trou. Alors, avec Léa, on décide de sortir, pour pouvoir mieux sexer que dans les toilettes trop petites du lycée. Après, c'est le repas et on a encore un trou.

« Ema ELWOOD »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant