Je rêvai que Carine me déshabillai, puis fit de même avec soi-même, avant de mettre sa main sur ma chatte. Je sentais ses doigts fins et doux glisser à l'intérieur de moi même, ses ongles me griffer légèrement à l'intérieur... Puis, au moment de l'orgasme, je me réveillai. Je me rendis compte, quelques secondes plus tard, que j'avais ma main dans ma culotte, un doigt à l'intérieur, du liquide sortant de mon vagin... Je me rendis compte de ça et machinalement, bougeai un peu ma main à l'intérieur. Un petit va-et-vient pour me rendre compte que c'est pas trop désagréable...
Mais non, il faut pas que je fasse ça ! Sinon je risque de devenir comme... elles !
Un nouveau week-end qui s'annonce ! L'épisode de ma petite faiblesse est reléguée dans un autre coin de ma tête, presque oubliée, mais les séquelles sont toujours là... Ma coloc m'annonce qu'une autre fête est organisée ce soir, un peu plus tôt cette fois. 18h00 jusqu'à 21h00. Bon, je prends mon courage à deux mains et j'affronte ma plus grande hantise : une salle pleine de lesbiennes en chaleur.
17h55 : c'est la boule au ventre que je me dirige vers la salle de détente. Cette fois, je vais pas me laisser aller et je vais pas picoler ! Dès que je regarde l'endroit où nous nous sommes embrassées, le souvenir ressurgit comme un coup de feu, ainsi que le moment où je me mis à vomir. J'étais sur le point de faire demi-tour quand je fus prise dans un groupe et entraînée dans la salle.
21h03 : fin de la fête. Il n'y a pas eu d'incidents majeurs, à part une petite main aux fesses (je n'ai pas réussi à identifier la personne qui me l'a mise), la soirée s'est donc déroulée sans problèmes. Je me dirige donc d'un pas décidé vers les douches, remplies de filles bourrées qui se godaient maladroitement. Quelques unes, saoules commes des phacochères, essayaient de m'attraper et de m'entraîner vers elles. Je réussis à m'extirper de leurs bras humides pour me diriger vers les douches, fermer la porte et ouvrir l'eau. Quand je tendais le bras pour prendre le shampooing, un objet long et coloré attira mon attention ; une fille avait oublié un gode dans cette douche !
Mon premier réflexe était de le jeter par dessus bord, mais je me suis dit "Et pourquoi pas...". Je me mis donc en tailleur dans la douche, les jambes bien écartées et je commençais à faire des va-et-vient avec l'objet. Au début c'était pas génial mais au bout de quelques secondes, je commençais à sentir un fourmillement dans l'entre-jambes. J'étais incapable de m'arrêter, même si je le voulais. Au bout de cinq minutes, c'était vraiment le pied et du liquide sortait de mon vagin, tandis que l'excitation montait de seconde en seconde, et je ne pus retenir plus longtemps un gémissement de plaisir. Mais il fallait que je me retienne sinon elles vont me tomber dessus...
Je jouissais donc silencieusement. Mais putain de merde qu'est-ce que c'était booooon ! Tellement que, au bout d'un moment, un long jet de fluide transparent jaillit de ma chatte. A ce moment précis, tous mes sens se mirent en éveil. Chacun de mes mouvements me décrochait un spasme de jouissance, ma chatte était en feu mais je voulais aller encore, encore et encore plus vite. Quand, au bout de trois minutes de pur plaisir, mon excitation retomba doucement, pour s'éteindre au fond de mon vagin tout en douceur. Encore sous le choc de ce que je venais de ressentir, je me relevai péniblement et finis de me doucher. Bon, je pourrai peut-être me faire ça toute seule, mais jamais avec une d'entre elles, nouvelle règle pour moi-même.
jsuis en italie c'est un peu la galère pour publier.
la suite bientôt !
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