- Revenez me voir demain, me fit l'employeur du Salon de thé ou j'avais décidé de postulé. On commencera par un premier jour d'essai.
- Très bien, je vous remercie.
Il me sourit et nous échangeons une poignée de main avant que je ne quitte ce café.
Je m'etais levé tôt ce matin avec l'espoir de trouver un petit job, j'avais fini par trouver ce café charmant alors j'y avais tentais ma chance. Et bien sur le patron m'avais proposer une journée d'essai avant de signée le contrat. Je ne voulais pas dépendre de mon père pour mes soins, ne supportant pas d'être un fardeau pour lui. Je trouvais donc ma journée satisfaisante.
Je passait au Starbucks pour me prendre un lait chaud avant de retourner à la maison. L'hiver fesait doucement son entré dans les grande avenue de New-York, et déjà une une fine couche de verglas ornait le sol. Bizarrement j'aimais le froid et ces picotements quil procurer a ma peau. Il me fesait sentir vivante.
*
*
Après avoirs sirotait mon café sur Central Park, je me décidais enfin à rentrer, je sourit à l'idée de l'interrogatoire que me préparait mon père. Bien sur j'avais vut juste car à peine la porte franchit qu'il m'interpella;- Luna ! Tu avais promit..
- Tu dormais encore ce matin, et puis je me suis trouver un job.
- Quoi ?
Je retirais calmement mon manteau avant de lui faire face.
- Je ne veux pas être un fardeau pour toi Papa, j'ai vraiment envie d'être indépendante.
- Qui t'a mit cette idée dans la tête , s'écrit il. Tu est ma fille il est normal que je m'occupe de toi !
- J'en ai envie, soupirais je.
- J'ai dit non Luna!
- Je suis majeure ! Je siffle avant de grimper rapidement les marches qui mène à ma chambre.
Une fois la porte de celle ci claquer, je me jette furieusement dans mon lit. Je sais que pour le moment il parvient à s'occuper de moi, la n'est pas le problème, les mois qu'il me reste sans chimio se compte sur les doigt de la main. Et d'ici la j'avais décider de vivre ou du moins de m'essayer à la vie d'une jeune femme de 21 ans. Papa s'y fera, et j'irais bien. Pour me changer les idées je prit une bonne douche chaude qui me conforta mais alors que je me peignais les cheveux, une touffe de cheveux glisser de ma tête, signe de mon anémie excessive malgrès mon traitement. Fallait il encore changer de traitement ?
Une fois habiller, je descendit en bas, a mon grand soulagement papa n'étais pas la. Je n'étais pas prête à avoir une discussion avec lui.
Dans le canapé Juan se trouvais encore avachi sur le canapé. Je le rejoignit afin de m'asseoir lourdement près de lui.
- Hey ! Me saluat Juan en posant le pack et de chips entre nous.
- Hey comment tu va ?
- J'irais mieux quand la petite femme qui me sert de copine répondra à mes message.
Je me retient d'éclater de rire, bizarement je pensais que Juan étais du genre à aimer les conquêtes d'un soir.
- Pourquoi je ne suis pas au courant de ton amourette, fais je mine de bouder.
- De ce qu'il en reste tu veux dire, son air contrit me fit reprendre mon sérieux.
- Si tu veux te confier Juan..
- Nous sommes ami d'enfance, enfin nous étions, il y'a cinq ans j'ai ouvert les yeux sur les sentiments que je lui porter et c'etais réciproque.. Coup de chance. On filais le parfait amours, comme ces truc vachement nul que regardes les adolescente. Puis petit à petit je suis devenu le petit délinquant qui volait pour s'acheter sa dose, elle a patientais tu sais, même quand j'ai été en prison, même quand je l'ai frapper et insulter, même quand je n'étais plus un homme et que je la briser elle s'obstiner à me pardonner.. Puis le jour ou elle à apprit que je lui avais faire perdre son bébé, notre bébé, et qu'en plus de sa elle ne pourrais plus enfanter, elle est partit. Sa fait 8 mois maintenant et je ne sais pas ou elle se trouve.
Waouh ! Je ne m'y attendais pas. Une part de moi étais assurément triste pour sa copine, pour se qu'elle vivais et pour la culpabilité que ressentira à jamais Juan. Cependant l'autre partit voulut insultait l'homme qui s'etais donner le droit de frapper une femme. Et pas n'importe laquelle, celle qu'il aimait.
- Tu mérite qu'elle ne te pardonne pas, mais je sais que tu regrette tes actes et que tu l'aime plus que tout sinon tu ne sera pas la à te morfondre.
- Je sais, elle est partit avec une partit de moi et pourtant je n'ai pas le droit de lui en vouloir.
Je lui fit un sourire reconfortant.
- Qui doit se retrouver se retrouvera, laisse lui le temps.
Il me remercia du regard avant de changer de sujet.
*
*Me voilà dans café charmant cafe dans lequel je commence mon jours s'essaie, le patron plutôt sympa ne surveille pas chacun de mes faits et geste. J'espère silencieusement être embauchée. Alors qu'il ne me reste qu'une dernière table avant de finir le service, j'appercoit Aaron rentrait dans le café, il s'installe au fond et je rarqu tout les regards braquer sur lui. Finalement je débarrassé la dernière table et retire mon tablier lorsqu'une serveuse me rejoint, elle est jeune et elle s'appel le Lisa. J'ai put apercevoir qu'elle était timide alors je lui sourit pour l'encourager.
- Je sais que c'est ton premier jour et que tu as fini mais Néant me fou une sacre frousse. S'il te plait prend sa commande à ma place.
J'observe son regard pianotant de moi à Aaron, puis je comprend qu'elle fait allusion à lui. Mais pourquoi Néant ? Et pourquoi lui ferait il peur ? Trop de question se bousculent dans ma tête mais je finit cependant par accepter en lui fesant promettre qu'elle repondra à mes question. Une fois le tablier remit je m'approche lentement de lui, j'apprehende un peu mais je n'ai pas peur.
- Bonsoir, je te sert ?
- Non.
Son ton est sec presque cinglant mais je ne montre rien. Il ne veux rien, que fait il ici dans se cas.
- Très bien Aaron.
Je m'apprête à faire demi tours avant qu'il n'emprisonne mon poignet de sa main de fer. Je me retourne doucement avant d'être face à lui, son visage est fermer et ses yeux sont plus sombre qu'il ne pourrais l'ètre. Il commence à me faire mal mais nous sommes occuper à nous transpercer du regard.
- Ne m'appel plus comme sa ! C'est Néant ! Comme pour les étrangers.
Avant de me laisser répliquer il se lève et quitte le café. Je suis trop consternée pour bouger et Lisa me ramène à la réaliter, ne comprenant elle non plus notre altercation. Ma curiosité me ronge ! Je propose donc à Lisa de faire un bout de chemain ensemble, elle à accepte.
Avant de partir le patron m'annonce que je suis engager et que j'ai fait du bon boulot. J'en suis fier. Alors sans tarder j'arppente New-York avec Lisa à la recherche de réponse.****Note de l'auteur****
Je reprend l'histoire les filles (enfin) loool
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Bisou de Marwa
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Your only boxing fight
RomanceLe chemin à la haine est facile alors que celui de l'amour est périlleux et plein d'épine. Comment Aaron choisirais t-il d'aimer quand Haïr est plus facile ?