J'attend patiemment mon tour dans la salle d'attente de l'hopital, je voit defiler sous mes yeux plusieurs malade. Dans se pôle il m'est frequent de croiser des filles sans cheveux et sourcils, mais aujourd'hui cela me triture l'esprit, cela donne carrément un air morbide à la vie.
La secretaire du docteur Folman ne tarde pas à m'appeler, je me lève et elle me guide dans la salle d'attente ou mon dock me suivait au tout debut de ma maladie. Il est visiblement heureux de me voir.
- Mademoiselle Bawn, je suis heureux de voir que vous avez autant grandit.
Je lui rendit son sourire amical avant de repondre à son invitation en m'installant fàce à lui.
- Le docteur morino m'à envoyé votre dossier depuis Fransisco, je ne vous cache pas qu'il est mitigé.
- Le traitement marche à merveille pourtant.
Il me regarde étonné.
- Il est quasi inutil, ce genre de traitement ne vaut pas une chimiotherapie, seulement disons qu'il ralenti l'arrivé d'une fin tragique.
Comment dire que je ne m'y attendais pas, cela vient plus tôt que prévue, dois je prendre une decision maintenant ?
- En outre, il me reste combien de temps docteur ?
- Six mois, peut étre moins.. Mais avec la chimio vous pourriez vivre des dizaines d'années.
- Ecoute, continuat il. J'ai une fille de ton âge et je sais que tu vis avec ton père, si cela arrivais à ma fille j'aimerais qu'elle se batte au moins pour moi. Tu est une jolie jeune femme, ne perd pas ta vie pour une peur que tes proches combattront auprès de toi.
- J'y refflechit, je commence à explorer cette éventualité. Soufflais je, convaincue.
- Très bien, pensez-y. Vous pouvez revenir içi quand bon vous semble.
A la porte on s'echangea une poignée de main, je lui fit un sourire reconaissant avant de quitter sa salle d'auscultation pour enfin quitter cette hopital au air lugubre.
Une fois dans le bus, je profitais d'une place vide au fond pour m'y asseoir.
Le conseil du docteur ne quitta pas une seul fois mon esprit, je ne savais pas si je devais lui en parler ou bien peut etre devrais je attendre d'avoir prit ma decision definitive. Qu'elle idiote j'etais. Avais je envie de mourir ? Non bien sur que non, alors pourquoi je refusais la perche qu'on me tendait ?J'etais perdu et surtout epuisé, elle occupais une grande plaçe dans ma vie, elle en etait trop ettouffante. Est-ce moi qui lui avait donné ce pouvoir. Peut étre bien.
Finalement je descendit à l'arrét du cimetière, frissonante. Cela devait faire huit ans que je n'y avais pas mit les pieds. Exactement. Huit ans que je n'etais pas venu rendre visite à maman. Aujourd'hui étais une bonne occasion de lui faire un recapitulatif de ce qu'etais devenu ma vie depuis qu'elle nous avait quittée.
J'essuyais faiblement sa tombe, arrachant les rare mauvaise herbe. Papa ne venait jamais la voir, il payait pour qu'on entretiennent la tombe sans jamais se deplacer. Il m'avais déjà confier qu'à ses yeux elle n'etais pas morte, inerte, dans un tombeau sous la terre. Elle étais vivante dans son coeur et dans le mien autant que nous l'aimerions. Je sais qu'elle vit encore dans le sien, puisqu'il ne s'est jamais remarié.
- Maman, je murmure. Pardonne moi de ne te rendre jamais visite, vraiment, mais la vie ne m'a pas non plus épargné, tu le sais. Et pourtant je n'ai pas envie de me plaindre de mon sort. Tu sais avant de disparaitre j'aimerais vivre tellement de chose. Sortir avec mes amis, tomber amoureuse, voyager, decouvrir une etoile qui sais.
J'éclate de rire.
- J'aimerais tout simplement vivre, normalement, et je compte bien y arriver Maman.
**
**Assit dans la grande table, chacun mange son assiette de lasagne avec appétit, cela prouve mes talents de cuisiniére, et chacun anime la conversation. Pourtant je ne rate pas l'abcense de Juan et Aaron de la table, soudain je me souvient du match de se soir, comment ais je fait pour oublier sa ! Je me depéche de finir mon assiette avant de courir hors de la salle à manger.
Alors que je m'appréte à envoyer un message à Juan avec une idée bien précise derrière la tête, je le trouve pres de la porte d'entrée au fond du couloir. Je me precipite vers lui.
- Le match va bientôt debuter non ?
- Chut, il m'intime. Oui pourquoi ?
- Je veux venir, je declare.
- C'est hors de question, Tranche une voix dérrière moi.
Nous nous retournons, surpris, vers Aaron qui arrive d'une allure menacante.
- Juan je te savais pas aussi fou ! Compte sur elle pour que Sam le sache.
- Non, je ne dirais rien.
- Tu as interèt saleté de pleurnicheuse.
Son ton est dur, il ne m'aime pas, sa se voit.
- Aaron, mec soit pas dur avec elle.
- Quoi ?! Tu defend une de tes salopes ? ok ! mais moi je me casse et cette gamine n'a rien à faire la bas !
Ces paroles me blessent, je me recule comme giflé, il passe devant et franchit la porte avant de la claquer brutalement.
- Luna..
- T'escuse pas pour ce connard.
Je me retourne sans le laisser rétorquer et je monte les escaliers qui mène à ma chambre.
Note de Marwa;
La suite est un peu plus courte que d'habitude mais j'ai poster un chapitre hier déjà.
bref bref je poste un chapitre par semaine generealement le samedi ou le dimanche.Commentez celle qui lise, meme un ptit truc bidon, c'est juste pour savoir qui est la.
Bisoux les Boxeuse
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Your only boxing fight
RomanceLe chemin à la haine est facile alors que celui de l'amour est périlleux et plein d'épine. Comment Aaron choisirais t-il d'aimer quand Haïr est plus facile ?