Née d'un Gang

Chapitre 18

//Point de vue de Louis Tomlinson//

Je me déplaçais dans la cuisine, pour me retrouver derrière la plus belle femme de ma vie. Celle pour qui je décrocherais toutes les planètes du système solaire, incluant l'étoile de la terre, la très célèbre lune. J'enroulais mes bras autour de sa taille, jusque sur son ventre, où dormaient paisiblement mes deux enfants. El était un peu distante avec moi depuis que je l'avais retrouvé. Elle m'en voulait beaucoup que je lui ai mentis à propos de mon emploie inexistant. Je me sentais coupable qu'elle est cherchée à me retrouver et qu'elle est prise des risques. Mon tout. Ma femme. Je ne me le pardonnerais jamais, s'il lui arrivait quelque chose. J'aurai dû lui dire toute la vérité. Mais le mal avait été fait et aujourd'hui, je cherchais à me rattraper.

J'étais dans la peur continuellement depuis que nous étions arrivés ici, dans une grande maison, éloignée de notre ancienne maison. Notre maison. Les hommes qui étaient venus me rechercher nous avait fait disparaître de la circulation, jugeant notre situation dangereuse. Le gang de Londres avait trouvé notre maison, nous n'y étions donc plus en sécurité. La maison dans laquelle nous vivions à présent était entourée de champs. Elle ressemblait beaucoup à notre précédente maison, le seul changement était sa grandeur impressionnante. Il s'y trouvait des animaux tels que des poules, des vaches, deux ânes etc... Un gros chien était même présent à notre arrivé. Il avait l'air d'avoir dans les cinq/six ans. A mon plus grand étonnement, ce chien était très gentil. Je trouvais ça étrange qu'un chien s'adapte à une personne aussi facilement, mais il l'avait fait. Et il aimait beaucoup Eleanor. En même temps, c'est elle qui s'occupait de le nourrir. Il passait la plus part de son temps avec moi au début et n'approchait pas El alors je lui ai proposé de lui donner à manger pour établir un contact. Et maintenant je peux voir qu'il l'aime beaucoup et que c'est absolument réciproque. L'impression qui m'avait fait sentir bizarre en arrivant ici et que cette maison paraissait avoir était habitée, il n'y a pas si longtemps que ça. Les aliments que nous avions trouvés à l'intérieur des placards n'étaient même pas périmés et les bêtes n'avaient pas l'air de mourir de faim.

En quittant notre foyer, El a dû aussi quitter son travail. Enfin, elle a pris son congé maternité et est donc toujours payée. Seulement, lorsque son congé sera terminé, elle enverra sa démission. C'est trop dangereux qu'elle y retourne. Nous menions alors ici une vie de paysans. Eleanor avait pu me montrer comment traitre les vaches puisqu'elle était née dans une ferme. Nous travaillions tous les deux. Moi faisant souvent la cuisine et El qui s'occupait des animaux dehors et de la traite des vaches, puis je la rejoignais. Elle n'avait jamais aimé rester à l'intérieur de la maison, mais elle préférée allait dehors. C'est pourquoi quand elle a su qu'elle ne retournait pas à son travail, elle a été un peu perturbée. Mais maintenant puisqu'elle a de l'occupation, ça va mieux. Je fais tout de même attention à elle. Plus de cinq mois et demi qu'elle est enceinte. Toujours aussi rayonnante ma petite femme. J'ai appris il y a quelques jours que j'allais être papa d'un petit gars et d'une petite fille. Mes suppositions étaient fausses. Mais je suis heureux comme un fou.

« Arrête de me perturber Louis ! » se plaignit ma merveilleuse femme alors que je posais quelques baisers sur le dessus de sa tête.

« Qu'est-ce que tu prépares ? Je n'étais pas censé faire le diner ? » lui soufflais-je tendrement à l'oreille, en bougeant mes mains sur son ventre, de sortes à la masser.

« Je... j'avais faim. C'est une tarte aux fraises. » dit-elle apaisée par mes caresses. Elle se retourna pour me faire face, toujours dans mes bras.

« Des fraises ? Ce n'est pas un peu cliché pour une femme enceinte ? » souriais-je à la femme que j'aime. J'étais content de ce petit rapprochement que nous avions, cela faisait un bail.