Chapitre 5

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À écouter avec "Drag me to Hell" de Theory Of A Deadman   à fond dans les écouteurs 😉.

Je vis alors une jeune fille entrain de se faire agresser par un homme beaucoup plus vieux qu'elle. Je me précipita alors pour l'aider....

Pourquoi je n'ai pas pu juste mettre ma musique un peu plus fort ou continuer mon chemin. Et être un peu égoïste, pour une fois.
Et non, tu ne peux pas, t'es comme ça réfléchis un peu, me rappela ma conscience.
Oh toi LA FERME !!!!

Je me précipita donc vers la jeune fille. Elle était entrain de se débattre et de crier. Elle ne se laissait pas faire. Mais elle pleurait, elle devait avoir je pense entre 14 / 15 ans. Son haut était déchiré, et laissait apparaître son soutien-gorge.
Je me jeta sur le dos de l'homme. Étant surpris il se recula brutalement de la jeune fille. Je lui donna alors un bon coup sur la tête, ce qui l'assomma. Je descendis alors de son dos et alla voir la jeune fille.

-"Ça va ? Il ne te pas fais de mal ?"

-"N...non ça v....va, merci beau....beaucoup." Me répondis la jeune fille toujours en sanglotant.
Je voulu alors la prendre Dan mes bras pour la consoler. Mais je sentie quelqu'un me prendre par la taille, me balancer et me plaquer contre un mur.
Putain, non. La première règle dans un cours de self-défense et de boxe est de ne jamais perdre de vu son agresseur. Et qu'est ce que je venais de faire... J'avais tourné le dos à son, enfin maintenant notre agresseur.

L'homme me plaqua alors contre un des murs de la ruelle, qui plus est, est plongée dans le noir le plus total.

Normale idiote, il est presque 2h du matin.

C'est maintenant qu'elle se ramène celle là, alors que je, plutôt nous étions entrain de nous faire agresser

Ah oui, Oups ....

-"La petite m'allait bien, mais toi t'es beaucoup mieux. Y a plus de chaire" me dit-il en m'agrippant les hanches et en me reluquant de haut en bas et en s'arrêtant sur ma poitrine.

-"Vas t-en, cours." Hurlais-je à la jeune fille. Qui était resté pétrifier à quelques mètre de nous.
Elle hésita à me laisser, mais je l'encouragea encore. Je sais me défendre, mais si je dois protéger une personne, plus moi. C'est beaucoup plus compliquer.
Elle partie donc en courant de la ruelle.

-"Ahh, nous voilà enfin seul..." Commenta le pervers.

-"Putain lâchez moi espèce de pervers." J'essayais de me débattre, mais j'avais du mal. Il était plus fort que je le pensais. Je devais trouver un moyen de me dégager du mur. Là je n'ai pas assez de place et de recul pour me défendre.
Je commence à crier pour faire diversion. Et essaya de mettre mon agresseur au sol, comme dans le cours de boxe et de self-défense. Je commençais à y arriver mais celui-ci me gifla. Ce qui me fis vaciller. Cela faisait un mal de chien, mais j'avais là une ouverture. Je me dégagea donc de son emprise. Ce qui le surprit dans un premier tant, mais par la suite il afficha un sourire narquois.

-"Ahh, au moins avec toi ça va être plus drôle, qu'avec l'autre planche à pain" ricana t-il.

-"Je ne vais pas me laisser faire."

Celui ci n'avait pas l'aire ravi de ma confiance en moi et me sauta dessus, sans que je mis attende. Je me retrouva donc au sol.

-"Bon, c'est bon maintenant passons aux chose sérieuses" Dit-il avec un sourire de pervers.
J'en eu des frissons dans le dos.

-"Putain, mais lâchez moi ..." Dis-je paniquer, Parce que là je commençais vraiment à me dire que j'allais me faire violer dans cette ruelle.
Le pervers s'affessa sur moi, et commença à me faire des baisés le long du coup et de la clavicule. Cela me remplit de dégoût, je n'avais qu'une envie vomir. Je lui mordais alors l'oreille, avec le plus de force qu'il me restait. Celui-ci poussa un cri, se releva en m'entraînant avec lui par mes cheveux. Cela faisait mal.
Je me retrouva donc debout en face de lui. Il voulu me mettre une droite, mais je l'esquivais et lui colla un uppercut dans les côtes. Il grogna de mécontentement. Me plaqua encore une fois contre le mur, et me mit un coup de boule, qui m'envoya au pays des Bisounours pendant quelques secondes. Le temps que je reprenne mes esprit, le pervers venait de déchirer mon t-shirt. Je me retrouvais donc en soutien-gorge. Il m'envoya alors une droite en plein dans le visage. Ça y est je suis complètement foutue.

La vie, Une belle salope.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant