Pourquoi?, pourquoi faut-il que les seul personne qu'on regarde avec pitié soit celle qui on vécu une enfance difficile. Je sais que c'est dur... non en faite j'en sais rien. Mais moi aussi je me bat ma vie est une lutte infinie contre un démon qui me détruit à petit feu. Si je lutte je suis d'en un état d'euphorie qui me pousse à vouloir accomplir de grande chose, si je cesse de me battre je suis déprimé et je veux me laisser dérivé jusqu'au repos éternel. "Lutor et emergo*".
Si je racontais mon histoire on me dirais surement que je m'apitoie sur mon sort. Que je ne suis pas à plaindre, j'ai une famille, je ne suis pas riche mais j'ai des moyen, je vais à l'école, j'ai des amis... à non ça non.... Le pire c'est que c'est vrai, mais moi aussi je me bats, ça ne se vois pas car c'est à l'intérieur de mon âme, de mon esprit, c'est en moi.
J'attrape mon livre, éteint la télévision et entame ma lecture. J'adore lire, mais pas le réaliste. Pourquoi? Parce que le réaliste je le vois tout les jours. Quand je lit je m'évade de se corps possédés par des démons invisible. Quand je lit je suis transportée dans un autre monde. Un autre monde dont je suis le héros. Quand je lit je ne suis que pouvoir, amitié, amour et aventure palpitante. Au fond lire c'est comme mourir. Oui ça peut paraître bizarre, nan pas bizarre horrible où je ne sais quoi de comparer le lecture à la mort. Mais il faut arrêter de voir la mort comme une chose horrible. Ce qui est horrible c'est la façon dont on meurt c'est dans quelle situation était notre vie quand on meurt. Si la lecture et la mort c'est comparable c'est parce que quand on meurt les problèmes s'envole, sauf que la mort est éternel.
Après avoir criée sur mes héros imaginaire je m'affale sur mon gros pouf rose et je somnole. Je suis sur la rambarde de mon balcon et je saute. Je sens le vent m'accompagner dans mon crie contre la vie. Game Over j'ai perdu. Le Mal à gagner il m'a vaincu. Les visage apeuré des spectateurs qui ne comprennent pas mon acte hante mon esprit jusqu'à ma mort. Je me réveille grâce à la sonnerie irritante du téléphone.
- allo?
- Lauren!
c'est la voix du nouveau!
- comment t'as eu mon num?
- page jaune.
- comment tu connaît mon prénom?
- carnet de liaison!
- et toi tu t'appelle?
- Jeremy. alors tu faisais quoi?
- heu... je rêvais que je mourrais.
et bah cette conversation et vraiment singulière!
- mais c'est très gai dit moi.
- Et bien je pense que comme on peut mourir qu'une fois dans la vrai vie faut en profiter quand on rêve. La prochaine fois je ferais un salto du haut de l'empire state building et tout le monde m'applaudira.
il éclate de rire.
- ouais, ouais pas mal. Moi je vais mourir avec du sel!
- avec du sel?
- ouais, genre j'prends la salière et le sel y coule pas alors je la lève au dessus de mes yeux pour voire si y en a encore et là y coule dans mes yeux. Après je cherche l'eau et je me fou pleins de savon sur le visage et je continue de chercher l'eau et sens faire exprès je m'appuis sur le manche de la casserole pleine d'eau bouillante.
j'éclate de rire à mon tour. Toute personne qui aurait vu ou entendu cette conversation aurait de suite appelé un hôpital psychiatrique. Mais même si je me plains, même si parfois j'ai envie de dormir à jamais, je n'échangerai ma vie pour rien au monde. Je suis peut-être folle, misanthrope, bipolaire, dépressive, mais je suis! et c'est le principal. La mort ne m'empêchera pas d'être, elle m'empêchera juste de le dire.
* je lutte pour ne pas me noyer"
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au bord du gouffre
Non-FictionLe mal me ronge de l'intérieure. Il coule dans mes veine comme le venin d'un serpent. Il me percent jusqu'au dernier souffle. Il se nourri de mon désespoir et rit de mon chagrin. Il m'insuffle la peur, la colère, la tristesse et la haine. Il me corr...