[24] Le début de la fin.

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-Comme tu ma manquer Mâryam... sa fait plaisir de te voir.

Ne panique pas, ne crie pas, ne dit pas un mot de travers. Ne surtout pas le contrariée.

-Issam...
Issam : Ça va Mâryam ?
-Ça va Issam, mais que veut tu ?
Issam : Sa fait quand même trois ans Mâryam.
-Ouai, mais t'avais pris perpet' Issam.
Issam : Swald (argent), Mâryam swald.
-Mais t'avais pas un sous.
Issam : Ouai mais le daron il n'en as.
-Donc ta fait que trois ans ? Psatek !
Issam : Selmek petite sœur. Bon alors ta pas des chose a me dire ?
-Elle va bien ta femme ?
Issam : J'aime bien tes blagues Mâryam, mais fait pas la maligne, en un coup de fil, Rafik il y reste au cachots !

J'baisse la tête, j'suis faible, très faible et j'ai peur...

-Smehli.
Issam : J'ai vue un turk sortir tu le connais ?

Issam égales très très jaloux et possessif.

-Un gars du tiek, le cousin a ma shab tranquille.
Issam : T'sais en sortant il souriait et il secouait la tête, il disais un truk en turk j'ai capté wellou.
-Il est chelou s'gars.

Ye zeh Aymen et Douma' rentre.

Douma' regarde de travers Issam : Wesh ma tipeu tranquille ? Pas trop dur le taff ? Sa fait longtemps j'tai pas vue.
-S'toi tu zappe, le gars il a une gadji il me zappe.
Douma' : Keutchi a sahbi, quelle go frère, s'les affaires elle m'appelle gros.
Aymen : A kedeb ! Le gars il est tomber dans le hob Nour !
-Ahahha, je me marre, c'est une khela au moins ?
Aymen : Même pas, t'sais quoi ? C'est une algérienne et en plus une chaoui a sahbi, même lui il renie sa race pour la notre, tape la Nour !
-Trop la puissance a gros, j'le tape dans la mains.
Douma' : Vas-y vos geules on choisis pas son amour. Aymen : Tema, il rit, tema le tahane Nounoush !
-Miskine, laisse le tranquille wesh, oh, Douma', melish, mais ta dar elle va dire quoi ?
Aymen : Ya zeh arrêt cardiaque direct, il rit, miskina mama Amadou elle va se tuer.
Douma' : Arrête de croire ma mère elle est raciste wesh.
-Vas-y la dernière fois elle a menacé Backar parce qu'il a dit il va se marier avec une tunisienne et pour Nafissa ya zeh, elle a péter les plombs. Ah naaaan pas d'Algérien, t'rapelle Aymen ?
Issam : Ouai c'est marrant tout sa, mais bon on était en discussion al, donc si vous pouvez disposer !
Aymen : C'est qui lui nounoush ?
Douma' : Il veut quoi lassui ?
-Tranquille c'est mon demi frère les gars, vas-y tenez j'vous le fait gratuit.
Aymen : Nan, tien les sous !
-Nan ! S'la famille wesh, vas-y et jette un coup d'oeil chez moi steuplait.
Aymen : Vas-y t'inquiète j'vais les poser devant un film et t'façons j'suis devant le block, j't'appelle si ya un blem.
-Vas-y a talheur !
Issam : Tu va pas le laisser rentrer chez toi Mâryam ?
-Issam... c'est comme mes frères...
Issam : Moi j'vais voir si ils vont bien mes reufs, et c'est pas d'la mif.
-Non Sam, steuplait, je préfère que sa soit Aymen.
Issam il sert les poings : Mâryam, c'est MOI TON FRÈRE !
Douma' : Oh pourquoi tu crie, espèce de dingue ?
Aymen : Laisse la tipeu tranquille !
-Vas-y Aymen, laisse tomber j'ai bientôt finis le service t'façons, j'vais appeler Sleimane et lui dire que j'dois rentré, allé a talheur.
Aymen : Saha, hendenk, t'façons on est dans ton block.

Issam me dévisage, j'appelle Sleimane, heureusement que Sleimane il était trop hnine et t'sa, parce que tout le temps je l'appeler a l'avance.

Sleimane : Wesh h3flita, ya un blem, vas-y rentre chez toi tranquille.
-Merci Sleim tu gère wAllah !
Sleimane : La famille Nour, aller prend des bonbons pour les h3flites et prend a boire. Ils revienne quand Anis et Nordine ?
-Cimer Sleim, ce soir Challah, t'façons tu viendras graille j'ferais le couscous !
Sleimane : Raii le couscous teh les chaoui, vers quelle heure ?
-Vers vingt deux heure normalement.
Sleimane : Saha aller a talheur h3flita.

Issam il avait grave la haine, on aller rentrer dans le block j'ai a peine eu le temps d'apercevoir Emir qu'il ma poussé vers les caves. On était tout les deux dans une cave. J'lai déjà dit que Issam il était dangereux, qu'il a tabassé sa femme, jusqu'à quelle soit dans le coma, qu'il a tuer un mec pour un regard de travers. Issam est dangereux, il ne doit pas être en liberté !

Issam il tourne en rond : J'aime pas sa ! C'est qui ses putain de gars ?
-Mes shabs Issam, rien que mes shabs !
Issam : Ferme ta geule ! Ferme ta geule je réfléchis !

Issam il est schizophrène, bipolaire, donc très dangereux !

-Smehli Issam, smehli.

Fierté ? Je connaissais plus ce mot face a lui.

Issam il m'envoie un coup qui m'envoie a terre : TU VEUT DES COUPS, TU VEUT DES PUTAIN DE COUPS ?

Je priais Dieu pour qu'il m'épargne, on s'est jamais considéré comme des freres et sœur pour moi c'était juste l'enfant d'un monstre... Dans ma tête je sais pas s'qui c'est passé mais je pensais a Emir, parce que il m'disais toujours femme battue quand j'y repense je rigole, puis je le revoie dans le block avec son sdeh a la main, Emir malgré tout j'était attaché a lui, a nos disputes, je le détestais tout en l'aimant. C'était Emir et Nouria. C'était nous.

Au moment ou il a lever la main pour me défoncer j'ai crier tout ma race le prénom de celui avec qui je me disputait tout les jours.

-EMMIIIIIRRRR, EMIIIIIRRR, AIIDDEEE MOIIII, EMIIIRRRRR AYCHEEKKKK !

J'en pouvais plus des coups j'était fatigué des coups, de la violence, de tout j'était a bout de souffle, je continue a crier a m'en arraché les cordes vocales. Mais Issam me giffla et ma dit d'un ton calme :

Issam : Ferme ta geule ou j'te viole !

Six mot qui on eu l'effet d'une balle sur moi, je n'ai plus bouger, plus bouger d'un pouce. Il a commencer a m'enchaîner, coup de poingt, coup de pied, suivis de gros mots.

-BAAATTARRD !

J'était un peu sonné par rapport au coups qu'il venait de m'envoyer mais j'ai bien vue Emir lui mettre une de ses raclées, et qu'il l'insulte en turk, moi j'était dans mon coins et je pleurais, Emir était en train de lui arraché la tête. Puis Amine a fait son apparition et a séparé Emir. Emir il est plus baraqué que Issam. Il fesait de la boxe, Emir il est trop beau, c'est un turk mash'Allah, il a des yeux bleu clair, des cheuveux bruns, et il a une fossete sur la joue droite.

Emir : C'est rien Nounoush, aller debout, vien Nour, je me lève, pleure plus aller, il me tappe l'épaule, aller pleure plus Nounoush, t'est un bonhomme wesh ta vécu pire !

Je sais pas se qui ma pris mais j'me suis faufiler dans ses bras et je l'ai serré fort, Emir je tenait a lui, beaucoup trop même. Il na pas réagis mais il me tapais dans le dos en me demandant de me calmé, si j'avais sue que c'était le début d'un amour impossible, je ne me serais pas aventurais dans un terrains aussi dangereux.

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Alors vous en pensé quoi ? Vous aimer bien Emir ou vous vouler le retour d'Ismhène ou de Tamir ?


{ La famille c'est sacré }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant