[6] Mon frangin enfermé, vérité déclarée.

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Yemma, Nordine est revenue, il nous a retrouvé, Yemma après six ans il est revenue, Yemma ton grand fils a tellement grandis, il est surnommé { Le mur } tellement qu'il est costaud est baraqué. Yemma ton fils, notre frère nous a retrouvé après six p*tain d'année.

Nordine : Ma petite princesse a tellement grandis.
-Nordine ? T' était où ? Après le hebs t'est jamais revenue, tout les jours j' t'écrivais, jamais tu me repondais.
Nordine : Smehli, il regarde ailleur, j'était au hebs, cinq pije au hebs, puis j'ai fait trois mois de psychiatrie et un ans en centre de désintoxication.
-Nono, mon roi, dit-je en pleurant, t'est tellement beau, mon roi, mon guerrier, mon grand frère a moi.
Nono : Koulchi bel mektoub ma soeur, maintenant je suis avec vous et je vous lache plus sache le. P*tain, ta tête, Nouria ta tête, ta cicatrice, il a touche, pourquoi il a fait sa, a ton si beau visage, ma princesse.
-Ah, mon frangin, t'en a raté des choses avec le paternelle.
Nono : Un enc*ler plutôt, notre paternelle si gentil a l'époque.
-Il a toujours était violent, arrête de te voilée la face Nordine.
Nono : Raconte moi l'histoire de cette cicatrice, celle de mon visage, et de celle-ci, il soulève mon t-shirt et me montre une autre cicatrice.

-Pour celle-ci, celle de mon visage, un soir il avait essayé de tapais Halim, Huseyn lui dormait, Halim il tremblait, tu l'aurais vue, Nordine, t'en aurais même plus dormie, le coran, Nordine, Halim il était pétrifié, il bougait même plus, l'autre il avait un couteau en main, p*tain, Halim il avait que onze pijes, a onze pije tu vois pas ton père te menaçait avec un couteau, p*utain. Ce soir il était pas bourré, non, non il était belle et bien concient, moi je voyais Halim, dans son coin pleurait.

J'te mentirais si j'te disais que j'avais pas peur et que j'avais pas pensée a tracé ma route, mais Halim il était là et il me regardait, j'ai pas pue, j'ai pas pue traçais ma route ce soir là et pourtant, j'aurais dut wAllah j'aurais dut, mais j'ai pas de regret, les trois garçons dormais, j'ai dit a Halim d'allez s'enfermer dans la chambre mais il a pas voulue et il est resté dans le salon, ce soir c'était le pire de toute ma vie. Un enfer, il nous enfermé dans le salon, bloquait tout les accès. Et il a crié, crié toute sa haine a traver ses coups, Halim il était dans un coin, les mains sur les oreilles et il se balançait d'avant en arrière. Nordine, j'te jure, a la fin il c'est relevée, j'ai cracher du sang, et je l'ais regardé de travers, il a commencée a pété les plombs et il ma rentré son couteaux, il voulait me crever l'œil, mais Halim la poussé, du coup le couteau c'est enfoncé dans ma joue, j'ai crié toute ma race, ce soir là, on entendait tapé sur la porte, et Rafik qui crie d'ouvrir cetre porte si c'est vraiment un homme, il ma regardé, Nordine, quand il m'a regardé j'ai crue tombé dans un trou noir, j'te jure, il regardait sa fille comme un monstre, il avait éjecté Halim de l'autre côté du salon, il était dans les vappes mais il voyait tout.

Je souffle, Nordine lui a une larme qui coule, Nordine, il a tenté de me violé, de me violé, Nordine, au moment, ou il c'est retrouvé, en caleçon c'est la que j'ai réalisé, et que j'ai commencé a crier pour que Rafik me vienne en aide, j'entend qui essaye de défoncé la porte, j'ai mal a la joue, j'ai mal au coeur, Nono si seulement t'aurais vue, a un moment Rafik a réussis a défoncé la porte, lui il était carrément sur moi entrain d'essayer d'enlever mon t-shirt, dès qu'il a vue Rafik, il a pris le couteau et m'a planté au bas du ventre, un enfer c'était un enfer mais El hamdoulilah frangin je suis en vie et il m'a pas violé.

Enfaite je fesais la forte zehma mais wAllah, j'voulais allez chialer c'est tous s'que j'voulez, Nordine avait quelque larme qui coulait de ses yeux vert, les même que les miens, d'ailleurs c'était mon portrait craché. Les même yeux, le même nez, la même couleur de cheuveux et la même bouche.

Nono : Smehli, j'aurais était là, rien de tout sa ne se serait passez.
-C'est pas ta faute Nono, t'inquiète c'est du passé.

[...]

De retour au quartier, quartoze-heure, obligée de passé pas la tour de D, mes deux bequille a la mains, un p'tit jeans retroussé et une petite queue de cheval. Tout les regard sont braqué sur nous, j'avance au bras de mon garde du corps, Nono.

Yemma, si tu savais, hier j'était mal, et aujourd'hui je vais mieux, suis-je malade ? Je sourie beaucoup plus qu'avant, Yemma, Nono va revenir vivre avec nous. Yemma, j'espère que nous allons enfin goûter au bonheur, hein Yemma, je l'espère, surtout pour mes frères, ils le méritent. Nono, il était comme un p'tit gosse quand il parlait avec Youss, j'te jure il retourné en enfance, c'était si beau a voir Yemma.

Externe :

-Sans sa truck sur le visage, c'est une bebom gros, même avec sa lui donne un charme, dit le pus âgés des deux.
-Arrête toi là, tahane, j'te vois venir, calme toi, ne commence pas salle psychopathe, elle est trop protégé celle la, retorqua le plus jeune.
-Protéger par qui ?
-Anis, Idriss, Rafik, son frère qui vien d'arrivé, Douma', Amar, Ismhène, le p'tit Houssam.
-J'men tape moi je les baise tous, tu sais, elle me fait grave de l'effet.
-P*tain tu fait chier, sa fait la troisième go, où tu dis sa.
-Ferme la poulet, tu peut pas comprendre , les deux autre je les aie ken et sa c'est finis, tu soule.
-C'est toi qui comprend rien, c'est pas un jeu, oh Douma' et Amar il rigole aps, son frère qui vien d'arrivait il pas l'air non plus de rire, t'est con, eh, raclure, je te préviens si il t'arrive un truk, un seul, je te turais juste après.
-N'oublie pas poulet c'est moi le plus grand.
-Seulement de deux heure bouffons, azy tchô.
-Mais revien, Poulet, c'est pas de ma faute, il met la mains sur son coeur, j'suis amoureux frangin, amoureux pour de bon, p*tain Poulet, tu comprend pas !

Interne :

Yemma, avec mon plâtre, je peut plus prendre le bus, moi sa m'arrange, mais pas mes chauffeurs, Rafik, Anis, Idriss ils râlent tout le temps, mais Nono lui il est tellement content de passer du temps avec nous, qu'il fait abstraction de tous. Deux semaine sont passé, la routine c'est installé, Houssam et moi sont devenue inséparable. Yemma, Nordine il a fêtait ses vingt-quatre ans, on va déménager l'appart est devenue trop petit, il était déjà assez petit seulement deux chambre, donc on a décidé de déménager, mais pas de une maison, non non , dans la tour D. M*rde, Yemma, la tour D, la où tout les jeunes squattent. Yemma j'ai rencontré une nouvelle amis, une fille, celle qui avait gardé Youss dans ses bras quand j'avais péter ma crise. Intissar, quelle beau prénom.

C'est aujourd'hui qu'ont déménagent, je suis vraiment dégoûtés d'habiter dans cette tour, c'est la plus grande et ya l'alimentation juste a côté avec le tabac voila pourquoi tout le monde la squattent. Houssam habite dans cette tour, Ismaël et Intissar pareille.

{ Parce que l'homme est d'une folie, qu'il est prêt a tout pour seduire une fille. Que l'homme est mauvais, qu'il est plein de défauts, qu'il serait tant de changer, et d'arrêter d'être tout le temps dans le faux. }












{ La famille c'est sacré }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant