[10] Direction la psychiatrie.

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{ La drogue te donne des ailes tu prones le ciel, ce n'est qu'un plaisir a tant partiel. }

Yemma aujourd'hui est un autre jour, je me lève j'ai le coeur lourd, mes trois petits frères on dormis dans ma chambre, Halim a pleuré dans mes bras. Yemma il a pleuré a chaude larmes pareil pour Huseyn et Youssef. Trois petits être si pur qui doivent tant souffrir. Je les ai regardé pleuré dans mes bras je leur disais que sa allait mais Yemma je me mentait a moi même, Husyen fesait des tas de cauchemars.

J'avait peur pour mon p'tit frère, Huseyn c'est le plus faible, je le voyait prié et prié alors qu'Halim passait son temps dehors. Nordine n'est pas rentré hier soir, sa me fait peur, j'ai peur qu'il lui soit arrivé quelques chose, Allah apaise mes souffrances, apaise la douleur de mon coeur, et aide mes frères.

Bakary : Alors la soeur, tranquille ?
-Tranquille et toi ?
Bakary : Toujours opé moi , tien ton p'tit dej'.
-T'en a pas marre tout les matin tu vien nous apporté au moins dix euros de p'tit dej, vas-y rentre.
Bakary : Ci-mer, non mais c'est Douma' t'le connait comment il est.
-Ouai j'le sais t'inquiète vas-y assis toi.
Bakary : Aujourd'hui le jugement alors ?
-Ouai j'suis stressé, en plus Nordine il est même pas rentré et Anis il travaille.
Bakary : T'inquiète ya mon frère et Amar t'façons.
-Ouai et Sleimane et Foued aussi ils seront la aussi.
Bakary : Normal c'est leur pote, bon va te préparer, moi j'vais réveiller les tipeus, aujourd'hui on va au ciné ensemble.
-Arrête tes connerie tu sais très bien que j'ai pas de sous.
Bakary : Non mais ta g*ule, c'est moi qui paye aller va t'habiller.
-Tu gère Bakar.
Bakary : La famille wesh, aller.

J'vous présente Bakary, le petit frère de Douma', il a mon âge, il est même dans ma classe, c'est un gars grave discret, il est pas dans les délires bizarre, non il est posé, il a beaucoup de projet pour plus tard. C'est devenue un bon pote depuis que Douma' la engager pour m'apporter le p'tit dej tout les matin. Enfin, j'vais m'habiller, je déjeune, embrasse mes p'tits frères, et Sleimane me bip pour que je descende.

Dans la voiture, yavait un silence de mort on s'attendait au pire, y avait Douma', Amar, Sleimane et Foued.

[...]

Yemma, Dieu a était clément il nous a aidé dans cette épreuve, il a écopé de seulement six moix de prison, sa aurait pue être pire, Rafik un si bon petit garçons se retrouve en prison.

Foued : Si ta besoin de quoique ce soit tu vien nous voir, Sleimane ou moi, compris ?
-Oui t'inquiète pas Foued.
Amar : Nous aussi on n'es la Nouria, tu vien nous voir si ta un soucis ou besoin d'un truk.
-T'inquiète Amar j'aurait besoin de rien, je vai travailler.
Amar : Tu vas travaillé ou ?
Sleimane : A l'épicerie d'mon daron, laisse tomber j'lui ai proposé elle veut pas d'notre argent.
Amar : Tu va te cassé le dos juste pas fierté Nour, t'est plus intelligente que sa quand même.
-Non c'est pas par fierté Amar, votre argent il est sale, Rafik et Idriss sont en prison par rappport a cette argent donc j'ai pas besoin de ce genre d'argent et puis j'travailler déjà chez mon père. Vous inquiétait pas pour moi.

Yemma, deux semaines sont passé, ma demande de parloir n'a pas encore aboutit j'attend encore, Nordine n'est toujours pas rentré j'en fait des insomnie, Anis pète vraiment un plombs, il parle seul, rigole seul, et il a des tendance meurtrière, il insulte a longueurs de journée. Douma' a dit que sa pouvait plus continuait comme sa qu'il devait se faire soigné et la vien le pire, il l'on pris de force dans la voiture, Yemma, j'en fait des p*tain de cauchemar, de Anis qui criait, les insultant tous, ils était quatre sur lui, Douma', Amar, Aymen et Nassim ce sont les seuls grands qui restent encore au quartier, les plus musclés et ce qui était prêt mentalement a faire sa.

Douma' : On fait sa pour toi bien Anis, pour toi bien, p*tain, regarde toi Anis, regarde comme t'est depuis la mort d'Houssam Allah Y Rhamou.

Anis : La p*tain de ta mère j'ai pas besoin de toi, n*que la-bas, lâche moi Amadou lâche moi ! Va t'faire toi et toute ta miff, tes p'tites soeur j'les ba*se, ta mère c'est la même. Nouria , NOURIA LES LAISSE PAS FAIRE SA, IL ME RESTE QUE VOUS LES LAISSE PAS FAIRE SA, NOURIA TA R*CE, VA T'FAIRE TOI AUSSI.

Douma' : P*tain; tu vois pas comme t'est, on veut que ton bien, wAllah qu'on veut que ton bien on t'a vue grandir, m*rde, Anis, regarde toi, regarde tu souffre et tu fait souffrir tout le monde autour de toi ta r*ce maintenant rentre dans cette p*tain de bagniole, regarde y'a tes p'tits frères et ta p'tite soeur, regarde les, regarde les, ils sont en pleure, p*tain tu fait tu mal a la seul miff que t'as, regarde Nouria, regarde les, ils ont pas assez souffert, maintenant s'il te plait Anis, mon tipeu, monte dans cette voiture ou j'le ferait par la force, allez mon tipeu, tu le sais que j'veux que ton bien, aller monte, a-t-il dit les larmes au yeux.

Anis : Smehli Amadou, wAllah j'suis pas fou Amadou j'te jure j'suis pas fou, m'emmène pas là-bas, s'il te plait, m'emmène pas là-bas, sa me fait peur Amadou.

-Nissou, c'est pour toi, vas-y, si tu veut pas le faire pour toi, fait le pour moi, s'teuplait mon frérot, il me reste plus que toi Nordine a disparue, Rafik et Idriss en prison, Houssam Allah Y Rhamou s'il te plait vas-y, Nissou, a t-elle dit toute en pleurant.

Anis : C'est juste pour toi et les p'tits que j'fais sa, juste pour vous, j'reviendrais Nouria, et encore plus fort, j'te promet, m'a t'il dit en pleurant, LE CORAN, LA TOMBE DE MON FRANGIN LE PREMIER QUI OSE APPROCHÉ NOURIA ET MES TIPEUS, J'REVIENDRAIS ET J'LE BUTRAIT DE MES PROPES MAINS, VOUS M'AVEZ TOUS COMPRIS ?!

Voila Yemma comment Anis était aller en psychiatrie, devant la moitié d'la tess, et devant la seul famille qu'il lui restait, j'était seul, seul face a ce monde plein de fou, j'était seul, j'avait seulement dix-sept pijes et me voila que je devait assumé trois petits bout-chou. Je détestait la drogue je détestait tout ce qui fumer et vender, cette m*rde elle m'avait pris tout mes frères.

Ce soir je commence le travail, Huseyn et Halim sont asser grand pour s'occuper d'eux seul, j'ai seulement pris Youssef avec moi a l'épicerie, je m'occupait juste de la caisse, c'était une petite alimentation qui marchait très bien.

Sleimane allait venir prendre la relève a vingt-trois heure, pendant ce temps j'essayé de faire passer le temps avec mon petit Youss.

Youss : Tu ressemble a papa nounoush.
-Ah bon tu trouve ?
Youss : Oui mais t'es dix mille fois plus belle et mille fois plus gentil.
-Ah pour être belle, sa, elle l'est nounoush, a t'il dit en riant.
-T'est qui toi ? Youss, derrière moi.
- : Moi ? Je suis Mikaël, le frère de ton très chers père.

J'suis suis resté muette face a cette annonce et face a cette homme qui me répugnait encore plus que me répugnait l'homme qui m'avait enfanté. Mickaël allait m'attirer des ennuis et pas des moindres.

{ Quand yen a plus, et beh yen a a encore, c'est avec fierté que je porte ma peine, avec honneur que je porte ma haine. Pensez a l'avenir les frères, c'est peut-être demain la nouvelle air. }

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{ La famille c'est sacré }Où les histoires vivent. Découvrez maintenant