Merlin, new history

Prologue

À quelques lieux de Camelott, une femme hurlait de désespoir. Deux mercenaires du souverain, Uther Pendragon, venait de lui enlever son enfant. Le pauvre n'avait que 5 mois.

- Non ! Je vous en supplie ! Rendez moi mon bébé !

Les villageois la regardait avec pitié et impuissance pendant que leurs femmes serrait leurs enfants contre elle de peur qu'on les prennent à leur tour.

Les ravisseurs, quant à eux, la regardaient avec une pointe de sadisme.

La pauvre femme pliée en deux par les pleures ne cessait de les supplier.

- Je vous en supplie ! Je vous en supplie ! Rendes moi mon Arthur !

Dans le silence qui s'en suivit, Arthur gazouilla et essaya d'attrapé le papillon qui voleté au dessus de lui.

- Lui rend ton Roland ? Dit l'un des deux mercenaires.

- Pas question. Dit Roland.

Ils regardèrent la femme pleurant toutes les larmes de son corps en se demandant si Uther n'abusait pas de son pouvoir .

- Bon allons-y. Dit son coéquipier nommé Daryl.

Ils allèrent monter en selle quand un jeune homme, d'une vingtaine d'années, se rua sur Daryl qui portait le bambin. Roland sortit son épée et se mit en travers du chemin du jeune homme. Le jeune homme n'eut le temps de l'esquiver. Le pauvre s'empala dessus. Il mourut l'épée enfoncer, jusqu'à la garde, dans le ventre.

- Non ! Richard ! Cria une voix féminine.

Les mercenaires virent une jeune fille blonde sortirent de la foule et se précipiter sur le dénommé Richard. Roland retira le corps du garçon et le laissa glisser au sol. La jeune fille serra le corps inerte dans ces bras, espérant le voir se réveiller, au pied du mercenaire qui la regardait, désolé et interdit.

- Je suis terriblement déso ... Commença Roland.

La jeune fille leva les yeux rempli de haine vers le mercenaire qui n'acheva la fin de sa phrase.

- Nous sommes autorisé à tué tout ceux qui se mettront au travers de notre route. Dit Daryl.

Personne ne bougea pas même la pauvre mère qui s'était arrêter de pleurer. Les cavaliers montèrent en selle, Daryl avec le bambin qui gazouillait dans ses bras et Roland qui faisait une tête d'enterrement. Ils partirent en laissant derrière eux des villageois en état de choc.