she is fine // zm

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Point de vue de Sarah

Je n'avais pas encore parlé de la proposition de Mady à mes parents, mais de toute les manières ils s'en battrais les couilles.
Je descendis me faire du café, je vis ma mère et mon père déjeuné ensemble dans la cuisine, ce genre de matin c'est limite une fois par an. Je voulus monter avec mon café mais mon père m'interpella.

- SARAH, TU T'ASSOIS !

Son thon fît sursauter ma mère qui avait le regard dans le vide.
Je ne voulus pas discuter, donc je m'assise calmement et but mon café. Ma mère essaya de détendre l'atmosphère.

- Alors, Sarah qui t'a offert cette chaîne ? Un garçon ?
- Quand tu n'es pas saoul,tu racontes de la merde ?

Mon père ne manqua pas de marquer son énervement en m'attribuant une gifle, je suis habitué, je le regardai et souri.

- Papa, tu pourrais bien aller en prison pour toutes ces violences, tu as de la chance tu as une gentille fille.

Il me regarda avec des yeux de tueur mais à ce point de ma vie, quelle vie, me rappela ma merveilleuse conscience, la mort c'est quoi ?

- On a une bonne nouvelle ma chérie, je suis enceinte.
- De qui ?

Ma mère est une prostituée, cette question est totalement sérieuse.

-Mais de ton père voyons !

- OUHA, bravo – disais-je levant mes mains, craignant de cacher mon enthousiasme, haHAha
-C'est tout ce que tu as à dire ? – intervint mon tendre père
-Je n'ai pas les moyens de louer une fanfare c'est pour ça, dans une autre situation, j'organiserais même une baby shower.
- Sarah, trouve meilleur à dire !- mère prit le relais
- J'ai aussi une bonne nouvelle, Je vais a New York bientôt, vous voyez, ça c'est meilleur !

-Si tu n'as pas les moyens d'une baby shower, c'est pas un billet d'avion tu pourras payer.
-Je vous aurais prévenu au moins, merci et Bonne journée.

Sur ce, je me levai et sorti de la maison, je me dirigeai vers la plage, ma plage. J'admirais le paysage en pensant à beaucoup de chose, je pensais au fait que je dois y aller pour ne plus revenir, fallait que j'en parle sérieusement à ma mère, oui elle sait être sérieuse quand elle n'est pas saoule, mais bon ça arrive une fois chaque 3 mois, J'ose croire qu'à cause de la grossesse elle sera toujours sobre à mon retour d'escapade.

Une voix familière me fît sortir de mes idées.

- Elle a des problèmes ma Sarah ?

C'était Bryan Sterling, on a fait la dernière année de lycée ensemble, il n'avait pas assumé d'être largué par moi, une fille pauvre, vu qu'il était un de ses dieux du lycée, "dieu " de mon cul on va dire, il m'harcèle presque depuis.

- De 1, ce n'est pas "ta Sarah" de 2, tu me veux quoi encore ?
- Je te veux juste toi.

Il mit sa main sur ma cuisse, je l'enlevai aussi vite.

- TU VAS ARRÊTER DE ME RÉSISTER QUAND ?
- Oh tu me cris pas dessus déjà, et pour répondre à ta question, je ne résiste a rien du tout, ta ^personne me dégoutte déjà.

Je me levai et marcha le plus rapidement possible vers chez moi, de peur qu'il me suive.
En passant je pris le courrier sur le seuil de la porte, il y avait deux lettres de Mady pour moi.
Je les prise et monta dans ma chambre les lires.
J'ouvris la première lettre et vue le Billet d'avion pour New York avec un passeport, c'est vrai que Je n'en avais pas un moi, cette dame à tout fait pour moi, je comprends maintenant pourquoi elle demandait mes documents administratifs, je l'aime tellement, je vais surement passer à la maison de retraite après avoir lu la deuxième enveloppe.
Je l'ouvris donc :

" 17 septembre 2014.
De : Mady Fallone Halley
À : Sarah Louise Karruche.

Ma chère Sarah, j'ai de nombreux petits-enfants mais tu es de loin la meilleure, tu as été à mes soins quand ils n'étaient pas là, pendant vraiment longtemps, je ne me suis jamais senti abandonné à cause de toi, merci d'avoir été cette meilleure version de mes enfants. C'est l'une des raisons pour lesquelles tu as mérité ce voyage, il y en a tellement les raisons.
J'aurais bien voulus te voir exceller dans quelques années, mais le temps aura bientôt raison de moi.
Je rêve de funérailles mais, des funérailles de joie où mes cendres seront versées sur New YORK.
Je t'aime tellement chérie, je suis sûr de mourir en paix puisque j'ai la garantie que tu réussiras ta vie à New York.
Je t'aime ma fille, à bientôt.

Mady Halley. "

J'avais un mauvais pré sentiment, ça ressemblait tellement à une lettre d'a Dieu.
Affolé, je parti au centre.

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Hello dear,

Hope u're doing well.

Dans cette partie, je voulais juste montrer un peu de la relation qu'elle entretenait avec les membres de sa famille, bien que le chapitre ne soit pas long, J'espère qu'il vous a plus, bien évidemment, j'attends vos critiques, les plus constructives.

Kiss