Pour cette nouvelle/petite histoire/ one-shot enfin bref, ce que vous voulez ^^, je me suis inspirer d'une petite porte que j'ai vue aujourd'hui, comme quoi absolument rien (enfin en l'occurrence une petite porte toute mignonne) peut créer une histoire, voila ^^
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Patricia était une femme très simple, elle vivait de sa retraite et ne faisait pas de folie, toute ça vie avait été très simple, elle était dans cette moyenne ou la vie n'est jamais réellement mauvais ni réellement bonne. Elle vivait dans une petite maison coquette et menait une petite vie bien tranquille, elle passait de temps en temps prendre le thé avec ses charmant voisin Mr et Mme Paulvin et en profitait pour passer du bon temps avec leur fils, Michaelle âgée de sept ans.
Mais un matin alors qu'elle rentrait de chercher son pain elle remarqua que quelque chose avait changé dans son entré, en effet, au bout du hall ce trouvait a présent sur la gauche une petite porte.
Patricia passait tout les jours dans son hall d'entrée. Mais ce jour là elle avait vue cette petite porte, elle avait un aspect miteux. Le vernis qui l'avait recouvert dans un temps lointain était a présent en train de partir en lambeau. Elle ne faisait pas plus d'un mètre de haut pour la même largeur, en son centre ce tenait une petite poignée en cuivre très jolie qui formait des cercles concentriques. La porte en elle même était plutôt simple, elle avait une petite moulure qui reprenait la forme de l'encadrement a quelque centimètre de là. La vieille femme ne l'avait jamais remarqué avant, ce qui était étrange comme elle vivait ici depuis 42 ans. Elle avait bien essayé de l'ouvrir par tout les moyens, elle avait même fait appelle a son voisin et son pied de biche, mais rien n'y faisait, cette fichu porte, comme elle aimait si bien le dire, refusait de s'ouvrir. Après 6 jours d'acharnement elle décidait que si elle n'avait jamais vue cette porte avant c'est qu'elle n'en avait jamais usé donc qu'il n'était pas nécessaire qu'elle l'ouvre.
À 74 ans elle avait toujours vécu seul et cela n'était pas prêt de changer. Cependant quelque jours après la découverte de cette porte elle commençait a avoir des terreurs nocturne, elle voyait une petite fille vêtu d'un joli petit ensemble, noir pour le pantalon et rose pale pour le haut, sortir par la petite porte.
Cette fillette avait un visage très singulier, les pommettes très saillant ainsi qu'un nez aquilin comme elle n'en avait jamais vu. Elle avait des yeux noisettes et ses cheveux lui tombait sur les épaules, ils semblaient très sec, enfaîte tout chez cette enfant faisait sec.
À chaque fois, elle sortait de la maison et traversait la route, et a chaque fois Patricia la suivait pour la voir ce faire percuter par une énorme voiture qui partait comme si il ne s'était rien passé. Elle s'approchait alors du corps de la jeune damoiselle et dès lors qu'elle entrée en contact avec son corps il se passait quelque chose, suivant les nuits elle finissait en poussière ou le corps transpercée de part en part par un pied de biche ou bien elle se sentait prendre feu et mourir calcinée sur cette malheureuse route. Le pire dans ces terreurs nocturne était ce rire d'enfant qui résonnait dans ses oreilles et la douleur qu'elle ressentait lorsqu'elle mourait. Et comme si le destin s'acharnait sur elle, Patricia s'en souvenait au réveille. Au fil des ses insomnies la malheureuse commença a se cloîtrer chez elle et a ne plus en sortir.
Ses voisins ne la voyant plus sortir du tout décidèrent après deux jours d'appeler la police. La porte étant fermée a clefs ils l'enfoncèrent mettant des débris de bois un petit peu partout. La première chose qui marquas les agents lorsque ils entrèrent fut l'odeur de brûlé qui flottait dans la maison.
Ils avancèrent dans le salon et qu'elle ne fut pas leur surprise face a la scène macabre qui ce tenait devant eux. Il y avait, sur le tapis qui trônait au centre de la pièce, un corps, ou plutôt un reste de corps, il était en effet presque entièrement brûlé, il n'en restait que les jambes et même les os du tronc avait disparut. Et juste au dessus ce trouvait le corps pendu de la pauvre septuagénaire. Le plus étrange dans cette scène était le petit mot accroché avec de l'adhésif sur le pied de la retraité. Le message était écris de manière impeccable et d'une écriture extrêmement raffiné qui tranchait radicalement avec la violence de la scène, il disait :
"Quitte ma maison !"
Aujourd'hui il ce dit que le fantôme de la septuagénaire mets en garde tout ceux qui souhaite habiter sa maison contre l'esprit de la fillette qui à causé sa perte. Mais il n'est fait nul par mention de cette petite porte sur les actes de ventes...
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Je suis quasiment sur que vous n'avait jamais lu d'histoire ou le personnage principal et une septuagénaire x)
Bon breeeeef voila ^^ dite moi ce que vous en pensez (j'ai quand même sortit l'inspiration d'une porte ridicule x))
Je vous fais un bisous sanglant. :-*