Portés par les vagues fracassantes,
Mes rêves s'envolent au gré du vent.
Brise légère et réconfortante,
Je dors, inconsciente de mes tourments.
La noirceur m'envahit,
Et les songes d'une nuit
Tombent et s'enfoncent dans l'oubli,
Ignorants d'un présent défini.
Douleur sans nom
Réveil sous la voûte céleste.
Peur et incompréhension
Souffle du vent d'est.
Le sang s'écoule et le sable rougit
Grains de folie.
Dans mes mains, la liberté hurle mon nom
Lame effilée et déraison.
Poignard sur ma peau,
Doux contact au creux de mes os.
Vague d'eau et d'âme
Les étoiles se noient dans mes larmes.
L'infini comme seul horizon,
La mort comme seule saison.
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Le Cercle des Poètes (Wattpadiens) Disparus
Poesía"On ne lit pas et on n'écrit pas de la poésie parce que ça fait joli. Nous lisons et nous écrivons de la poésie parce que nous faisons partie de la race humaine ; et que cette même race foisonne de passions. La médecine, la loi, le commerce et l'in...