Isaac Lahey.

Chapitre 5: Dilemme.

Nous avons marché une dizaine de minutes avant d'arriver à une porte dissimulée par une étagère en fer. Patrick devait sûrement rentrer un code car il avait tapé 2 fois sur la gauche, 3 fois en haut et 1 fois à droite et ensuite la porte c'est ouverte en poussant un crissement désagréable. Une fois la porte ouverte j'avais remarqué qu'on ne distinguait aucun sons ou lumière et c'est à ce moment que j'ai commencé à me méfier sérieusement. Alicia s'avança mais je lui ai pris la main pour la retenir Patrick l'a sûrement vu car il prit la parole d'un ton rassurant.

- Isaac si j'aurais voulu vous tuez je l'aurais déjà fait vous avez des griffes et des crocs.

J'ai lâché ça main et elle prit finalement celle de son frère.
Alicia et Enzo était les premiers à franchir la porte, puis je l'ai ai vu disparaître sous mes yeux.

- Tu sais Isaac, libre à toi. Je te laisse 5 minutes après ça je refermerais la porte.

Patrick et partit à sont tour, il resté moi et le choix entre le passé et le futur.
C'est dans ces moments là, que je me souviens de sont odeur, son sourire, son élégance. Malheureusement je n'avais plus sont t-shirt. Mais il me restait ça photo. Je me trouvais devant la porte à contempler sa beauté. À savoir si je devais rester où partir. Quand j'ai remis la photo dans ma poche j'ai compris que je devais tenir ma promesse.

- Isaac Lahey.

Je reconnaissais cette vois entre mille. Je me suis retourné est Émilie tenait Éric par le coup avec un pistolet braqué sur sa tempe. Je ne pouvais pas partir en laissant Éric seul voué à la mort. J'ai refermé la porte pour protéger toute les personnes qui se trouve derrière, et la porte à subitement disparu. Je n'arrivais pas à comprendre mais pour le moment le plus important était Éric.

(Isaac)- C'est moi que tu veux lâche le.

(Éric) - Isaac fait pas ça laisse moi mourrir mon frère comprendra.

(Isaac qui chuchote) - Nous protégeons ce qui ne peuvent pas se protéger eux-mêmes.

(Émilie) - Tu as raison Isaac, pour le protéger tu dois me revenir. Viens.

Je me suis avancé vers Émilie malgré qu'Éric n'arrêtait pas de me dire de reculer. J'étais assez près d'elle pour pouvoir sentir le chewing-gum à la mente qu'elle avait manger.

- Quel enfant naïf tu fais.

Émilie venait de presser la détente. J'ai fais 3 pas en arrière et j'allais m'apprêter à lui sauter dessus quand elle m'attrapa par la gorge.

- Mon pauvre enfant tu es si Naïf. Tu vas voir ce que ça fait de mourrir.

J'ai senti des griffes se planter dans mon ventre. J'ai compris à ce moment là ce que Boyd avait malheureusement ressentis. Pour moi ce n'étais qu'une libération. Ne plus penser à quoi que se soit d'autre appart le fait de mourrir. Quand Émilie sortit ses griffes de mon ventre je me suis écroulé aussitôt. Il a dû s'écouler 30 secondes tout au plus avant que ma vue sois totalement brouillé , mes yeux était remplis de larme, mais ça ne me faisait pas plus mal que d'avoir perdu Allison. J'ai pris la photo qui était dans ma poche et je l'ai ramené vers mes yeux pour essayer de distinguer son visage. Mais c'était presque fini je ne voulais plus me battre. Je ne savais même pas si Émilie était toujours là. Je suis perdu Entre l'inconscient et le monde réel je croyais distinguer des personnes, des voix et des cris. Je ne savais absolument pas si j'étais encore vivant ou mort. Je ne ressentais presque plus de douleur ou peu être que j'en ressentais trop. Il devait avoir une dizaine de personne si tout cela était réel. Une personne, pleurait et d'autre donnait des ordres. J'ai entendu un cri perçant puis je me suis sûrement évanouis.