Chapitre un.

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-C'est bon Mendes, on te l'apporte.

Tout était flou dans ma mémoire. Que c'était-il passé? Je commence peu à peu à me réveiller et ma tête me fait un mal de chien. Soudainement, les souvenirs me reviennent. Le café avec mon père et les coups de feu... J'ai fuis et du mieux que je pouvais. Malheureusement, je crains que cela n'ait été suffisant. On m'a attrapé et je suis dans le noir total. À ma grande surprise, j'entendis un moteur ronronner. Serai-je dans le coffre d'une voiture? Quel endroit de qualité pour enfermer une prisonnière. Mes mains sont ligotées et même avec mes dents, c'est impossible à détacher. Il ne me reste plus qu'une solution, attendre. Je ne peux vous cacher que j'ai peur. Et si on allait me violer? Me séquestré ou pire encore, me tuer? J'ai peur, très peur. Après quelques minutes, la voiture s'éteint. Une portière se referme et des pas se rapprochent du coffre. Une clé entre dans la serrure, puis une immense vague de lumière vient m'aveugler. J'aperçus ensuite mon ravisseur. Un homme barbu, dans la cinquantaine, chandail déchiré, cheveux légèrement trop gras, lunette fumée et une longue moustache. Il me prend dans ses bras alors que je gigote pour m'en aller.

-Tu ferais mieux de te tenir tranquille gamine, me dit-il.

-T'a qu'à me relâcher pauvre imbécile!

Ma remarque ne lui fit rien. L'homme ferma le coffre et je scrutai le paysage. Un endroit peu fréquenté à ce que je vois. Un vieux motel avec presque personne, cool. Il m'emmena vers la chambre 36. Ce plan devait être arrangé, car il avait déjà une clé. Il débarra la porte et nous entrions. Ce que je trouve stupide est que  personne n'ait remarqué que j'étais ligotée. Je suis victime d'un enlèvement hé ho! ENLÈVEMENT! Putain...                                                                             Barbu me déposa sur le lit et me regarda.

-Tu reste gentiment ici et tu n'aura pas de problèmes, c'est compris?

J'hochai la tête et il sortit en dehors de la chambre. Je regardai tout autour de moi à la recherche d'un objet tranchant. Je fouillai toutes les commodes du mieux que je pouvais. Je réussis à trouver un coupe-ongle et j'utilisais la petite lame pour détacher rapidement les liens. Peine perdu, l'homme entra.

-Allez viens chérie, ton chauffeur est arrivé.

Il me prit par le poignet qui était toujours ligoté et me conduisis à une Porsche noire. Les vitres étaient teintées, il m'était donc impossible de voir qui en était le conducteur.

-T'attends quoi, entre.

Il m'ouvrit la portière et me poussa à l'intérieur. Je pris place et je me retournai vers ma gauche pour voir le conducteur. Cheveux bruns, lunette fumée, jeune, il m'avait tout l'air d'un ténébreux.

-Bon, je ne passerai pas par quatre chemins, tu reste en vie et je reste en vie, compris?, me dit le jeune homme.

-C'est plutôt vous qui me tuerai, répondis-je.

Il se mit à rire et la voiture prit un chemin différent.

-T'a rien compris hein? Si je te tue je ME tue. Mon but c'est juste de te garder en vie, rien d'autre.

-Ramène moi chez moi, dis-je.

-Non pas tant que je n'aurai pas mon argent.

-Et tu compte m'utiliser pour avoir ton argent?

-Bravo, maintenant proclamée intelligente.

Non, mais, il se prend pour qui lui? Une stupide tête enflée de mon cul, ouais.

-T'es pas obligé de me parler comme une merde aussi! Je te signale que si je décide de mourir, je te tue aussi, comme tu le dis si bien.

-Oh non, crois-moi. T'aura aucune chance de pouvoir te tuer ma chère.

-On verra bien, répondis-je froidement.

Durant tout le reste du trajet je ne parlais pas. Il m'avait trop fait chier. Je veux seulement retourner chez moi... Je crois même m'être endormie contre la vitre de sa fenêtre. Une bosse projeta ma tête un peu plus fort sur la paroi de verre ce qui me réveilla brutalement. Il se stationna.

-Belle au bois dormant est réveillée, super, me dit-il.

-Ta gueule, lui répondis-je en me frottant la tête.

-Allez, sort.

Je réussis tant bien que mal à sortir de la voiture malgré mes poignets ligotés. Monsieur trou du cul alla garer sa voiture un peu plus loin et vint me rejoindre ensuite. Nous sommes dans la forêt, mais il me semble que cette immense baraque lui appartient. Même si je crois qu'il m'emmène dans le fond d'un bois pour me violer, cette maison, ou plutôt ce manoir m'a l'air confortable. Cependant, à voir la façon dont il me parle... Cela m'étonnerait que j'ai un espace confortable et propre à moi, puisque son égo prend beaucoup trop de place. Eh puis, en y repensant, c'est quoi son nom?

-Ton nom c'est quoi?

Il continue de marcher vers la porte, la débarre et entre.

-Hé ho je te le parle! Finis-je par lui crier.

Il se retourne et pose son regard froid sur moi.

-Shawn. Shawn Mendes, si tu veux savoir.

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Holaaaaa mes poulets<3! Voici le premier chapitre de Red .

Alors, quels sont vos impressions?

Lena/Shawn, c'est tendu non? Perso, ça été hypeeeer difficile de faire Shawn en méchant, mais bon. Je sais pas si j'ai bien réussis, fin, je ne suis pas la pour parler de ma capacité en écriture! Je veux VOS commentaires! Sur ce, j'espère que vous avez aimé et je vous donne rendez-vous au chapitre deux, bisouuuus xo

Red|Shawn Mendes (En Pause).Où les histoires vivent. Découvrez maintenant