Lesbienne a coup sûr !

20. Fin

Mon coeur cessa de battre et mes membres de bouger dès que Julie se mit à mes côtés. Elle leva légèrement ma tête pour pouvoir y faire glisser le coussin dessous que nous partageâmes à deux. Mais elle resta dos tourné.

Julie: D'accord, je te pardonne. Mais que une fois que tu auras largué ton mec.

Je n'hésiterai pas une seconde pour elle. Je vais larguer John, d'une manière ou d'une autre, je vais le faire.

Julie: Ça va mieux ?

Moi: Hein ?

Julie: T'a tête. Elle va mieux ?

Moi: Ah oui... heu, enfait c'est de t'a faute si je l'ai eu.

Julie: De ma faute ?!

Moi: Naan, oubli.

Et silence fût. Il était un peu près 10h du soir.
Ses cheveux dansaient devant mes yeux à cause du court en d'air que la fenêtre entrouverte. Suivi par l'odeur de son shampoing, à la vanille. J'adore la vanille.
Je ne put résister longtemps et discrètement je passa mes mains dans ses cheveux. Doux, Fins et lisses. Mes doigts glissait tous le long de sa magnifique chevelure. En partant de la racine jusqu'au pointes.
Je frôlais son cou entre deux et je pouvais sentire qu'elle frissonait lorsque je lui touchait cette zone.
Je décida d'attaquer ses oreilles mais elle se retourna sèchement en m'empêchent de finir ce que j'avais commencé.

Julie: Qu'est ce que tu fait là ?

Moi: Avou, tu à aimé.

Elle rougit.

Julie: Je te signale que tu as un petit copain.

Moi: J'avais.

Julie: Non, tu as. Car à ce que je sache tu ne l'a pas encore plaqué.

Moi: Pff... tu me soûle là.

Je prit mon natel et je cherche " mon coeur " dans mon répertoire. Je l'appelle.

John: Allô ? BB qu'est ce qu'il y a ? Pourquoi t'appelle aussi tard ? Tu veux que je vienne te chercher ? Tu t'est fais mal ?

Il s'inquiète encore pour moi, c'est chou... mais je dois mettre fin à ça. Il trouvera sûrement une meilleure petite amie que moi dans se monde tellement vaste. Ma fois, je fais ma décision.

Moi: John.. non ça va très bien. Je voudrais seulement te dire un truc.

John: Ah bah ça dois être vachement important !

Moi: C'est le cas... écoute. Enfait...

Je l'ai appelé sans réfléchir à comment le lui annoncé que j'aimais une autre personne plus de ce que je l'aime lui.
Je veux seulement pouvoir prendre dans mes bras Julie et repasser du bon temps avec elle. Pouvoir embrasser ses lèvres souriante qui me manques tellement...
Je mis haut parleur.

Moi: Enfait, si je suis resté dormir chez Julie c'est pour une raison précise qui est..

John: Tu me largue ?!

Oui.

Moi: Nooon ! Enfin, pas vraiment c'est... oui, mais non. Enfin tu vois c'est pas trop ça vu que...

En gros, je te largue.

John: Donc tu me largue. Après tout ce qu'on à passé ensemble ?!

Yepp. Désolé.

Moi: Mais on peut toujours être amis !

John: Tu me hais à ce point de me proposer d'être amis...je préfére mourir que devoir te voir tous les jours sans pouvoir t'embrasser.

Moi: Mais...

John: C'est Julie c'est ça ?

Merde, comment il fait à le savoir ?

Moi: Oui mais elle n'est pas fautiv elle...

John: Donc tu l'aime, vraiment ?

Je suis seulement follement amoureuse d'elle.
On à sûrement dû me tatouer son nom sur le coeur lorsque j'étais petite tellement je l'aime.

Moi: .... Oui. Comme jamais je n'ai aimer quelqun. Elle est tout pour moi.

John: Bon, alors je vais rentrer se soir même chez moi.

Moi: ...

John: Je t'aime.

C'est seulement maintenant ou je me rend compte de ce que c'est le vrai amour. Et que se que je ressentais envers lui n'étais pas de l'amour. Mais je me cachais simplement derrière lui pour éviter les regards des autres qui ne m'ont jamais vraiment aimé.

Moi: Moi pas, Désolé. Vraiment, pardonne moi.

John: 2 ans...

Moi: oui.

John: Alors, au revoir .

Moi: adieu.

John: oui, adieu.

Il raccrocha.
C'était fini.
C'était rapide.
C'était simple.
Je l'ai chassé de ma vie.
Et moi de même de la sienne.
J'étais assez fier de moi.
Mais est ce juste ?
Oui je crois.
Maintenant je vais pouvoir la voir.
L'embrasser.
La prendre dans me bras.
Me faire une nouvelle vie.
Retiens toi Manon.
Retiens toi Manon.
Retiens toi Manon.
Retiens toi Manon.
Retiens toi Manon.
Retiens toi Manon .
Trop tard.
Je me mis à pleurer devant Julie.
Un mélange de soulagement et de tristesse.
De joie et de peur.
Mais tout est disparu la seconde ou Julie posa ses lèvres sur les miennes.
Jamais je ne me suis senti aussi bien, jamais je n'ai été aussi soulagé de l'avoir encore à mes côtés.

Julie: Ne pleur pas, s'il te plaît... je suis là, moi.

Moi: Tu ne te rend pas compte à quelle point je t'aime.

Julie: Toi n'en plus.

Ce fût la plus belle nuit de ma vie.