↠ Captive

29. Faire Ses Choix

Hello, que diriez vous de trouver un nom pour les shippers des couples ? :

Kat & Kellan

ou

Kat & James

Donnez des idées ! (Du genre Kallan ou Kates qui se prononce cats hein...)

Allez jeter un oeil à ma nouvelle fiction DARK NIGHT, c'est important pour moi merci ;)

Petite info : Suite à plusieurs incohérences sur le début de Captive, j'ai décidé de changer la durée de captivité de Kat à un mois au lieu de deux ans. (J'ai corrigé tous les chapitres portant la mentions des 2 ans). Voilà petite précision.

Voulez-vous que je vous fasse un dix choses sur moi ? ? :/

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Nous sommes restés dans mon lit à discuter toute la nuit, alors que le soleil commence à se lever, James s'endort doucement en me prenant dans ses bras.

— James ? Mais qu'est-ce que tu...

— Chut, dors.

— Mais on va se faire prendre !

— Chut, dors.

— Tu ne peux pas bouger et arrêter ce cinéma ?

— Non. Je suis bien ici.

Il serre sa prise autour de mes bras.

— James, lâche moi. Ils vont se lever et je ne me sens pas d'assumer une scène avec Kellan.

— Tu devrais le larguer. C'est qu'un bouffon.

— Un bouffon que je ne vais pas larguer, et qui m'a sauvé la vie plus d'une fois. Il a tout sacrifié pour moi. Et toi tu n'as rien fait pour moi.

— Tu ne sais même pas à quel point je risque ma vie pour toi ! Barnes et mon père sont des amis de longues dates, ils travaillent ensemble si tu vois ce que je veux dire, et si il apprend que je cache chez moi la fille qu'il recherche, je serai étripé vivant ! Et ne crois pas que c'est pour Giulia que je l'ai fait. Bon d'accord, c'est en partie de sa faute, mais elle m'a aussi tout raconté à ton sujet, et je ne voulais pas que tu finisses ta vie dans un trou pour servir de source d'informations à ce connard de Barnes et ses associés.

— Je suis désolée, peut être que nous ferions mieux de partir.

— Non. Il n'est pas question que tu partes avec lui ! Tu ne sais pas de quoi il est capable.

— De quoi tu parles ?

— Tu lui demanderas. On verra s'il ose tout t'avouer.

— Dis le moi alors !

— Tu ne me croirais pas !

— Bon. Très bien. Je lui demanderai quand l'occasion se présentera.

— C'est ça. Mais pour l'instant je me casse. J'ai pas envie de passer pour le connard de l'histoire.

— Ouais. Bah c'est ça !

***

[Trois jours plus tard]