Le mariage de la Mort

VI

>très légère scène coquine<

Les temps avaient changés en 29 jours, ses amis n'avaient pas cédé et étaient toujours convaincu qu'ils devaient tuer la mort. Élodie n'en pouvait plus de trouver des inconvénients à cette fichue idée toute pourrie ! Elle voulait entrer dans ce temple et mourrir en paix, elle était née pour ça ! Elle avait vécue pour ce maudit jour pourtant ils ne comprenaient pas que le monde ne pliait pas selon leur volonté, quelques qu'elle soit, on ne tue pas un Dieu ! Surtout celui de la Mort, on ne peut pas tuer la Mort, sinon c'est comme si ce Dieu se suicider ! (C'est français cette phrase ???) Élodie jurait toute les insultes qu'elle connaissait, ses yeux devinrent noir et toute les vitres et miroir éclatèrent. Élodie sortit de sa transe aux bruits et rougis... Elle allait se faire gronder par les Sages... Et puis zut, ils ne pouvaient plus rien faire contre elle, elle se mariait avec un Dieu demain ! Le Dieu de la Mort en plus ! Elle deviendrait, ainsi donc, la Déesse de la Mort...? Alors pourquoi tout les 4 ans naissait une autre élue ? Les autres femmes mourraient-elles ? Par la faute de leur époux ? Élodie frissonna et oubliai ses sombres idées, elle devait d'abord trouvait un moyen d'arrêter ses amis pour les empêcher de se tuer ! Suicide collectif, à la Charly Mansôn ! Élodie faisait les cents pas dans à chambre, plus le jour fatidiques arrivait plus elle était emprisonnée par les Sages pour qu'elle ne s'enfuit pas, c'était bête trouvait elle; où irait-elle ? Le monde Humain était composé d'un seul continent sur le globe terrestre, il n'y avait que 3 villes au mondes ! Mais elles était énormes, certaines pouvait contenir jusqu'à 2 milliards de personnes, en fait une ville était comme un pays, ils existaient avant mais depuis la grande Guerre Mondiale les frontières avaient éclatée, on peut dire donc qu'une ville pouvait représenter toute un pays et toutes les villes sont dirigés par un seul homme, un simple mortel dirigeait 5 milliards de personnes. Elle soupirai, où se réfugier quand le monde est composé de 3 villes qui compte sur vous pour les sauver du courroux d'un Dieu de la Mort ? Élodie s'assit sur son lit et regardai l'heure. L'on pouvait voir la grande horloge depuis sa chambre... Aux fenêtres éclatées... Il était 13h25... Dans 7h45 elle devait se marier. Elle était rongé par l'inquiétude, que faisait ses amis ?! Étaient-ils en train de préparer leur suicide ? Oui, allez essayer de tuer le Dieu de la Mort était un suicide. Elle avait confiance en les pouvoirs de ses compagnons même si pour Hashley certain point était à revoir et que René ne faisait pas illusion avec ses stupides mort vivants, la magie des Morts est très dangereuse ! René lui avait un jour dit que si il avait appris cette sombre magie c'était pour la sauver des griffes de ce Dieu, elle n'y avait pas cru ses oreilles et avait à la fin mit cette phrase sur le coup de la folie dû la trop grande chaleur de la journée d'Esquimaux. Maintenant elle regrettait de ne pas avoir étouffé l'idée avant qu'elle ne germe. Elle invoquai un miroir qui apparut dans un nuage noir, des ombres de chauves-souris et de corbeau s'envolèrent et disparurent par la fenêtre. Elle saisis l'objet de ses deux mains.
"Où sont ils ?" Demandait elle en regardant le miroir, ses yeux devinrent noir et une image trouble apparut dans la glace. Elle fronça les sourcils et l'image devint plus nette. Elle y vit clairement ses amis se préparer pour "l'excursion".

"Hashley, tu as pris des cordes ? Des lanternes ? Et..."
"Oui ! Encore une fois, oui !"
"Mais c'est juste que je veux être sûr que tout le monde a tout pris ! On vas juste entrer dans le Temple du Dieu de la Mort. Ce n'est pas rien, tu sais ?"
Marc soupirai, il en avait marre de se plier en quatre pour cette fille qu'il n'aimait pas mais il le devait pour René. Marc se retourna et regarda son ami, ses mains saisirent les objets posés sur la commode et les mettaient dans le sac avec une telle grâce, René est l'homme le plus courageux et bon du monde, en plus il est habile et intelligent pensait Marc en le voyant si concentrer. Dommage qu'il aime cette fille de la Mort.
"Marc. Tu viens m'aider à porter des trucs dehors ?" Lança Hashley, elle commençait à se diriger vers la porte du couloir, Marc avisa René du regard (il ne faisait rien sans lui demandait la permission) qui le lui autorisa, Marc sortit alors de la pièce en la compagnie  d'Hashley. Elle tournai à droite dans le long couloir vers la cour intérieure, Marc la suivit sans broncher, il ne faisait pas attention. Hashley le regardai discrètement, qu'est-ce qu'il était beau... Elle tourna alors encore à droite vers une toute autre direction mais Marc ne le remarquai pas. Elle s'arrêtait devant une porte et fit passer  Marc devant elle.
"Entre." Lui dit elle en montrant une porte de bois massif. Il entra docilement et Hashley le suivit puis referma la porte sur eux. Marc se retourna violemment en entendant le BOUM. Il regarda Hashley qui fermai la porte à clé.
"Que fais tu !?!"
Elle se retourna doucement vers lui, son regard de braise examina le pauvre garçon de haut en bas, surtout le bas d'ailleurs.
"Marc..."
"Hashley ?!"
"Enlève ton haut... S'il te plaît..."
"Qu... Quoi ?!"
"On vas jouer à un jeux, tu enlèves un quelque conque habit et moi je fais de même... D'accord ?" Demanda-t-elle en se détachant son noeud de cheveux, ses longues mèches vertes tombèrent sur ses épaules et allèrent jusqu'à sa taille. Marc glapit.
"Euh... Je suis obligé de jouer ?"
"Oui..."
Marc essaya de prendre la clé de force des mains d'Hasley mais elle recula et dis tomber la clé dans son décolleté.
"Oups... Tu viens la chercher ?"
"Euh... Je t'aime bien, mais plus en amie qu'en autre chose..."
"Alors on vas remédier à ça..." Dit elle en défaisant sa robe, elle était presque  nue, seule une simple nuisette transparente la protégeait de la nudité total. Marc ingurgitai sa salive, il rougis comme une tomaca. Hashley colla son corps contre lui, elle entoura son corps de ses mains et détachait le haut du pauvre garçon. Marc fermait les yeux. Hashley fit tomber le haut, Marc était torse nu devant elle, elle baladai ses mains sur ce torse musclé, elle allai atteindre le pantalon lorsque Marc lui saisit les mains.
"Non. Hashley, je ne t'aime pas !"
Hashley fit la moue.
"Qui aimes tu alors ?"
Marc rougis. Lui même avait du mal à dire qui il aimait lui même.
"René..." Lâcha-t-il du bout des lèvres. Hashley recula immédiatement puis elle le dévisagea.
"René ?!"
Il acquiesça.

Élodie retenait son souffle, elle avait bien fait de suivre Marc et Hasley plutôt que de rester avec René. Elle avait faillit décider d'arrêter de regarder croyant que la scène allait devenir plus... Chaude...

"Tu aimes René ?! Non... Tu dis ça juste pour m'écarter !?"
"Non, j'aimes vraiment René ! Je rêve de lui, je pense à lui tout le temps... Je le trouve si beau..."
Hashley y vit une possibilité de coucher avec lui.
"Ce n'est pas aimé ça ! Je pense à Élodie et pourtant je ne l'aime pas. Je peux rêver d'elle mais je ne l'aime pas ! Élodie est super jolie et pourtant c'est toi que j'aime !"
Marc ne savait plus quoi penser, si ce n'est pas ça aimer alors qu'est-ce ?
"Tu es sûre ? Je pense vraiment que c'est René que j'aime... Je sais qu'il ne m'aimera jamais mais ce n'est pas grave, son bonheur compte par dessus tout..."
"Je sais ce que c'est... J'ai déjà aimé une femme moi aussi mais regarde, c'est avec toi que je suis..." Ceci était faux. Hashley voulait juste coucher avec lui, aucun amour était en jeux, juste une attirance sexuelle. Elle s'approcha de lui et lui prit les mains.
"Si tu veux je te montre ce que c'est que l'amour ?" Lui dit elle en mettant les mains de Marc sur ses hanches.
"Mais si je ne t'aime pas après ?"
"Ce n'est pas grave alors. Tu auras découvert l'amour." Lui chuchota-t-elle à l'oreille, il ne sut plus quoi penser, cette fille lui proposait l'amour, lui qui n'avait apparemment jamais aimé... Il se laissa aller et embrassa Hashley comme dans les films qu'il avait vu. Hashley fermai les yeux et baissa le pantalon de Marc, son sous vêtements en coton tomba encore plus vite... Ils séparaient leur bouches et Hashley lui déposa milles baisers sur son torse.

Élodie arrêta de regarder, elle ne voulait pas voir ça ! Elle posa le miroir sur son lit et soupira. Hashley était gentille sauf avec les hommes, elle les méprisaient depuis que son père avait abandonné sa famille pour une autre, abandonnant son titre, sa fortune, son rang, sa femme, ses enfants pour une simple femme plus jeune qui l'abandonna plus tard. Il se tua. L'un des plus grands se donna la mort dans un vulgaire hôtel sale, les murs couverts de moisissures. Depuis elle jouait avec les hommes, 'des faibles larves' disait-elle. Élodie se leva et regarda l'heure. 15h05. Dans 5h55 elle sera mariée avec un Dieu.