Précédemment:
Prof: Je viens de lire toutes vos rédactions et parmi celle-ci, une m'a vraiment sauté au yeux... Celle de mademoiselle Heartfilia. Je tiens vraiment à vous la lire.
Je le regardais, surpris du fait qu'il est autant aimé ma petite histoire.
Il commença enfin, après quelques petites critiques de mes "camarades".
Prof: Chère maman. Ces derniers temps...
J'écarquillais les yeux, surprise.Stressée et paniquée, je me levais de ma chaise, les larmes aux coins des yeux.
Prof: (...)je ressens le besoin de t'écrire. Je sais que je t'avais promis de ne plus le faire, mais je ne peux m'en*se coupe* Mademoise-
Il fut coupé par un bruit de porte se refermant, dont j'étais la "coupable". Déconcerté, je l'entendais dire à Reby de me rejoindre, au cas où ça n'allait pas, pendant que j'avançais dans les couloirs si joyeux du lycée, en m'en donnant une vision macabre...
Reby: Lu-chan...c'était vraiment ta rédaction de français ?
Seul le bruit du vent s'écrasant contre les branches des arbres lui répondit.
Reby: Tu sais...je suis ton amie, tu peux me le dire, si il y a un problème...ta mère est à l'étranger et elle te manque...?
J'éclatais en sanglots, mais refusais de répondre à sa question, malgré l'envie de vider tout mon mal être.
Reby:Lucy...
Ses bruits de pas se firent plus rapides, elle fini par me tenir le bras.
Moi: C'est bon Reby... ça-ça va...!
Je me dégageai doucement de son emprise, puis je continuais à avancer, dans ce grand couloir. Quand, après quelques pas, elle s'arrêta.
Reby: J'ai voulu être gentille en ignorant certaines choses, mais tu commences à me prendre pour une idiote là ! Lucy, j'en ai marre que tu ne me dises rien ! Je ne suis pas un objet, je suis ton amie !
Je me retournais, surprise.
Reby: Si c'est dur pour toi d'en parler, tu n'as qu'à le dire ! Mais ne me laisse pas jouer la comédie, parce que je n'en serais plus capable au bout d'un moment !
Je la fixais, surprise. Je n'aurais jamais pensé qu'elle avait cette vision des choses !
Moi: Reby...
Reby: Non, écoutes moi s'il te plaît; je veux juste que tu te sentes bien Lucy ! En si peux de temps, tu es devenu la personne avec laquelle je parle le plus, je m'entends tellement bien avec toi ! Le seul problème, c'est que dans une amitiée, il faut aussi de la confiance envers son ami, pas seulement des affinités !
Un petit moment de silence s'installa. Je voulais lui parler, lui dire tout ce que je n'ai jamais osé dire à personne, lui dire qui je suis, ce que je fais ici, même si je ne serais l'expliquer moi même.
Ce calme, bien qu'assez dérangeant, me fit réaliser que je devais avoir confiance en elle, qu'après tout, elle avait raison...c'est décidé, je dois lui dire la vérité, quitte à manquer le temps qu'il restait jusqu'à la fin du cours de français. Reby me devança brisant alors ce long silence, qui m'avait paru être un éternité, une moue culpabilisante sur son visage.
Reby: Je...je suis...
Moi: *la coupe* Tu sais...je n'ai jamais vraiment eue d'amis avant...
Elle releva la tête vers moi.
Reby:Vrai-vraiment... ?
Je fis "oui" de la tête.
Reby:Eh bien je m'excuse...je ne savais pas...de-de toute façon...je devais m'excuser pour ce que je t'ai dit...
Moi:N-non, c'est moi qui te dois des explications !Je...tu sais...ce matin si je suis arrivée devant la porte à l'heur-
?: Qu'est ce que vous faites ici ?
Je me tournais vers l'interlocutrice, une belle fille un peux plus âgée que moi, dont les beaux yeux noirs perçant mettaient en valeur de longs cheveux écarlates, qu'elle poussa en arrière, d'un geste de main.
Reby: Ah E-Er-Erza...!
Elle avait dit ce nom d'une manière tellement hésitante que si j'avais pu retourner en arrière, je ne serais pas sortie de la salle...
?: C'est bon...le prof a demandé à Reby d'accompagner l'autre là...Luigi, je crois...À l'infirmerie...
Je me tournais vers cette voix que je reconnaîtrais entre mille, même si elle m'étais totalement égale.
Moi: C'est LUCY: L-u-c-y !!
Le concerné me regarda, toujours de la manière désinvolte dont j'avais pris l'habitude de voir, pour la simple et bonne raison que la personne qui la faisait était la personne la plus "remarquable" (dans le sens popularité bien-sûr).
Natsu: C'est bon, t'as déjà de la chance que je te défende alors n'en demande pas trop !
La femme aux cheveux écarlates lança alors un regard à Natsu, avant de me regarder, d'un air doux mais à la fois autoritaire, bien que je n'aurais jamais pensé cela possible.
Erza: N'y fait pas attention, il a simplement une mauvaise mémoire...!
Elle avait dit ça sur un ton moqueur, ce qui fit réagir Natsu.
Natsu: C'est bon hein, pas besoin de raconter ma vie non plus...!
Erza s'approcha alors de Natsu, et commença à parler sur un ton calme, bien qu'angoissant.
Erza: Ah oui, et je devais de demander: tu comptes les faire quand les 2 heures de colle que je t'ai donné, quand tu as justement failli taper sur ta camarade, tu sais, celle juste devant toi ?
Il déglutit alors, et, comme s'il venait de se rendre compte à qui il parlait, bafouilla quelque chose puis se fondit dans la masse s'étant formé au moment même où la sonnerie retentit.
Erza: Natsu...revient ici tout de suite...
Quelques secondes après, nous vîmes Natsu revenir, l'air stressé.
Je riais face à cette scène comique; ainsi, il existe une personne qui arrive à "dompter" le "Grand Natsu Dragnir" ?
Natsu: C'est bon, c'est vieux maintenant, hein ! Je l'ai même défendu là...Lucky Luke.
Moi: LUCY !!
Natsu:C'EST BON HEIN J'AI COMPRIS ! DE TOUTE FAÇON C'EST PAREILLE !
J'allais répliquer, mais Erza me stoppa dans ma lancée.
Erza: Eh bien ce n'est pas ce que je vois...
Elle ricana alors, tout en me lançant un regard sympathique. Je savais alors qu'elle était de mon côté.
Erza: Alors... on pourrait laisser Mademoiselle Heartfilia choisir...non ?Eh voili voilou... alors oui...je suis EXTRÉMEMENT EN RETARD...mais bon, j'avais beaucoup de choses à faire ces temps-ci... Et je tenais aussi à m'excuser d'avance du niveau de Je-ne-retiens-pas-un-prénom-et-en-plus-j'en-inventes-alors-qu'ils-existent-déjà...(j'étais en panne d'idée x) ), de Natsu...mais franchement, je voulais terminer ce chapitre le plus tôt que possible...alors j'ai fait absolument n'importe quoi x) (gomen, gomen...) Bon bah j'ai tout dit (conscience: Non, t'as oublié de dire que c'était un mauvais chapi-
Moi: Tais toi ! ).
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Puis-je t'aimer ? {Abandonné}
FanfictionCette histoire raconte la vie de simples étudiants dans un lycée plutôt banal( bien qu'il soit l'un des plus réputé de tout le continent sur lequel vivent nos protagonistes ), la façon dont ils sont admirés et aimés mais en même temps connus pour ré...