Je suis blessée, meurtrie
Mes mains écorchées par les chutes
Mes genoux abîmés à force de fléchir
Mon cerveau tourmenté par peur de réfléchir
Tu m'attaques et tu me délaisses
gisant dans mes blessures
Mes larmes trahissent l'état de mon âme
elle creusent mes joues, inondent mon corps
J'aimerais tant que tu saches
que je ne cherche que la quiétude et l'harmonie
j'aimerais tant que tes colères et tes peurs cessent
elles te font défauts et ressortent l'animal en nous.
Ouvres ton cœur et laisses la voix te chanter la paix.
Tu ne crois pas en moi.
Tu ne vois que l'image préfabriquée par ton esprit tortué.
Oh Mon Dieu, il est si difficile de te servir
quand mon âme quémande l'union
la lumière est si chaleureuse et amie.
Je voudrais tant m'y baigner et ne plus jamais la quitter.
Éclore encore et toujours. Ce perpétuel renouvellement.
Sourire encore, cet éternel don inépuisable.
Je continue à aimer car l'amour est plus fort que tout
et les coups tombent comme des pétales
glissant sur mon cœur délicat
22/09/2014
VOUS LISEZ
poésie
PoesiaRecueil de (mes) poèmes datant de 2004 à nos jours (2017) Il y a un peu de tout. Je classerais par partie. Ce n'est pas forcément ranger dans un ordre précis à l'intérieur des parties. bonne lecture!