Je suis la debout, devant cette scène horrible, mon cœur se déchire en mille morceau. Pourquoi ? Pourquoi ? Dite moi se que j'ai fait pour mérité sa ? Je n'est pas le droit d'être heureuse ? D'être amoureuse ? D'avoir un peu de bonheur ? Tout avait si bien commencer, mais la une tel trahison, je ne peut la pardonner ! Il savait bien que j'était fragile émotionnellement, mon cœur venait juste de cicatrisée de ces vieille blessure, mais la les blessures se sont réouverte et elles sont beaucoup plus profonde... Comment il a osé me faire sa ? Alors tous se qu'il me disait c'était que des belles parole en l'aire ? Des questions que des questions et encore des questions ?
Je fait demi tour avec Lyly, la seule chose que je voulais c'était rentré, partir je ne peut pas suporter sa, serieusement c'était de trop pour moi. J'arrive a l'appartement, c'est décidé on fait nos valise et on part loin de cette homme qui me fait souffrir, de toute façon c'était trop beau pour être vrai, je fait mes valises et je part, mais la quand j'ouvre la porte il est la devant moi a me regarder tout sourire, j'en peut plus je l'aime tellement mais il a osé me faire sa, les hommes sont tous les mêmes, il est surprit de me voir avec mes valises :Souhil : Tu vas ou Sofia ?
Je ne lui répond et je passe le pas de la porte ...
Souhil : Sofia jte parle la ! Tu vas ou ?
J'vance je le calcule toujours pas et la il m'attrape par le bras :
Souhil : Dit moi tu vas ou la comme a avec t'es affaire Putain ?
Moi : Souhil Je part lache moi
Souhil : Comment sa tu part ? et tu part ou d'abord ?
Moi : Souhil lache moi
Souhil : Pourquoi tu part j'ai fait quoi ?
Moi : Ta tout gacher Souhil, sort de ma vie stp !!!Sur ces mots je suis partit et lui je crois qu'il a pas tout compris (vous non plus mais vous aller vite comprendre pourquoi j'ai fait sa) il est resté la devant la porte il me regardait partir , je c'est pas ou je vais mais je part, dans la rue je demande au gens ou se trouve la gare et ouiii je veut repartir chez moi, partir loin de luii.... Au bout de 30 minutes bin je suis enfin a la gare Souhil ma appeler au moin 50 fois mais j'ai pas envi de lui parler et a un moment Sabrina elle ma appelé :
Moi : Allo
Sab : Sa va hbiba ?
Moi : Sa va hmdl et toi ?
Sab : AAAAHHHH Mitonne moi pas sa sentant trop que t pas bien So'
Moi : Sa va tkt
Sab : Tu fait quoi la ? Alors sa se passe bien avec Souhil ?
Moi : Non c'est fini la je suis a la gare je rentre sur Avignon
Sab : T'es serieuse la ? C'est quoi se délire la tu rentre sur Avignon ?
Moi : Bin oui je rentre
Sab : Vien a Lyon, je déscend demain moi chez Sonia comme sa on discuteras grosse nan ?
Moi : Ouai vas y jprend un billet de train quand j'arrive a lyon jtapel
Sab : Ouai pas de souci bisouJe racroche avec Sab et je me dirige pour aller prendre un billet de train, je me souvien plus trop a quel heure était le train je sait juste que je suis arriver vers les 20h30 a peut près Souhil il a pas arrété de m'appelé, j'ai fini par éteindre mon tel, j'attend le train sur le quai et je pense, Lyly c'est endormie moi dans ses moment la je dit vivre les poussettes lool, je suis a fond dans mes pensée, je commencais a me faire des films, j'imaginais voir Souhil arriver vers moi et me demander de le pardonner et de le suivre, de resté avec lui mais non c'est pas arriver.... Hamdoulilah le train il est la, Je m'installe et direction Lyon.....
Quelque heure plutard bin enfin je suis arriver, mais avant sa j'ai eu le droit au changement de train a Paris la grosse merde bref, un peut avant d'arriver j'ai envoyé un sms a Sabrina, et elle est la toute belle ma cheriiee :
Sab : Ma Sofiaaa sa va Hbiba ?
Moi : Sa va hmdl ett toi mon namoureuse ?
Sab : bin oui moi sa pète la forme vien j'ai une surprise mdrr
Moi : AH bon quoi come surprise lool
Sab : Tu veraEn faite la surprise c'est quelle a eu son permi et Quelle a une voiture Madame mtn lol :
Moi : C'est pour sa que tu descend a Avignon demain tu vas faire la belle gosse
Sab : Ta tout compris ma sœur bon aller en route la famille
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Chronique de Sofia : À cœur ouvert
General FictionSalam aleykoum, chronique réelle, réécriture