L'arrivée d'une nouvelle a Beacon Hill *En pause*

4.

Pdv Cartter.

J'ai manipulé Scott. J'ai manipulé un loup-garou. J'ai manipulé mon meilleur amie. J'ai manipulé celui que j'aime en secret depuis toujours... Je tape plus fort encore contre l'arbre que je martèle de coup de poing depuis maintenant bien 1 à 2 heures. J'ai recrée mes chaines protectrices, encore... Plus j'y pense plus l'idée que ce n'était pas une bonne idée que je revienne ici est claire. Cela fait un peu moins d'une semaines que j'ai été attaquer par June et... Je refrappe le tronc avec force. Scott ne se souvient de rien et je m'en veux t'en de l'avoir manipulé... J'ai les poings en sang mais je continue et frappe avec encore plus de force. La douleur de mes poings est bien moindre par apport à ma souffrance morale. J'ai déjà transgresser toutes les lois dans le passé, j'ai déjà tuer, manipulé quelqu'un pour qu'il se suicide et etc... Mais... Je... Je frappe de toutes mes forces humaines sur le pauvre tronc, ma rage prend le dessus sur tous autre sentiments. Je sens mes yeux me piquer et m'arrête de frapper le tronc. Je me met à trembler et ne peux retenir mes larmes. Je sens la rage revenir et me met à crier. Mon cœur est serrer par un étau depuis toujours mais la il me serre si fort le cœur...Je tombe à genoux au sol,  ma voix se perdant dans ma gorge. Je me voit dans le reflet du flaque d'eau, je détourne les yeux et me relève. Je ne suis pas humaine... Mes poings se crispent et sans crier gare je me retourne et transperce avec mon poing l'arbre que je frappais. Je retire mon bras l'écorchant au passage et me prend le visage dans les mains. Puis regarde autour de moi, personne. Je m'assoie par terre et fais apparaître autour de moi des images. Des souvenirs vu à la 3ème personne.  Sur ces souvenirs, on voit ma vie, Stiles, Scott, mes parents. Moi, Stiles et Scott jouant au chat. Je recroqueville mes jambes pour pouvoir les entourer de mes bras. Tous ces souvenirs sont heureux et sont les seuls que je voudrait avoir. Sur ces bouts de moi il y a de l'amour, de la joie que des beau moment en somme. D'un geste de la main, j'en fait venir un devant moi et le frôle de mes doigts fins. À ce moment, je me voit jouant de la guitare devant Stiles et Scott. J'étaie si insouciante.. Heureuse et rayonnante. Tous ce que je ne suis plus... Le morceau s'arrête et mes amis me félicite. Tous les souvenirs disparaissent pour faire place à un seul, Le jour ou tout à basculé, le jour ou Stiles a perdu tout comme moi son insouciance, Ce jour ou je suis morte. Je me souviens juste avoir vu Stiles courir vers moi et me dire que tous allait bien se passer. Il me mentait et nous le savions parfaitement tous les deux. 

"Ne ferme surtout pas les yeux résiste !  me crait-t-il de sa voix fluait. 

-Stiles... murmurait-je, de grosses larmes se formant aux bords de mes yeux bleue/gris. Je vais mourir...

-Non ! C'est... c'est... im... Des sanglot l'empêchèrent de parler et des larmes coulèrent le long de ces joues. 

-Stillou...

-Je ne veux pas te perdre toi aussi... dit-il entre deux sanglots.

-Stiles, dit-je d'une voix faible. Je ne te laisserais jamais seul, je te le pro... Je toussa et du sang coula sur mon menton. Te le promet..." Mes yeux se fermèrent et lorsque je me réveilla je me croyait orpheline et seule... Je pleurais maintenant à chaudes larmes, seule dans la foret profonde et accablé de chagrin et torturée par mes mauvaise actions. Je me leva lorsque j'entendis une branche craquer derrière moi et un homme que je connaissais que trop bien s'arrêta à environ deux mètres de moi.

"Peter que fait-tu là ? 

-Ne sois pas aussi froide... Après tous je suis de ta famille. Il fut immédiatement saucissonner dans des lianes de Aconit tue loup. Il grogna signe qu'il ne me voulait pas de mal. Je le relâcha à contre cœur et lui demanda. 

-Que fait-tu là ? Aucune réponse. Peter... soupirait-je.

-C'est bon. céda-t-il. Je voulais t'informer que tes anciens amies ta  famille allaient bien mais tu est venue ici donc je... dit-il en se retournant pour partir. 

-Peter. Tu as oublier quelque chose je crois. Il soupira et se retourna.

-Quoi encore ? 

-Ma mémoire. Tu m'avais promis sur ta vie que tu m'en dirais plus sur le maléfice que l'on ma jeter. 

-Je... Tu... Je n'ai encore rien trouvé...avoua-t-il dépiter. Bon, je rentre.

-Attend, je t'accompagne."